Et si les chats disparaissaient du monde… – Genki Kawamura

Titre : Et si les chats disparaissaient du monde…
Auteur : Genki Kawamura
Éditeur : POCKET
Nombre de pages : 166
Quatrième de couvertureA 30 ans, le narrateur de ce livre apprend par son médecin qu’il est condamné. Il ne lui reste plus que quelques semaines à vivre. Aussi lorsque le Diable, cet étonnant visiteur en short, lui propose un marché, n’hésite-t-il pas longtemps. Les clauses du contrat ? Effacer, à chaque jour que Dieu fait, une chose de la surface de la Terre lui vaudra vingt-quatre heures de vie supplémentaires… Les téléphones, les montres : jusqu’ici, c’est à qui perd gagne… Mais lorsque le Diable lui propose de supprimer les chats, sa vie va basculer une deuxième fois…

J’aurais volontiers révélé que la raison qui m’a poussée à lire ce roman, c’était la couverture avec ce chaton noir si mignon, mais non. Par contre, c’est bien elle qui m’a incitée à lire le résumé et c’est bien ce dernier qui m’a donnée envie de découvrir cette lecture. Ce fut d’ailleurs un très bon choix.

À l’âge de 30 ans, le narrateur apprend qu’il a un cancer et qu’il n’en a plus pour longtemps à vivre. Et c’est le moins qu’on puisse dire… Le diable lui confirme sa mort imminente et lui propose un deal : il gagne un jour de vie et en échange, Satan efface une chose de la surface de la Terre. Le narrateur pèse le pour et le contre : ça devrait être facile, il a déjà des milliers de choses à faire disparaître dans son appartement. Donc il accepte sans se renseigner sur toutes les clauses du contrat : il s’est fait avoir, c’est le Diable qui choisit et propose ce qu’il efface et c’est au narrateur d’accepter ou pas. Trop tard pour revenir en arrière.

Bien entendu, une fois que chaque proposition est adoptée, on découvre les conséquences à petite échelle de ces choix et j’ai trouvé cela surprenant ! Les téléphones portables disparus ne déchaînent pas des foules en colère, les montres effacées ne paniquent pas la population… Chaque objet supprimé permet une réflexion de l’auteur sur notre époque, sur nos obsessions, sur notre rapport au temps, mais aussi sur le rapport aux autres, etc. Ce ne sont pas des théories philosophiques de fou, ce sont davantage des remarques facilement abordables pour tous, même pour des plus jeunes (peut-être pas les primaires, mais au moins pour des collégiens), et assez intéressantes.

Le narrateur m’a laissé pour le moins indifférente, mais j’ai adoré le diable, il était trop drôle… Non pas pour son apparence, même si j’ai souri à chaque commentaire du narrateur sur ses chemises à fleur, mais plutôt pour les dialogues qu’ils échangent. Je pourrais citer bon nombre d’exemple mais ça vous gâcherait le plaisir de les découvrir par vous-même.

J’ai adoré cette lecture et la seule raison qui fait que je ne l’ai pas classée dans « coup de cœur », c’est la fin : c’est une fin ouverte et je déteste ça ! Le personnage se rend dans un endroit important et ça s’arrête là. Au fil des pages, on a suivi son histoire personnelle et là, on n’a pas le fin mot du récit. On se doute de comment ça va tourner, mais c’est pas pareil que d’avoir la version de l’auteur.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Croque-en-manche (4ème année) – Un livre pour lequel vous auriez souhaité une fin différente40 points

La lignée, tome 3 : La nuit éternelle – Guillermo Del Toro & Chuck Hogan

Titre : La nuit éternelle
Saga : La lignée, tome 3
Auteurs : Guillermo Del Toro & Chuck Hogan
Éditeur : POCKET
Nombre de pages : 512
Quatrième de couverture : Une nuit sans fin s’est abattue sur la Terre depuis l’apocalypse nucléaire déclenchée par le Maître. Les vampires, qui ont proliféré à un rythme vertigineux, ont réduit les humains à l’état de bétail, car, à leurs yeux, seul leur sang a encore de la valeur.
Un groupe de survivants résiste encore. Mais Ephraïm Goodweather, leur leader, n’est plus que l’ombre de lui-même : il ne s’est jamais remis de l’enlèvement de son fils et de la liaison entre sa petite amie, Nora, et son allié, Fet. Profitant de son désespoir, le Maître lui propose d’épargner son fils en échange de l’Occido Lumen. Dans ce très ancien manuscrit, préservé au prix du sacrifice du professeur Setrakian, se trouve la clé pour détruire le Maître.
Ephraïm fera-t-il passer la vie de son fils avant le salut de l’humanité ?

Après avoir passé 3 jours à freiner des 4 fers pour ne pas le finir trop vite et profiter plus longtemps de cet univers post-apocalyptique, je me suis décidée aujourd’hui à terminer les 70 dernières pages… Il me faut dire merci à la petiote que je garde : 3 heures de sieste ce matin, et ce, d’une traite, c’était royal !

Entrons dans le vif du sujet : entre le tome 2 et le 3, on a une ellipse de deux ans.
Le Maître domine le monde et sa progéniture a arrêté de se reproduire de manière incontrôlée. Zach vit avec lui, mais n’a pas été transformé, il est un atout trop précieux et peut servir de monnaie d’échange (si seulement c’en était la seule raison). Les humains sont assujettis aux strigoïs, certains sont encore libres (si on peut appeler ça comme ça). D’autres sont parkés dans des camps où on leur pompe le sang afin de nourrir les vampires.
Qu’en est-il de nos héros ?
Comme dans les précédents, ils résistent tant bien que mal. Chacun a son propre repère.
Eph s’est totalement laissé aller, il est un danger pour lui autant que pour les autres.
Nora protège sa mère et fait la liaison entre Goodweather et Vassili.
En parlant de Fet, il continue ses tentatives pour traduire l’Occudo Lumen, mais il arrive au bout de ses capacités.
Gus vit avec deux de ses anciens compagnons de gang, quant à ses acolytes du groupe des Saphirs, ils ont élu domicile dans le New Jersey et Creem est devenu… resté… un idiot – je ne peux pas dire mieux.
Dans la chute, j’avais espéré en apprendre plus sur Quinlan et je n’ai pas été déçue. On découvre la raison pour laquelle il n’est pas mort avec les Aînés (une raison évidente qui posait malgré tout un certain nombre de questions notamment sur son allégeance), mais aussi son passé. Y a pas à dire, il a autant de classe que dans le 2 et c’est de loin mon personnage préféré.
J’ai également apprécié les autres protagonistes et au fil de leur lutte, je m’y suis attachée… même si par moment Eph me saoulait. Je lui aurais bien donné un coup de pied au cul, grrrrrr !
N’empêche qu’à part Gus (que j’adore pour sa ténacité et son aspect gros bourrin qui a oublié d’être bête), aucun ne m’a autant plu que Quinlan. Finalement, c’est pas étonnant : les deux personnages-là sont assez proches niveau force de caractère (aussi obstiné l’un que l’autre dans leur lutte) tout en étant à l’opposé dans leur attitude (l’un est plutôt de la dynamite, alors que le second est calme).

L’univers est très entêtant au point que j’ai du mal à me plonger dans ma nouvelle lecture.
Bref, j’ai adoré ce tome final et je suis tristounette d’avoir terminé la trilogie de la lignée, mais je me console en me disant que d’ici trois mois (le temps de regarder les séries dans ma Pile à Voir 😉 ), je pourrais commencer la série The Strain qui est, de ce que ma meilleure amie m’en a dit, tout aussi bien.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Démonzémerveille (Chasse aux animaux fantastiques) – Un livre avec des créatures nocturnes dans l’histoire40 points

La lignée, tome 2 : La chute – Guillermo Del Toro & Chuck Hogan

Titre : La chute
Saga : La lignée, tome 2
Auteurs : Guillermo Del Toro & Chuck Hogan
Éditeur : POCKET
Nombre de pages : 416
Quatrième de couverture : Tandis que les vampires envahissent les rues de New York, l’épidémiologiste Ephraïm Goodweather, son fils Zack, Nora, sa collègue et petite amie, Fet le dératiseur et le professeur Sertakian tentent de s’organiser face au chaos. Car partout dans la ville et dans le monde, des émeutes éclatent, des milices se mettent en place et les êtres humains se retrouvent impuissants face à leurs prédateurs, les vampires, pour qui ils ne sont rien d’autre qu’une source de nourriture.
Ephraïm saura-t-il protéger Zach de sa mère qui, devenue vampire, veut à tout prix récupérer sa progéniture ? Pourra-t-il, à l’aide de ses amis, déjouer le plan diabolique du Maître qui menace de mettre fin à l’humanité ?

Avant de reprendre cette saga, j’ai relu la chronique du premier tome et j’ai constaté que cela fait presque trois ans que je l’ai lu ! Chose surprenante quand on connaît ma mémoire de poisson rouge : je me souvenais assez bien de ce qu’il s’y passait, certes pas tout mais l’essentiel.
Il faut dire aussi que c’était une lecture et un univers particulièrement entêtants, sans compter que les auteurs reviennent souvent sur les évènements passés avec plus ou moins de détails, c’est bien agréable de ne pas avoir à se triturer l’esprit pour se souvenir du premier tome.

Comme dans le précédent, l’histoire est complexe.
Le point positif, c’est que ça part moins dans tous les sens : on se retrouve rarement à suivre de parfaits inconnus. On est plus centré sur les personnages principaux de cette intrigue qu’ils soient humains ou vampire. D’ailleurs, c’est probablement la raison pour laquelle j’ai préféré ce second tome au premier.
Je vais essayer de résumer au mieux :
– Après avoir affronté le Maître et l’avoir blessé, Setrakian se retrouve diminuer. Il fait toujours équipe avec Fet et Ephraim pour vaincre les vampires. Son but : se procurer l’Occido Lumen, un livre retraçant l’histoire et les secrets des buveurs de sang.
– Kelly, l’ex femme d’Eph, a été transformée en vampire et essaie désespérément de capturer leur fils, Zach afin de le contaminer… enin ça, c’est qu’on nous laisse supposer. Le seul moyen pour Goodweather de sauver son enfant est de l’envoyer loin, en compagnie de Nora, son amante et ex-collègue.
– Gus a été capturé par les Aînés qui lui proposent de travailler pour eux et monter une armée afin de vaincre le Maître et de contrer ses plans. Ils lui donnent un homme de main, Quinlan, que j’ai adoré – je le trouve trop classe et j’espère qu’on en saura davantage sur lui dans le trois, mais rien n’est moins sûr vu comment cela tourne.
Je pense que j’ai fait un bon tour d’horizon. Bien sûr, rien ne se passe comme prévu et tout le monde prend cher, peu importe le camp qu’il a choisi.

Si je n’avais pas déconné pendant cette lecture (sortir et avoir une vie privée, travailler plutôt que de lire, avancer dans l’ultime saison de ma série, manger et dormir), je l’aurais lu beaucoup plus vite. C’était vraiment passionnant.
Les personnages sont tout aussi attachants, Eph peut-être plus dans ce tome-ci parce qu’on apprend comment était sa vie avec Kelly. Je ne sais toujours pas si j’apprécie Vassili, je suis partagée.

C’est un coup de cœur pour ce second tome que j’ai dévoré en cinq petits jours. J’ai tellement aimé que je commence dès ce soir le troisième et dernier tome, comme ça, je pourrais entamer la série télé, The Strain, dans les semaines qui viennent sans avoir peur de me spoiler.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Batteurs (5ème année) – Un livre écrit à quatre mains (deux auteurs) – 50 points

La danse des ombres, tome 1 – Yelena Black

Titre : La danse des ombres, tome 1
Auteur : Yelena Black
Éditeur : 12-21
Nombre de pages : 332
Format : E-Book
Quatrième de couvertureLorsque Vanessa Adler commence les cours au sein de la prestigieuse Académie du New York Ballet, elle cherche autant à devenir une étoile qu’à retrouver sa soeur, brillante élève de l’école jusqu’à sa mystérieuse disparition. Mais sa quête se complique lorsque son talent attire l’attention du grand chorégraphe Josef Zhalkovsky: la jeune fille est choisie pour incarner le premier rôle de L’oiseau de feu de Stravinsky. Elle est alors loin d’imaginer quelle puissance maléfique a jeté son dévolu sur elle…

J’ai commencé cette lecture pour l’un des items éphémères de Noël pour le challenge Coupe des 4 maisons, en temps normal, je n’aurais même jamais posé un œil dessus : non pas parce que la couverture ne me plaisait pas (même si je suis partagée : je la trouve jolie surtout en noir et blanc sur liseuse, mais la tronche du personnage me dérange), mais parce que l’histoire tourne autour de la danse, un thème qui ne m’intéresse pasÇa aurait vraiment été dommage de passer à côté de ce roman.

Vanessa entre à l’académie du New-York Ballet. Elle est douée en danse, mais la passion n’est pas là et ce n’est pas la raison pour laquelle elle a accepté de rejoindre cette école : en réalité, elle cherche à trouver des indices sur la mystérieuse disparition de sa sœur aînée qui a eu lieu deux ans auparavant dans ce même établissement.

Dès les premières pages, j’ai été prise dans l’histoire. L’auteure est parvenue sans difficulté à me plonger dans une ambiance angoissante et c’était bien joué, d’autant que c’est une sensation qui est restée tout au long de ma lecture.
Je n’ai pas fait attention une seule seconde à un détail qui aurait dû me titiller et ne m’a sauté aux yeux qu’une fois le roman terminé : on ne rencontre que deux professeurs dans l’école, est-ce qu’elle n’est dirigée que par Josef et Hilda ? Ou est-ce qu’il y en a d’autres qu’on ne voit jamais ? Ça fait faible quand même pour une telle académie. Alors d’accord, on ignore combien il y a d’élèves, mais il semble y avoir trois classes, une par année, et les étudiants sont quand même un certain nombre… Trop pour n’avoir que deux enseignants, surtout que l’un d’entre eux est constamment avec le groupe qui doit jouer l’oiseau de feu…
Hormis ce détail qui me paraît incohérent, l’histoire est rondement menée et ça avance à un bon rythme sauf à la fin : les personnages reviennent régulièrement sur les disparitions des anciennes danseuses, et se posent des questions ; dans le tas, je dirais que la dernière était de trop surtout que ça n’avance à rien, le reste était bien dosé.

J’ai bien aimé les personnages, on ne voit peut-être pas assez à mon goût les secondaires : Steffy, TJ ou Blaine qui m’ont beaucoup plu. Vanessa est gentille et attachante malgré les choix discutable qu’elle fait (là, je parle surtout d’une décision finale qu’elle prend qui m’a fait grincer des dents… C’était couru et cohérent mais qu’est-ce que je l’ai trouvée stupide !). Je n’ai eu aucun mal à m’identifier à elle, peut-être parce qu’elle ne vit pas uniquement pour la danse comme je le redoutais, au début elle compte les pas, une tactique qui revient, puis elle finit par apprendre à vibrer.

J’en suis la première surprise, mais c’est un coup de cœur pour ce roman et j’ai très envie de me procurer la suite…

Challenge Coupe des 4 maisons :
Bal de Noël (Item éphémère du 23 décembre au 5 janvier) – Un livre où la danse tient une place importante – 70 points

Le royaume évanoui – Laura E. Weymouth

Titre : Le royaume évanoui
Auteur : Laura E. Weymouth
Éditeur : PKJ
Nombre de pages : 408
Quatrième de couverture : Une nuit, alors qu’Evelyn donnerait tout pour échapper aux bombardements qui touchent Londres, sa sœur Lena et elle sont transportées dans la Grande Forêt, fabuleux royaume peuplé de créatures fantastiques. Quand elles sont de retour quelques décennies plus tard (l’équivalent de quelques minutes terrestres), Evelyn a une idée fixe : retrouver le paradis perdu de la Forêt. Après quelques vaines tentatives, elle sombre dans la dépression… et disparaît. Lena, partie étudier outre-Atlantique, renoncera-t-elle à sa vie moderne et à son amoureux, Jack, pour sauver sa sœur bien-aimée ?

Je remercie Babelio ainsi que PKJ pour la confiance qu’ils m’ont accordée avec ce partenariat.
Ma chronique ne sera pas difficile à écrire, je sais depuis des jours ce qu’elle va contenir, mais par où commencer ? Peut-être par le plus simple

Le roman se divise en deux parties : le récit d’Evelyn sur 211 pages se passe en 1949, suivi par celui de Lena en 1950. Autant j’ai détesté la première histoire, du moins jusqu’à la page 170 environ – j’ai mis une semaine pour lire si peu -, autant j’ai adoré la seconde qui a été dévorée en trois jours.

Si le début a déplu, c’est pour plusieurs raisons :
je n’aime pas le personnage d’Evelyn qui m’a totalement laissée indifférente, par contre, je me suis attachée à Tom, c’est lui qui a sauvé la fin de la première partie.
les passages trop abrupts entre le présent d’Evelyn et son passé dans la Grande Forêt. Y a aucune transition de l’un à l’autre puisqu’on alterne à chaque chapitre. C’est assez désagréable parce que cela interrompt régulièrement des moments captivants et ça casse le rythme.
les passages qui se passent dans la Grande Forêt sont inintéressants et pas suffisamment développés pour que j’ai pu m’investir émotionnellement dans ce monde. Cervus est fade et je n’ai pas compris ce qui attachait tellement Evelyn à cet autre univers ou au cervidé, gardien de la forêt. Un récit pour moi aussi vide que l’est Narnia, la ressemblance est trop présente pour ne pas comparer avec l’œuvre de C.S. Lewis.

Par contre, dès qu’on arrive à la période des fêtes de Noël, tout change : les souvenirs sont mieux intégrés au sein du récit, le ton est plus sombre, et l’histoire devient captivante. Et je ne parlerai même pas de la partie avec Lena. L’auteure prend le temps de développer son personnage. La sœur aînée des Hapwel s’ouvre au lecteur et en devient d’autant plus attachante.
L’ambiance instaurée est spéciale, j’ai particulièrement aimé les moments au sein du musée de la National Gallery. J’ai adoré découvrir les coulisses de la restauration de tableaux. Et jusqu’à ce que Lena y travaille, je me demandais si l’auteure avait fait des recherches sur les années 50. Certains détails sont trop vagues et bien trop intemporels pour être passés sous silence sans que cela passe pour de l’ignorance : genre, le voyage en avion de Lena qui se fait en une nuit alors qu’à cette époque, c’était pas loin de 24h (même avec le décalage horaire, on en est loin). Sans compter qu’elle rentre quasiment tout de suite, il ne devait pas y avoir de trajet outre-atlantique tous les jours à cette époque… Quant à l’argent, un vol New-York Londres, c’était quasiment 400 dollars, une fortune ! Comment elle l’a obtenue ? Ça m’a fait grincer des dents et ce n’est pas la seule chose qui m’a fait cet effet.

Mais à partir du moment où Lena est embauché, je n’ai plus rien trouvé à redire à l’histoire. L’héroïne a réussi à m’incorporer dans sa vie, à me faire vibrer à ses côtés.
Je suis quand même contente d’avoir persévéré dans cette lecture parce que, malgré un début laborieux, j’ai finalement bien aimé et c’était pas gagné d’avance.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Greta Grandamour (1ère année) – Un livre d’un auteur que vous n’avez jamais lu – 10 points