Contes et Légendes des Amérindiens – Alice Lefort & Marilyn Plénard

Titre : Contes et Légendes des Amérindiens
Auteur : Alice Lefort & Marilyn Plénard
Éditeur : Magellan & cie
Nombre de pages : 254
Quatrième de couverture : Ce recueil rassemble des mythes d´origine des Amérindiens du Nord, des contes et légendes des fameuses nations cherokee, sioux, apache et algonquine ou des méconnus Koasati, Tsetsaut et Lillooet. L´univers des peuples premiers d´Amérique du Nord est ici balayé, dans une version française fidèle à ses sources, du sud au nord et d´est en ouest, des États-Unis au Canada, pour mieux faire découvrir l´âme indienne longtemps bafouée, un mode de vie poétique, guerrier, mystique, vivant, intimement lié à la nature éclatante, où l´humain, aucunement prédominant, est un animal comme les autres.
Classés par thèmes, tels que la création du monde, les saisons, l´homme, les animaux ou les objets et les rites, ces histoires nous emportent dans une autre dimension, celle d´un univers infini, reliant les hommes aux esprits.

Je vais être rapide et concise quant à cette lecture parce que d’un, il est tard (un peu plus d’1h du mat au moment où j’écris cette chronique) et je suis fatiguée et de deux, je n’ai pas grand-chose à en dire, je vais donc aller à l’essentiel.

C’est un recueil de contes issus de différentes tribus amérindiennes (elles sont d’ailleurs précisées sous le titre, ce que j’ai apprécié). Je ne connaissais aucune des légendes et très peu des peuples cités. Ça porte sur une dizaine de thèmes : la création, les saisons, les éléments, les hommes, les animaux, les rites, etc. Je ne vais pas tous les citer, mais vous voyez un peu l’idée.

Ce sont des récits courts : certains ne font que quelques lignes, et je crois que le plus long doit faire dans les 3 ou 4 pages. L’avantage, c’est que ça se lit vite. L’inconvénient, c’est que ça m’a laissé une sensation de superficialité. Le message à la fin de chaque légende est clair et m’a parlé, pourtant on n’entre pas dans les détails et ça m’a frustrée.

J’ai apprécié le format : avec des pages tout en longueur, une police de caractères assez grande. Quant aux illustrations qui parsèment le récit, elles étaient sympathiques, classiques.
Bref, c’était une lecture plaisante, sans plus.

Écoute le rossignol – Lucy Strange

Titre : Écoute le rossignol
Auteur : Lucy Strange
Éditeur : Castelmore
Nombre de pages : 350
Quatrième de couverture : Henrietta, surnommée Henry, emménage dans une grande maison à la campagne avec sa famille, qui est sens dessus dessous après un événement dramatique. Henry, esseulée, entreprend d’explorer les environs comme les héros de ses livres Alice au Pays des Merveilles et Moogli. Dans le bois d’à côté, elle rencontre Phalène, une dame étrange, qui malgré son allure de sorcière va devenir son amie et l’aider à sauver sa famille…

J’ai acheté cet e-book lors d’une opallstars, mais ne me demandez pas laquelle, je serai incapable de répondre.
En tout cas, la couverture et le résumé me bottait bien.

Henrietta vit à Hope House avec sa famille depuis peu. L’année précédente, le frère de l’héroïne est décédé, un drame qui a détruit les membres de la famille Abott :
– la mère a sombré. Au bord de la folie, elle est soignée par l’incompétent docteur Hardy qui la bourre de cachetons et rêve de la faire interner.
– le père, incapable de supporter la situation, fuit à l’étranger pour le travail et laisse Nanny Jane s’occuper de tout.
– Henrietta est prise au milieu de tout ça, à deux doigts de finir comme sa mère… ou pas.
– Porcinette, le bébé né peu après la mort de son frère, est la plus heureuse, jusqu’à ce que…

La première moitié de cette lecture m’a paru longue. Le contexte est placé et la situation exposée, mais ça aurait pu être plus court. Mais c’était peut-être fait exprès et ça a probablement participé à ce que la suite soit bien plus intéressante : on a eu le temps de s’attacher aux membres de la famille Abott et certains personnages secondaires, à en détester d’autres, de vivre pleinement les émotions qui assaillent Henrietta du haut de ses 10-12 ans, etc.

Par contre, j’ai dévoré la seconde partie. En deux jours, c’était plié tant j’étais imprégnée des événements et du ressenti de notre héroïne. Et puis, j’avais envie de savoir si cette famille s’en sortirait et comment.
Niveau scénario, il ne se passe pas grand-chose, mais étonnamment, ça n’empêche pas le récit d’être dense et l’atmosphère qui s’en dégage entêtante.

J’arrive sur mon lieu de formation, je vais donc abréger : malgré un début longuet, j’ai beaucoup aimé cette lecture.

Take care of cinnamon homes
(Foyer, famille)

Sœurs d’Ys : La malédiction du royaume englouti – M.T. Anderson et Jo Rioux

Titre : La malédiction du royaume englouti
Saga : Sœurs d’Ys
Scénario : M.T. Anderson
Illustrations : Jo Rioux
Éditeur : Rue de Sèvres
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Pour ériger les remparts qui protègent Ys des flots tumultueux, la reine Malgven a eu recours à la magie. Sa mort brutale et mystérieuse laisse ses deux fifilles inconsolables et les éloigne l’une de l’autre. Rozenn, héritière du trône, entre en communion avec la nature et s’apaise dans les landes ; Dahut, la cadette, se délecte de la vie fastueuse de la cour et se compromet dans ses intrigues. Mais derrière les murs immenses de la cité se cache un passé lourd de sombres secrets. Le jour où le lien entre les sœurs se rompt définitivement, elles entraînent dans leur chute le destin d’Ys, et les monstres tapis dans l’ombre surgissent alors en pleine lumière.

Quand j’ai vu cette bande-dessinée à la médiathèque, j’ai hésité à l’emprunter.
La couverture me bottait bien et les illustrations sont tout aussi sympathiques.
En va-t-il de même pour le scénario ?

L’histoire s’ouvre sur le récit du roi Gradlon : il conte à ses deux filles sa rencontre avec leur mère, qui vient de décéder. Grâce à la reine, la cité d’Ys est restée prospère, par des procédés plus que malhonnêtes, semble-t-il. Mais maintenant qu’elle n’est plus là, qui va prendre la relève ?
Les deux princesses sont aussi différentes l’une que l’autre ? L’aînée, Rozenn, est sauvage et proche de la nature. La cadette, Dahut, se montre érudite et développe des talents hors du commun, mais ça a un prix. Une telle différence les sépare depuis qu’elles ont perdu leur mère.

Le scénario est intéressant. La trame cohérente et l’intrigue est rondement menée. J’ai lu d’une traite cette bande-dessinée tellement c’était fluide et passionnant.
J’ai aimé les deux princesses. Leur caractère est à l’opposé l’un de l’autre, leurs choix et leurs actes sont contestables pour différentes raisons, pourtant je les comprends et j’ai même fini par les plaindre.
Dans les premières pages, j’ai eu un peu de mal à me faire aux illustrations, pourtant ce style artistique fait le charme de cette bande-dessinée. J’ai fini par les adorer autant que cette lecture.

Bilan lecture du mois de septembre 2024

Bilan de lectureJe suis un peu déçue par mon mois de septembre. Je pensais pouvoir reprendre un bon rythme de lecture et il a plutôt été moyen, surtout en ce qui concerne le Pumpkin Autumn Challenge. J’avais prévu de lire au minimum 3 romans sur les 12 choisis, mais j’ai péniblement réussi à en lire 2. Pour le mois prochain, mon temps sera extrêmement réduit, donc je pense que je n’intercalerai qu’un manga/Bd entre deux romans.
J’ai lu 13 livres (2 bandes-dessinées, 2 comics, 6 mangas et donc 3 roman).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
  



J’ai adoré
:
    


Gif heureux
J’ai aimé:



Ça m’a laissée indifférente:



Ça m’a trop déçue:
  

On arrive donc à un total de 3199 pages (148 en bandes-dessinées, 648 en comics, 1349 en mangas et donc 1054 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Pumpkin Autumn Challenge : 2/12

Challenge Goodreads : 85/100

Challenge Réduit ta PàL à néant (illimité) : 040/412


Actuellement, je lis :
Écoute le rossignol
Lucy Strange
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :