Titre : Les grands lointains
Saga : Ninn, tome 2
Scénario : Jean-Michel Darlot
Illustrations : Johan Pilet
Éditeur : Kennes
Nombre de pages : 64
Quatrième de couverture : Les quais du métro Abbesses fleurissent d’avis de recherche : Ninn a disparu ! Si pour la police il est trop tôt pour s’inquiéter, pour Chad et Ulrika, ses deux meilleurs amis, il n’y a pas de temps à perdre : Ninn est en danger ! La jeune adolescente ayant évoqué son projet d’explorer les tunnels du métro, c’est en sous-sol qu’ils vont tenter de retrouver sa trace… Tout au bout de la ligne noire, perchée sur son tigre qui lui sert de guide, Ninn a rejoint les grands lointains : un monde parallèle censé lui fournir toutes les réponses sur ses origines. Si à première vue, il a toutes les apparences d’un monde merveilleux, le comité d’accueil l’est beaucoup moins. Géants de pierre et idées sombres entendent protéger les lieux de toute intrusion…
Entrons sans plus attendre dans le vif du sujet.
Ninn a pris la ligne noire et se retrouve dans les grands lointains. Accompagnée du tigre, elle doit rejoindre le fanel. Malheureusement, les Idées Noires s’interposent et la jeune fille est contrainte de faire équipe avec la créature tachetée de jaune, ce qui ne lui plaît pas.
J’avoue que je ne me souvenais pas du tout de cet acolyte de fortune. J’ai le vague souvenir d’un type bizarre en imper qui espionnait notre héroïne et pourchassait le vieux fou, mais rien de plus. C’est un personnage que j’ai bien aimé, par contre, je ne suis pas fan de la façon dont Ninn le traite : il est loin d’être du même acabit que les Idées Noires. Et puis, il l’a aidée plus d’une fois, un lien aurait dû se créer entre eux deux. J’ai trouvée notre héroïne très injuste avec lui…
J’ai encore un peu de mal avec les dessins, je finis par m’y faire, mais le début fait toujours un choc.
Je n’ai malheureusement pas grand-chose d’autre à ajouter. J’ai lu ce second tome il y a presque une semaine… et j’ai complètement oublié d’écrire ma chronique. Quand mes avis ne sont pas rédigés à chaud, j’ai toujours du mal à mettre à plat mes idées et là, avec la fatigue, ça n’aide pas.
Je vais donc m’arrêter là. Je conclurai en disant que j’ai bien aimé ma lecture.