Le monde de Milo, tome 03 : La reine noire, partie 1 – Richard Marazano & Christophe Ferreira

Titre : La reine noire, partie 1
Saga : Le monde de Milo, tome 03
Scénario : Richard Marazano
Illustrations : Christophe Ferreira
Éditeur : Dargaud
Nombre de pages : 56
Quatrième de couverture : C’est le monde à l’envers : Milo est invité de « l’autre côté » par le sorcier, le père de Valia, qui était, il y a peu, son ennemi et que, par ailleurs, il croyait mort ! Ce dernier a besoin de de l’aide du jeune garçon. La situation au village est désespérée : le poisson d’or est très malade, et surtout, les enfants, mais aussi Valia, ont été capturés par les araignées géantes de la Reine noire. Milo se lance à leur recherche et va de surprise en surprise…

Je n’étais pas super motivée pour lire ce troisième tome, j’ignore pourquoi, mais je ne le sentais pas.

Milo est rentré et il doit attendre les prochaines vacances pour repartir. C’est sans compter la réapparition du vilain sorcier des volumes précédents.
Il ramène Milo dans son monde pour sauver Valia qui est tombée sous la coupe de la reine noire. Au village, il apprend que le poisson d’or est mourant et que les enfants ont été enlevés. Notre héros part donc avec les hommes pour une mission de sauvetage.

Que dire sur cette lecture ? C’était un récit plat et sans surprise. Ce n’était pas déplaisant, mais lire ça ou un article de journal, ça me fait le même effet.
Le sorcier a repris ses esprits et n’est finalement pas si méchant que ça, je n’ai pas cru à sa rédemption – Attention, je ne dis pas qu’elle n’est pas sincère, je dis juste que c’est trop facile.
Jusqu’à présent, j’aimais bien les trois grand-mères, mais là, je les ai trouvées un peu lourdingues.

Les dessins sont toujours aussi sympas à la manière Ghibli, mais les couleurs sont trop ternes et ça pêche de ce côté-là.
Je pourrais continuer à blablater pour meubler, mais j’ai l’impression que peu importe ce que j’écris sur ce tome, c’est vide.
Donc je vais m’arrêter là et terminer en précisant que cette lecture m’a laissée indifférente.

Les dames du Lac, intégrale – Marion Zimmer Bradley

Titre : Les dames du Lac, intégrale
Auteur : Marion Zimmer Bradley
Éditeur : France Loisirs (Fantasy)
Nombre de pages : 805
Quatrième de couverture : La légende du Roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde n’avait, depuis longtemps, inspiré un roman d’une telle envergure, d’un pareil souffle. Et, pour la première fois, ce draine épique nous est conté par une femme à travers le destin de ses principales héroïnes. Bien sûr, Merlin l’Enchanteur, Arthur et son invincible épée Excalibur, Lancelot du Lac et ses vaillants compagnons, tous sont présents mais ce sont ici les femmes, exceptionnellement attachantes, qui tiennent les premiers rôles : Viviane, la Dame du Lac, grande prêtresse d’Avalon, Ygerne, duchesse de Cornouailles et mère d’Arthur, son épouse Guenièvre, Morgane la Fée, soeur et amante du grand roi… S’appuyant sur plusieurs années de recherches, cette épopée envoûtante est bien autre chose qu’un roman historique de plus. Elle relate la lutte sans merci de deux mondes inconciliables, celui des Druides et des anciennes croyances défendant désespérément un paradis perdu et celui de la nouvelle religion chrétienne supplantant peu à peu rites et mystères enracinés au coeur de la Grande Bretagne avant qu’elle ne devienne l’Angleterre. Au-delà du rêve et de la réalité, au-delà des passions tumultueuses, où l’amour charnel, loin de toute notion de péché, pouvait s’extérioriser librement, au-delà des intrigues de Cour, des larmes et du sang, voici une nouvelle et fascinante reconstitution de l’un des thèmes romanesques les plus impérissables de toute l’histoire de l’Occident. Eternelle histoire d’amour et de mort, vécue et ressentie intensément par celles sans lesquelles l’exaltante aventure des Chevaliers de la Table Ronde, opposant forces du mal et hommes de bonne volonté, n’aurait jamais existé.

J’ai lu cette saga il y a bien 20 ans. Et depuis quelques semaines, j’avais bien envie de la relire pour voir si l’histoire était aussi intéressante que dans mes souvenirs (oui !), si la légende de Morgane et du roi Arthur était semblable aux connaissances acquises sur le thème depuis des années (non, l’auteure a pris beaucoup de largesses – ce qui n’est pas pour déplaire : ainsi, Morgane n’est pas grande vilaine de ce mythe).

J’ai mis énormément de temps à lire la première partie de cette intégrale : Les dames du lac. Je pensais avoir oublié des pans entiers du récit, mais c’est loin d’être le cas. Il m’a tellement marquée que je me suis rappelée chaque détail au fil des pages et comme je savais ce qui allait se passer, j’ai traîné.
Par contre, en ce qui concerne la seconde partie : Les brumes d’Avalon, à part la scène entre Guenièvre et Méléagrant, je ne me souvenais de rien, du coup c’était comme une nouvelle lecture avec l’engouement qui va avec donc je l’ai lu assez vite.
Ce qui est paradoxal parce que j’ai nettement préféré Les dames du lac.

Je vais essayer de résumer le plus succinctement possible, mais ce n’est pas gagné parce que c’est un roman très dense.
Ygerne est fille de Merlin et la demi-sœur de Viviane. Elle est mariée avec Gorlois, duc de Cornouailles et élève leur fille, Morgane.
Ygerne et Uther Pendragon s’éprennent l’un de l’autre et on sait tous comment ça finit : en guerre entre Gorlois et lui – ai-je vraiment besoin de préciser qui l’emporte ? Le Haut Roi trompe son monde pour rejoindre la femme qu’il aime… et paf, conception du célèbre Arthur.
En coulisse, Viviane et Merlin œuvrent : Morgane part avec la dame du lac à Avalon afin de lui succéder, Arthur est élevé loin de ses parents pour le préserver des manigances mortelles de la cour.
Les années passent. Arthur et Morgane participent aux feux de Beltane (ensemble, oui, beurk !) et la prêtresse tombe enceinte de son frère, ce qu’elle vit très mal d’ailleurs.
Arthur devient Haut roi après le décès d’Uther : il prête serment de rester fidèle au culte de la déesse et reçoit Excalibur ainsi que son fourreau magique en récompense. Il s’entoure également de puissants chevaliers, notamment Gauvain et Lancelot qui sont ses cousins et il épouse Guenièvre.
Le souci est que la religion chrétienne prend de l’ampleur et elle n’est pas connue pour sa tolérance envers les autres croyances.
Je vais m’arrêter là pour le résumé, l’essentiel est dit.

L’histoire, je la connaissais déjà donc sans surprise, je savais que j’allais aimé et le gros point fort pour moi, c’est la réhabilitation de Morgane la fée. Je m’explique.
Souvent, dans les mythes arthuriens, elle a le rôle de méchante, de traîtresse, de créature impie qui a abusé de son frère et a donné naissance à un fils encore plus maléfique qu’elle, Mordred – et la faute retombe systématiquement sur Morgane ; on ne connaît pas la raison de ses actes, le pauvre Arthur est la victime de ces manigances. Bref, une vision très chrétienne du mythe.
Dans les Dames du lac, elle n’est pas monstrueuse, même si l’église la fait passer pour une sorcière, ni responsable de l’inceste : elle sert la déesse, elle ignorait que le Roi-Cerf serait son frère et d’ailleurs, elle vit très mal la situation au point d’en vouloir à Viviane et de quitter Avalon.

Morgane est indéniablement mon personnage préféré : je n’ai eu aucun mal à m’y attacher, à la comprendre et ses diatribes contre la religion et son intolérance me parlent à un point…
Par contre, j’ai bien moins aimé les autres protagonistes :
Lancelot est beau et c’est la seule chose qu’il a pour lui, j’avoue que je ne comprends pas trop l’attirance qu’on toutes les femmes pour lui
– j’exècre Guenièvre. Elle se comporte comme une gamine capricieuse et égoïste. Elle est à la limite de l’hystérie dès qu’il s’agit de foi. C’est un pantin à la solde de l’évêque Patricius.
– en ce qui concerne Arthur, je suis partagée. Je l’appréciais au début, il jonglait entre anciennes croyances et nouvelle. Son rôle de Haut Roi chargé d’unir tous les peuples de Grande-Bretagne est rude. Mais très vite, il m’a gonflée : chaque fois, il cède aux caprices de Guenièvre au point de rompre tous ses serments pour calmer ses colères de gamine. Finalement, c’est un faible qui n’a rien à faire au pouvoir ; il ne doit sa survie qu’à la magie grâce à Excalibur et surtout au fourreau brodé par Morgane qui lui permet de guérir de ses blessures.

Même si j’ai mis quasiment deux semaines pour terminer ce roman, je l’ai adoré et je suis ravie de l’avoir relu – à noter que mon impression actuelle est relativement semblable à celle d’il y a 20 ans, la seule différence est qu’à l’époque, c’était un coup de cœur, pas là : mais c’est bien normal, je vis les choses avec moins d’intensité.

 

Coupe des 4 maisons :
Bibliothèque de Poudlard (7ème année) – lire une intégrale 70 points

Viking kått, tome 1 : Les ancêtres oubliés – David Quills

Titre : Les ancêtres oubliés
Saga : Viking kått, tome 1
Auteur : David Quills
Éditeur : AFNIL
Format : E-book
Nombre de pages : 272
Quatrième de couverture : Grâce aux nouvelles technologies, un chat revit les aventures de l’un de ses lointains ancêtres. À cette époque reculée, ce ne sont pas de simples chats, mais des Kåtts de culture Viking, capables de se mouvoir comme des humains.Son aïeul, Onzi, alors âgé de 16 ans, rêve de partir en exploration avec sa fratrie dans les mers du Nord. Grâce au légendaire Tournoi des Coussinets organisé en l’honneur du nouveau Jarl Ragnoll, une occasion rêvée de remporter un drakkar flambant neuf se présente à eux. Ils ne négligeront aucun effort pour obtenir la récompense et prendre le large, mais y parviendront-ils ?

Je ne sais pas trop quoi dire sur cette lecture. Le début a pris une tournure inattendue, le reste moins.

On est en 2080, Thomas a droit à un cadeau d’anniversaire. Il opte pour deux jeux utilisables sur son casque de réalité virtuelle. L’un des jeux est semi-éducatif et s’appelle : Les ancêtres oubliés. Il est censé lui permettre de découvrir ses ancêtres jusqu’à -4000 avant JC. Il se prépare à l’essayer, mais il est l’heure de partir fêter en famille et c’est son chat qui, par accident, se retrouve plonger dans l’aventure à l’époque des Viking Kått.
Onzi et son équipe participent au tournoi des Coussinets et donnent leur maximum pour remporter la première place : le prix est un drakkar, ils pourraient ainsi partir vers l’inconnu à la recherche de trésors.

J’ai trouvé la transition entre 2080 et l’ère des Viking Kått trop abrupte. Et honnêtement, la partie futuriste n’amène rien à l’histoire : on ne revient même pas dessus par la suite.
Le tournoi des Coussinets est sympathique et a permis de découvrir chaque personnage :
– les jumeaux Borri et Dyri passent leur temps à se disputer et à faire des conneries. Ils sont amusants, mais en font souvent trop.
Gryda adore manger et raconter des récits d’aventure. Les deux qu’elle conte à la suite ne m’ont pas convaincue de ses talents.
Onzi a beaucoup de qualités. C’est un meneur, il pousse les autres à avancer, il est réfléchi, il est sympa, mais je n’ai pas accroché.
Magnar est de loin mon préféré. J’ai aimé son attitude, sa douceur autant que sa force. En fait, j’ai trouvé que c’est celui qui est le mieux développé, on sait ce qu’il aime, il est partagé entre son désir de cuisiner et ses talents de sportifs, on connaît ses sentiments pour Frida.

J’ai grandement apprécié la plume de l’auteur qui est fluide et agréable. Ça s’est lu tout seul.
Au niveau de l’histoire, je pense que ce n’était pas assez sombre à mon goût, trop jeunesse : il y a beaucoup de passages de jeux (aux noms imprononçables, donc je ne me risquerai pas à les écrire) que ce soit le tournoi, le jeu de balle qui les départage les deux numéros 1, les jeux de boissons (c’est pas très jeunesse, ça) ou de plateau…
J’ai nettement préféré la partie où ils partent en mer, mais c’est genre les trois derniers chapitres et tout s’arrête soudainement au meilleur moment.
C’est une lecture qui m’a laissée indifférente. Dommage.

Coupe des 4 maisons :
Expecto Patronum (2ème année) – le premier livre publié d’un auteur 20 points

ABC 2022 – Lettre Q

L’Ickabog – J. K. Rowling

Titre : L’Ickabog
Auteur : J. K. Rowling
Éditeur : Gallimard (Jeunesse)
Nombre de pages : 341
Quatrième de couverture : La Cornucopia est un petit pays prospère gouverné par le naïf roi Fred. Mais ce pays coloré vit sous la menace d’un monstre : l’Ickabog. Un monstre devenu légende, que personne n’a jamais vu mais que le roi va décider de poursuivre afin de satisfaire ses sujets. Arrivé dans les Marécages, rien ne se passe comme prévu et cette quête est le début de nombreux problèmes qui va résulter à la lente descente aux enfers du pays.

J’avoue que je ne sais pas trop par où commencer. Ce fut une lecture surprenante parce que le personnage principal est le méchant de l’histoire. Il y a beaucoup de personnages, mais c’est Lord Crachinay qu’on suit le plus souvent.

La Cornucopia est un pays riche et les habitants vivent heureux, sauf ceux pauvres et afamés des marécages, là où habite le monstrueux Ickabog. Le roi, Fred Sans Effroi, est un imbécile : il se laisse aisément manipuler par lord Crachinay et lord Flapoon, deux hommes égocentriques, cupides et mauvais.
Le roi part chasser le légendaire Ickabog, mais cela tourne mal quand Beamish, le capitaine de la garde, est tué par accident par l’un des deux “amis” de Fred. Son acolyte invente alors une histoire qui accuse l’Ickabog. Et de mensonges en mensonges, la situation s’empire ; à grand coup de menaces et de ruse, Crachinay parvient à s’élever en tant que conseiller suprême et personne ne parvient à l’arrêter.

De ce côté-là, c’est quand même très jeunesse : Crachinay fait ce qu’il veut, il manque de subtilité et rue dans les brancards. C’est trop facile. Et puis, il est assez détestable, lui et tous ceux qui l’aident à accomplir ses méfaits : Flapoon, Blatt, Cankerby. Fred n’est pas moins antipathique : il est égoïste, vaniteux, et stupide.
Heureusement, bon nombre de personnages rattrapent le coup et sont bien plus sympathiques. Je ne savais pas quoi penser de Daisy et de Bert, mais ils sont attachants. J’ai eu une affection toute particulière pour Mrs Beamish, elle morfle mais elle est forte et rusée. Celui qui m’a étonnée, c’est Roderick mais je n’en dirai pas davantage.

J’ai adoré l’univers, si on exclut le côté enfantin des spécialités culinaires de Chouxville (que des pâtisseries, beurk ça ne me donnait pas envie). Je n’ai eu aucun mal à m’imaginer la-Cité-dans-la-Cité, l’orphelinat de madame Gromell ou les Marécages. J’ai pris tellement de plaisir à cette lecture que j’étais partagée : d’une part je mourrais d’envie d’avancer pour voir ce que nous réservait la suite, de l’autre je prenais mon temps pour lire afin de prolonger le plaisir et ne pas quitter ce monde agréablement entêtant.

J’ai adoré cette lecture et je suis triste de l’avoir déjà terminée.

Coupe des 4 maisons :
Engorgio (7ème année) – un livre d’au moins 55 chapitres 70 points

Cold Winter Challenge :
Hiver sombre 
– Père Fouettard (forces obscures, enfer, démon)

ABC 2022 – Lettre R

Syberia – Benoit Sokal & Dana Skoll

Titre : Syberia
Auteurs : Benoit Sokal & Dana Skoll
Éditeur : Michel Lafon
Nombre de pages : 316
Quatrième de couverture : Kate Walker, jeune avocate américaine, est envoyée dans le petit village montagnard de Valadilène pour conclure le rachat d’une usine d’automates qui appartient à la famille Voralberg. Mais à son arrivée, elle découvre qu’un héritier potentiel, Hans Voralberg, a disparu en Europe de l’Est. Créateur d’automates de génie qui a passé sa vie à chercher les derniers mammouths vivant sur Terre, il s’est lancé dans sa quête jusqu’au nord de la Sibérie. Kate devra le retrouver pour mener à bien sa mission et sera confrontée à de nombreux personnages et lieux étranges qui remettront en question la vie qu’elle s’était construite.

Étant fan du jeu Syberia, je ne pouvais pas passer à côté de ce roman qui retrace le parcours de Kate Walker.
Avocate New-yorkaise, elle est envoyée par son patron à Valadilène, petite bourgade des Alpes françaises, mandatée afin de conclure la vente de la fabrique d’automate des Voralberg.
Malheureusement, rien ne se passe comme prévu : non seulement la propriétaire Anna décède peu avant l’arrivée de notre héroïne, mais peu avant sa mort, elle révèle l’existence d’un héritier.
La vente ne peut donc pas se faire. Et Kate se retrouve contrainte de partir à la recherche de Hans Voralberg.

C’est un récit dense. Pour pouvoir retrouver Hans, Kate doit mener de tortueuses recherches : elle découvre le passé de la famille Voralberg, le parcours d’Anna, l’obsession de Hans et ce qu’il est devenu.
On rencontre beaucoup de personnages, mais peu reste du début à la fin. Ils sont bien amenés au sein de l’histoire et leur départ se fait tout aussi bien, du coup ça ne m’a posé aucun souci, alors qu’habituellement, j’ai du mal avec trop de personnages.

Bon, OK, je ne suis pas objective. Je me suis attachée à tous les héros, peut-être est-ce dû au fait que j’ai adoré joué aux deux premiers jeux vidéos, j’ai d’ailleurs refait le premier il y a peu, donc dans tous les cas j’avais un coup d’avance : je connaissais les personnages, j’entendais leur voix à chaque dialogue, je savais ce qui allait se passer… enfin seulement jusqu’à l’arrivée de Kate à Arabald (je n’ai pas fini le premier et ne me souviens que peu du second que j’ai confondu avec l’Amerzone).
J’étais curieuse de voir comment l’auteure allait transformer ce click and play en roman, surtout toute la partie réflexion et résolution des énigmes. Une bonne partie a été zappée et c’est une bonne chose, ça aurait alourdi le récit. Là, c’était fluide.

J’ai adoré cette lecture. J’aurais aimé avoir plus de temps à lui consacrer, mais la fièvre et la fatigue m’ont poussée à dormir plutôt qu’à lire.

Coupe des 4 maisons :
Nymphadora Tonks (2ème année) – un livre dont l’héroïne est une femme forte20 points

Cold Winter Challenge :
Cocooning hivernal
– Marrons glacés (Feel Good, gourmandise)

ABC 2022 – Lettre S