Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 2 – Mari Matsuzawa

Titre : Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 2
Saga : Fukuneko, tome 2
Auteur : Mari Matsuzawa
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : En emménageant à la campagne, la jeune Ako a découvert les fukuneko, de curieux petits chats qui apportent de la chance à leur maître grâce à leur danse magique ! Elle possède d’ailleurs son propre chat porte-bonheur, Fuku, de même que sa nouvelle amie Chika est accompagnée au quotidien par le facétieux Kosuke. Les jeunes filles font bientôt la rencontre d’autres fukuneko, comme le chef Haku, et la candide Azuki. Cette dernière aurait d’ailleurs bien besoin d’un coup de main des deux humaines pour se rapprocher du beau chat blanc…

J’étais très contente de retrouver Ako, Fuku et tous les autres personnages de ce manga. J’espérais qu’il soit aussi calme et apaisant que le premier, et c’est le cas.
Il ne se passe pas grand-chose, des tranches de vie sans grand intérêt, pourtant, je ne me suis pas ennuyée un seul instant et j’ai même trouvé ce second tome trop court.

On a droit à l’arrivée d’un nouveau prof d’arts plastiques, Toranosuke, qui a vécu enfant au village des fukuneko et les voyait (mais ça, c’était avant)…. ben dis donc, pour une faculté rare, ils commencent à être nombreux à pouvoir voir la forme humanoïde des chats du bonheur.
On fait également la connaissance de Haku, un beau chat blanc chef des félins, ainsi que de Azuki qui cuisine les fameux daifukus tant aimé par Fuku et Kosuke.

Donc une fois de plus, pas de trame principale, néanmoins le fil conducteur est bien présent : les héros félins apportent le bonheur et aident les humains qui en ont besoin.
Fuku semble toujours être aussi bébé dans son comportement – ce que j’ai un peu de mal à supporter, heureusement, j’aime sa relation avec Ako et ce lien la rend attachante.
Haku est bien mystérieux : réservé et poli. Beaucoup plus élégant que Kosuke. Je ne sais pas trop quoi penser de lui… par contre, Azuki m’énerve, elle est jalouse et a un côté antipathique avec ses réactions trop brusques qui contrastent grandement avec les autres personnages plus doux.

Je me rends compte d’un certain nombre de points pas très flatteurs pour ce second tome, pourtant, au moment de la lecture, ça n’est pas ressorti. Je me suis laissée entraîner par cette atmosphère toujours aussi chaleureuse que j’ai aimée dans le premier et qu’on retrouve ici.
J’ai adoré cette lecture et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain tome.

Bilan lecture du mois de juillet 2021

Bilan de lectureLe week-end a été chargé et il se fait tard (on est dimanche à 23h), donc je ne vais pas m’attarder et commencer ce sympathique bilan – j’avoue que je me demande encore comment j’ai pu lire autant vu mes journées…
J’ai lu 16 livres (6 mangas, 6 BD et donc 4 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
   

 


Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:

 


Gif heureux
J’ai aimé:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:
 

 



Je n’ai pas aimé:

On arrive donc à un total de 3109 pages (1353 en mangas, 312 en BD et donc 1444 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 11/20

ABC Imaginaire 2021 : 14/26

Challenge Goodreads : 120/130

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 6/65 saga et 29/234


Actuellement, je lis :
Chien du heaume
Justine Niogret
(32%)


Actuellement, je joue sur PC à :
ET

Maudit sois-tu, tome 1 : Zaroff de Philippe Pelaez et Carlos Puerta

Titre : Zaroff
Saga : Maudit sois-tu, tome 1
Auteur : Philippe Pelaez
Illustrateur : Carlos Puerta
Éditeur : Ankama
Nombre de pages : 56
Quatrième de couverture : 2017, un homme est retrouvé mort dans les égouts de Londres. L’enquête se dirige rapidement vers la petite amie du défunt, car leur liaison a été arrangée par leur employeur commun, Nicholas Zaroff. Ce mystérieux oligarque russe n’a en fait qu’un seul but : se venger de ceux qui, 170 ans auparavant, ont causé la perte de son aïeul. Pour y parvenir, il va réunir leurs quatre descendants et les traquer dans une vaste chasse à l’homme…

Je me suis pris cette bande-dessinée lors de l’événement 48hBD. Je ne connaissais pas du tout, globalement les dessins me plaisaient et franchement, c’est une sacrée belle surprise !

Un homme est chassé dans les égouts. Ses poursuivants le tuent. L’inspecteur Stisted est appelé sur les lieux du crime en même temps que le médecin légiste Cornford. La journaliste Robinson ne tarde pas à arriver. Un quatrième protagonistes viendra grossir les rangs des héros, mais je ne spoile pas davantage.
Tous les indices les mènent à un riche oligarque russe, Nicholas Zaroff. Et cela arrange bien ce dernier qui se débrouille pour les réunir dans son manoir du Yorkshire.

Raconté ainsi, l’histoire ne paie pas de mine, mais j’ai trouvé que la façon dont le récit est mené rend cette bande-dessinée passionnante. Je l’ai lue d’une traite. C’était également étonnant : je ne m’attendais pas à toutes les révélations que fait Zaroff à ses invités.
Le texte est très beau, surtout la narration. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire et relire certains passages.
Quant aux dessins, ils sont magnifiques. Très réalistes, un peu comme une peinture. Les couleurs font très années 60, d’ailleurs le character design des personnages fait très années 60. Signalons que Zaroff ressemble étrangement à Clark Gable. L’apparence des autres personnages est aussi très proches de celles de célébrités parce que leur tête me disait quelque chose, mais ma connaissance people étant l’un de mes points faibles, je n’ai pas leur nom ^_^’

C’est un premier tome qui pose les bases de l’histoire. Beaucoup de questions s’imposent au fil des pages, on reçoit quelques réponses, mais pas toutes. On est libre de découvrir les prochains tomes pour obtenir tous les détails ou on peut s’arrêter là puisqu’il y a une véritable conclusion.
Personnellement, je pense lire le second (en attendant que le troisième et dernier sorte) parce que c’est un coup de cœur pour cette bande-dessinée.

Nuées de songes – Emmanuelle Lagadec

Titre : Nuées de songes
Auteur : Emmanuelle Lagadec
Éditeur : Sharon Kena
Nombre de pages : 225
Quatrième de couverture : Au-delà des frontières perceptibles par l’Homme, se trouvent deux univers que tout oppose, mais qui ont cependant une chose en commun: l’être humain…
La vie de Ciara prend un nouveau sens, le jour où elle découvre l’existence de deux mondes parallèles: Utopia et les Affres. Rattrapée par sa génétique, la jeune femme de vingt-trois ans devient un enjeu pour les forces qui s’y affrontent. Une terrible machination vise à priver l’être humain de ses songes. Un fléau, que seule Ciara pourra empêcher. Mais à quel prix?

Cela fait longtemps que je voulais lire ce roman qui m’avait été chaudement recommandé par ma copinaute Psychoboook. Malheureusement, je n’ai pas aimé cette lecture et je l’aurais volontiers abandonné si je ne l’avais pas prévu pour mon challenge ABC 2021.
C’est dommage parce que la trame principale de l’histoire est vraiment sympathique : Ciara découvre qu’elle a la possibilité de voyager dans Utopia, le monde des rêves, comme dans les Affres, le monde des cauchemars – même si on apprend rapidement qu’elle ne doit pas se rendre dans ce dernier lieu. Les deux univers s’affrontent ce qui ne poserait pas de soucis si la survie de la Terre n’était pas en jeu. La mission de Ciara est claire : rétablir la paix. Pour cela, elle est aidée par des Utopiens, son oncle scientifique et la résistance.
Bon, c’est un peu plus complexe que ça, mais l’essentiel est dit.

Par contre, j’ai détesté la façon dont l’histoire est amenée. Pour plusieurs raisons :
Je n’ai pas accroché aux personnages que je trouve insipides, enfin, c’est surtout le cas pour les Utopiens (il y a de fortes chances que cela soit dû à leur côté trop parfait). Ciara et Maureen promettaient d’être plus intéressantes au début, puis leur petit caractère disparaît sous toutes les faiblesses qui les fragilisent.
Les relations que les protagonistes nouent sont supposées fortes alors qu’elles ne sont construites sur rien. Ils se rencontrent et paf, super potes, amoureux transis, etc. C’était trop superficiel pour que je puisse m’attacher à eux où aux liens qu’ils se sont empressés de tisser comme des affamés. Et pour moi, les plus insupportables liaisons étaient celles de Ciara et Aban ou Andrew et Maureen : ils ne se connaissent pas, couchent ensemble (ce qui n’est pas LE problème) et forment en quelques heures un couple solide et uni qui se donne plein de petits mots d’amour, ceux que tu donnes à l’autre quand la relation est sérieuse… donc pas dans les deux secondes avant de s’être envoyé en l’air… du coup, je n’ai pas cru un seul instant en leurs sentiments. Ce sont d’ailleurs des moments qui m’ont ennuyée.

J’ai nettement préféré les passages où il y avait les méchants, non pas parce qu’ils sont mauvais, mais parce qu’il y a plus d’interactions avec le monde qui les entourent donc plus de descriptions… la scène où Erwan apparaît au-dessus d’Utopia et contemple les dégâts de son œuvre était fascinante. Ou même le combat final ! Il est prenant, la plume de l’auteure est fluide, les transitions également, ce qui n’est pas le cas dans le reste du roman.
J’aurais aimé qu’il y ait plus de scènes du même acabit.
C’est triste parce que l’auteure a développé un univers intéressant avec les différentes terres qui composent Utopia (Terre d’Enfance, Terre du Savoir, Terre du Surréalisme, etc.), mais là encore le voyage à travers ces lieux auraient pu être plus longs et plus développés, ils auraient mérité un chapitre entier chacun. Mais ce n’est pas la cas.

Bref, je ne vais pas m’éterniser. Je suis soulagée que ce soit terminé.

ABC Imaginaire 2021 – lettre L :
14/26

The Promised Neverland, tome 20 – Kaiu Shirai & Posuka Demizu

Titre : The Promised Neverland, tome 20
Scénario : Kaiu Shirai
Dessins : Posuka Demizu
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 233
Quatrième de couverture : De retour à Grace Field House, Emma et ses compagnons réussissent par un incroyable tour de force à reprendre le contrôle de la ferme ! Par miracle, Maman rejoint leur camp mais un ultime ennemi se dresse face à eux, Peter Ratri. Alors que ce dernier commence à douter face à la détermination d’Emma, un bouleversement que personne n’aurait imaginé se produit !
Le suspense et la tension tissent cette ode à la liberté qu’est The Promised Neverland jusqu’à un final sublime, véritable lueur d’espoir au cœur d’un univers glaçant.

Oh la la ! C’est le dernier tome de cette saga ! Je n’en reviens pas… c’est passé à une de ces vitesses !
Emma, Norman, Ray et leurs acolytes ont réussi non seulement à prendre le contrôle de Grace Field, mais également à capturer Peter Ratri. Bien joué !
Dans un second temps, le grand-duc Leuvis est revenu d’entre les morts (oui, il avait bien été tué par Yugo, ma mémoire n’était pas si défaillante finalement), il pourrait prendre le pouvoir vu son rang et sa parentèle, mais il n’en fait rien… il ne laisse pas pour autant les démons sans gouvernement.
Tout semble rentrer dans l’ordre, il est donc temps pour nos héros d’accomplir la nouvelle promesse et de partir tous ensemble dans le monde des humains, qui selon Ratri est aussi impitoyable que l’est celui des démons. Argh ! C’est l’occasion de le découvrir.

Points positifs :
– c’est la fin, une vraie conclusion à cette histoire passionnante.
– on a les explications qui nous manquaient sur Minerva , son décès et son rôle au sein du clan Ratri, ainsi que celui de Peter.
– on découvre les termes de la nouvelle promesse.
– les dessins sont un peu moins laids en ce qui concerne les humains.

Points négatifs :
– la fin est trop rapide à mon goût, du moment qu’ils quittent Grace Field.
pas le temps d’explorer, ne serait-ce qu’un peu, le monde des humains et les détails exposés sont très succinct.

À part ça, je suis enchantée de ma lecture. Une fois commencée j’ai eu du mal à m’arrêter, même pour manger.
C’est un coup de cœur pour ce dernier tome.