Black Butler, tome 14 – Yana Toboso

Titre : Black Butler, tome 14
Auteur : Yana Toboso
Éditeur : Dark Kana
Nombre de pages : 178
Quatrième de couverture“Je suis Sebastian. Votre Majordome.”
Sebastian a été frappé par la faux de la mort d’Undertaker. Les images qui surgissent de sa lanterne cinématique en même temps que le sang jaillit de ses plaies retracent sa rencontre avec Ciel.
Le fil sépia des souvenirs raconte les débuts du majordome inexpérimenté chez son maître. « Je suis Sebastian. Votre Majordome. »

Pour ne pas déroger à la règle du “un tome pourri suit un tome chouette”, celui-ci est à classer dans la catégorie nulle ! C’est peut-être aussi le fait que j’ai lu le treizième il y a plus d’un an et que je ne me souvenais plus du tout où on en était.

C’est heureusement revenu assez rapidement : dans le précédent, on avait découvert les détails de la rencontre entre Sebastian et Ciel. Dès les premières pages, on reprend là où l’on s’était arrêté et on apprend la manière dont le maître et le domestique sont devenus si parfait. C’était très drôle.
Puis on revient rapidement à nos moutons… Enfin, je devrais dire à nos zombies… Et surtout au combat contre Undertaker. Un affrontement qui se termine rapidement, et laisse place à la conclusion du naufrage du Campania.
Les dessins de bataille ne sont vraiment pas terribles, beaucoup de traits qui partent dans tous les sens pour simuler le mouvement. Ça m’a semblé bâclé… C’est sûr qu’après avoir lu l’atelier des sorciers, tout manga doit paraître brouillon.
Dans l’avant-dernier chapitre, Elizabeth organise une chasse aux œufs pour Pâques et invite tous les “amis” de Ciel. C’était un épisode bouche-trou, du grand n’importe quoi qui m’a prodigieusement ennuyée.
Le dernier chapitre ouvre sur une nouvelle intrigue qui voit Ciel entrer au collège Weston. On n’en sait pas suffisamment pour se faire une idée… Même si je pressens au niveau de l’ambiance un mélange entre Harry Potter (4 dortoirs, 4 préfets) et Utena.

Je n’ai pas aimé ce quatorzième tome. Il s’est heureusement lu vite, mais c’est bien le seul point positif.