Instruments de travail

Bonjour à tous,

aujourd’hui, j’avais envie de vous présenter mon instrument de travail, celui avec lequel je réponds aux mails, je rédige mes chroniques, je discute sur différents réseaux sociaux, j’inscris les jeunes en tant qu’adhérents ou invités, je lis certains blogs, j’écris  mes livres.
Lorsqu’on a acheté mon ordinateur portable Médion, c’était une tuerie, ultra rapide, pouvant faire tourner n’importe quel jeu vidéo.
Actuellement, ce PC (photo ci-dessous à droite) est plutôt catastrophique : l’une des charnières est cassée, je ne peux donc plus le fermer depuis de longs mois parce que cela casse un peu plus la dalle. Il n’y a que 120 GO de place, disque dur en SSD -réécritures rares parce qu’il ne les supporte pas bien-, donc une fois Windows installé, ça ne laisse pas beaucoup de place, tellement peu en fait que je stocke tous mes documents, images, manuscrits sur une clé USB 4 GO. Sans compter que depuis un moment déjà, il est de plus en plus lent. Avec tout cela, je ne peux même plus jouer à des jeux : ils prennent trop de places sur le disque dur, ils demandent une puissance qu’il n’a plus.

instruments de travailDepuis maintenant presque deux mois, on m’a légué une véritable bête de course (photo ci-dessus à gauche). Beaucoup de place sur le disque dur, rapidité d’ « action », puissance,… mais je n’ai pas encore eu le courage de l’utiliser. Avant cela, il faudrait que je le formate (il contient une partie Linux -la plus grande, dont je suis bien incapable de me servir- une partie Windows -bien trop petite). Jusqu’à présent, je n’ai pas pu alors que les semaines passent.
Pourtant hier, j’ai pris la difficile et douloureuse décision de le faire, sinon, je ne pourrais jamais passer à autre chose et reprendre ma vie et mes loisirs.
J’ai commencé par tout sortir du sac-housse (PC portable, batterie, adaptateur USB, tablette, stylet, etc…) qui l’abritait et je l’ai lavé ; une décision encore pénible mais ce qui m’a facilité la tache, c’est que l’odeur qui l’imprégnait avait déjà commencé à s’évanouir au point que même mon chat ne s’y frotte plus depuis deux semaines. Ça m’a pris du temps de le mettre dans la machine, j’en ai pleuré en la démarrant. Ça m’a tout autant fait souffrir lorsque j’ai annoncé à mon homme qu’il pouvait le formater… une espèce de mise à mort…

Don semaine prochaine, si je me résigne à l’utiliser, j’aurai un tout nouveau PC, une bête de course.

Illuminations – Eté 2014

Au début de l’été, j’ai été voir les illuminations avec les enfants. j’avais plein de choses à en dire mais n’avais pas de photos. Maintenant, j’ai les photos, je n’ai pas envie de commenter.
Des images en disant plus long qu’un discours, je vous laisse découvrir ce que la ville nous a offert pour cet été 2014.
Merci à Luc pour les photos qu’il a prises (les miennes ne rendaient pas si bien), même pour celles qui sont penchées, pourtant, il n’avait pas bu ! :p

Cathédrale

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20140818_22224220140818_22265820140818_222727Barrage Vauban
Ponts couverts - Barrage vauban
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Visite du Haut-Koenigsbourg

Haut-KoenigsbourgLe 31 juillet, nous nous sommes rendus au Haut-Koenigsbourg afin de visiter le château. Cela faisait des années que je désirais y aller et mon fils m’avait demandé si on pouvait aller dans un château pour les vacances, c’est enfin chose faite.

Mais avant, un peu d’histoire et quelques dates importantes :
1147 : Première mention du château des Hohenstaufen.
1462 : Siège et démantèlement du château occupé à cette époque par des chevaliers brigands.
1479 : Donné en fief par les Habsbourg aux Thierstein. reconstruction et équipement pour la défense contre l’artillerie.
1633 : Durant la Guerre de Trente Ans : siège, pillage par l’armée suédoise puis incendie et abandon du château.
1899 : Don par la ville de Sélestat à l’empereur Guillaume II.
1900-1908 : Restauration par l’architecte berlinois Bodo Ebhardt, se référant à l’état du château en 1479.
1918 : Retour à la France.
1919 : Classement en tant que Palais National.

Balade à travers la forêtOn a mis une petite heure pour y arriver, on a garé la voiture au premier parking puis on a marché à travers la forêt jusqu’à arriver au château, ça montait sec mais c’était agréable, beaucoup plus que si on avait longé la route.
Comme on ne connaissait pas du tout les lieux, on a opté pour une visite guidée ludique plus sympathique pour les enfants. L’inconvénient, c’est que ma fille l’avait déjà faite en juin avec l’école avec le même guide, le cuisinier des Thierstein. Ça n’a dérangé ni elle, ni le guide même s’il l’a reconnue, ça a été l’occasion de la charrier et de faire rire tout le monde.

La visite nous a placé en 1490 et on a eu droit à l’histoire du château dans ces années-là ce qui était super intéressant.
On nous a conté la vie au sein du Haut-Koenigsbourg à cette époque ce qui n’était pas une surprise pour les adultes mais c’est là qu’on se rend compte que les enfants manquent foncièrement de culture médiévale :
Escaliers menant aux quartiers des noblesLes gueux qui vivaient dans la basse cour, lieu où le marché hebdomadaire s’organisait, lieu qui menait au moulin, à la taverne, aux cuisines, etc… avec un escalier menant à la partie haute du château occupée par les nobles puis un pont-levis suivi de superbes escaliers sculptés dans le gré et qui conduisent aux appartements du seigneur des lieux (vous pouvez d’ailleurs ci-contre voir ces escaliers que je trouve d’ailleurs magnifique). Le Haut-Koenigsbourg était habitait par le comte Thierstein qui est également le seul chevalier, sa femme dame Otilia, ses trois enfants, une dizaine de gardes et les gens y travaillant.
Pour pouvoir accéder à cette basse cour, il fallait passer une première porte puis une seconde, la herse et enfin une dernière porte, autant dire qu’il n’était pas aisé de pénétrer la fortification ; par contre, dans les hauts quartiers, ça m’a étonné : seul un petit pont-levis empêche d’éventuels attaquants d’accéder aux appartements des nobles. Sans compter qu’avant même qu’un ennemi arrive à ces premières lignes de défense, il fallait réussir à traverser la forêt sans être repéré par le donjon qui contenait les canons défensifs, le premier bastion situé juste au dessus des murs protecteurs qui font dans les 9m d’épaisseur.

Première porte Seconde et troisième porte + herse

Pour situer un peu cette époque médiévale, le cuisinier Joscelyn a improvisé une cérémonie d’adoubement et mon garçon a été son assistant adoubé. Ça a été un super moment, le petit était à fond, les autres aussi d’ailleurs ^_^

cérémonie d'adoubementPuis il nous a expliqué comment le comte de Thiersten est entré en possession du château :
En 1462, les lieux étaient occupés par 30 chevaliers brigands qui, grâce à la vue qu’ils avaient sur la plaine d’Alsace, pouvaient organiser des raids et piller à loisir les marchands et voyageurs. Les locaux ont au bout de quelques années été voir les villes de Strasbourg et de Bâle afin de demander leur aide. Elles répondirent à l’appel et envoyèrent à elles deux un contingent de 300 chevaliers.
Une fois arrivés sur place, les brigands avaient fui depuis longtemps, abandonnant le château. Malgré cela, les chevaliers s’installèrent dans la forêt et canonnèrent pendant 5 jours, c’est le temps qu’il fallut pour le détruire totalement.
Puis, le Haut-Koenigsbourg fut donné à la famille Thiersten et le château fut reconstruit en 10 ans.

Bref, ça a vraiment été une très bonne visite, les enfants ont adoré et je pense que les adultes aussi. Enfin, moi, j’ai bien rigolé et j’en ai appris pas mal sur l’histoire du coin, ce qui est bien ^_^

Plus d’internet

A p'us connexion T_T

Bon, la nouvelle est tombée tout à l’heure, 6 DSLAM du Bas-Rhin sont tombés depuis 10h ce matin dont le mien. Je n’ai donc plus le net pour une durée indéterminée. J’arrive miraculeusementet avec bebeaucoup de difficultés à écrire ce très court article.

À très bientôt,  j’espère.