The promised neverland, tome 04 – Kaiu Shirai & Posuka Demisu

Titre : The promised neverland, tome 04
Texte : Kaiu Shirai
Dessins : Posuka Demisu
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 192
Quatrième de couvertureLe compte à rebours est enclenché pour Norman : Maman va le livrer aux démons ! Emma et Ray n’ont que très peu de temps devant eux pour tenter de contrecarrer l’implacable Isabella. Une seule solution, mettre à exécution leur plan d’évasion au plus vite ! Parviendront-ils à sauver leur ami ?

Je trouve que plus on avance dans cette saga manga, plus l’histoire devient complexe et captivante et ce quatrième tome ne fait pas exception : il est encore mieux que le précédent.

Maman est sur le point de livrer Norman aux démons, mais Emma et Ray sont décidés à ne pas la laisser faire. Ils montent un plan pour sauver leur ami, mais rien ne se passe comme prévu.
C’est difficile de faire un résumé de ce tome sans dévoiler la trame principale parce que l’intrigue est compliquée et se joue sur plusieurs plans. Il y a ce qu’Emma et Ray prévoient, ce que Norman fait de son côté puis ce qu’il anticipe du comportement de maman et des démons, mais aussi de ses camarades. Et ne parlons pas des stratagèmes qu’envisage séparément chacun des héros.
Quand je suis arrivée dans les dernières pages et que tout a été dévoilée, j’ai pris une de ces claques ! J’avais presque oublié à quel point le scénario était génialement travaillé.

Si je n’ai rien à dire sur l’histoire, j’avoue que les dessins m’ont dérangée dans ce quatrième tome. Je m’étais faite à l’idée que le character design des personnages était inégal d’une planche à l’autre, mais dans l’ensemble, les illustrations semblaient peaufinées, mais là, la première moitié du manga m’a fait l’effet d’être bâclées. Ça m’a freinée dans ma lecture et j’ai dû me forcer à faire abstraction des images pour me concentrer sur le scénario.

J’ai adoré ce quatrième tome et pas seulement parce que le récit avance enfin. J’ai les prochains volumes et comme je suis en vacances, je vais pouvoir les lire à la suite !

Yamada Kun & the 7 witches, tome 07 – Miki Yoshikawa

Titre : Yamada Kun & the 7 witches, tome 07
Auteur : Miki Yoshikawa
Éditeur : Delcourt
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Yamada est le cancre au sale caractère du lycée. Un jour, il embrasse par hasard la meilleure élève de la classe et leurs corps se retrouvent échangés ! Incapables de comprendre ce qu’il s’est passé, ils vont devoir affronter cette nouvelle situation chacun à sa manière. Peu à peu, ils vont comprendre dans le regard des autres que l’idée qu’ils se faisaient l’un de l’autre n’était pas forcément la bonne.

Le sixième tome s’était terminé sur une révélation prévisible, mais qui était loin des cliffhanger des précédents volumes. Du coup, on commence ce manga par le début d’une « nouvelle aventure » de Yamada et de ses acolytes du club de paranormal.

Maria, la sorcière aux visions prémonitoires, en a assez de ses pouvoirs. Elle demande à Yamada de l’aider à s’en débarrasser sans qu’elle soit renvoyée pour autant du lycée. Le jeune homme demande donc conseil à Noa, la détentrice du second cahier traitant des sorcières. Elle lui annonce qu’il y a un moyen et qu’il doit trouver celui qui est capable de supprimer les dons des sorcières.
Ainsi, on découvre que Yamada n’est pas le seul garçon à avoir une influence sur les pouvoirs.
Ce qui pose pleins de nouvelles questions et relance l’intrigue : Yamada et Tamaki sont-ils réellement des tueurs de sorcières comme le prétend ce dernier ? Qui est la septième sorcière qu’ils sont chargés de retrouver ? Qui sera le nouveau président du comité des élèves ? Qu’a subi la sœur de Miyamura pour être devenue ainsi ?
Et bien d’autres interrogations auxquelles l’auteur répondra probablement dans les prochains volumes.

J’ai lu ce septième tome plus rapidement que les précédents, surtout parce que je ne me suis pas autant attardée sur les dessins : en effet, contrairement aux autres, il y a nettement moins de grandes et jolies planches. Et puis j’ai trouvé que les illustrations sont quand même un peu moins travaillées : les physionomies des personnages moins soignées. C’est mon seul bémol.
Par contre, l’histoire est top. Le fait que l’intrigue soit relancée, c’est vraiment chouette , j’avais peur que cela finisse par s’essouffler…

J’ai hâte de lire le prochain volume. Si l’occasion se présente début du mois d’août, je risque même d’en emprunter plusieurs parce que j’ai très envie d’avancer dans cette saga.
Bref, c’est un coup de cœur pour ce manga.

Flying Witch, tome 7 – Chihiro Ishizuka

Titre: Flying Witch, tome 7
Auteur: Chihiro Ishizuka
Éditeur: Nobi nobi !
Nombre de pages: 192
Quatrième de couverture: Partie en Chine à la recherche d’un élixir capable de soigner son amie Inukai, Akane se retrouve dans une situation pour le moins périlleuse. Heureusement qu’elle peut compter sur son sens de la débrouillardise ! De son côté, Makoto s’essaie également à la concoction d’un remède qui l’amène à découvrir d’étranges créatures. Mais elle devra rester discrète, car une journaliste particulièrement curieuse semble s’intéresser de près aux étranges événements récemment survenus en ville…

C’est le dernier numéro paru en France, je m’attendais à ce que ce soit l’ultime tome, mais il n’en est rien : un huitième est en préparation. En même temps, c’est une série qui peut durer pendant des années, les tranches de vie quotidienne étant nombreuses.

Je l’ai terminé hier soir et depuis, je me demande ce que je vais pouvoir en dire… Il ne s’y passe pas grand chose :
Akane trouve un remède à l’envoûtement d’Inukai, mais cette dernière décide de ne pas l’utiliser… Je vous laisse en découvrir la raison.
On retrouve à nouveau bon nombre de personnages secondaires déjà rencontrés (le livreur de l’été, Anzu, Nao, Akira, etc. ) mais aussi quelques nouveaux (Li, la sœur et le neveu d’Inukai, etc.) et j’ai apprécié cela. Je me sens toujours apaisée quand je lis les scènettes avec tout le monde, comme si je faisais partie de cette famille – c’est assez déroutant comme sensation.
On en apprend davantage sur le monde des sorciers : l’apparition de nouveaux artefacts magiques, la différence entre les sortilèges et la magie, comment le conseil des sorciers parviennent à garder le secret sur leur existence, etc.
C’était intéressant, mais en même temps, ça m’a ennuyée et j’ignore pourquoi.

Les dessins sont à chaque volume plus beaux. J’aime de plus en plus le character design des héroïnes, je les trouve fascinantes au point de perdre du temps à les contempler.
Je crois que j’ai fait le tour. Bref, c’était plaisant à lire, mais sans plus.

Yamada Kun & the 7 witches, tome 06 – Miki Yoshikawa

Titre: Yamada Kun & the 7 witches, tome 06
Auteur: Miki Yoshikawa
Éditeur: Delcourt
Nombre de pages: 192
Quatrième de couverture: Yamada tente de voler un baiser à Noa Takigawa pour percer à jour son pouvoir, mais elle le rejette en le traitant de sale dégoûtant. Pourtant, lorsqu’elle comprend qu’il sait des choses sur les sorcières, elle retourne sa veste et débute un étrange jeu entre espionnage, séduction et menaces. Quel est le pouvoir de Noa Takigawa ? Pourquoi ses amis la soutiennent-ils si fort ? Et quel est leur objectif secret ?

Fin du tome précédent, le président du club des élèves avait indiqué à Yamada et sa troupe la prochaine sorcière : une élève qui fait partie d’un groupe de 4 qui crée des histoires depuis qu’ils traînent ensemble. Ni une ni deux, nos amis sont persuadés que c’est le pouvoir de la jeune fille qui est cause de ce changement d’attitude chez les autres. On peut difficilement leur en vouloir de croire ça, ça a été le cas de Néné ou de Meiko. Pour une fois, on ne suit pas que les membres du club de paranormal, on découvre surtout ce qui se passe dans le groupe de Noa. C’est étrange et déconcertant,un brin rafraîchissant et pourtant j’ai beaucoup aimé ça. C’était un peu moins passif dans le sens où j’ai passé pas mal de temps à chercher des indices de manipulation ou des révélations sur le pouvoir de Noa.
Finalement, les apparences sont trompeuses et j’étais loin d’imaginer ce qui les liait réellement sans que cela sonne incohérent pour autant.

Par contre, je ne suis pas fan du personnage de Noa et je sens malheureusement qu’elle sera souvent là dans les prochains au vu de la conclusion. Peut-être que ça passera mieux par la suite.
La grosse révélation de ce sixième tome est qu’on sait enfin ce qu’il est advenu du second livres sur les sorcières écrit par l’ancien club de paranormal. Le gros « point noir » est su’on ne saura ce qu’il contient qu’au compte goutte. Scrogneugneu !

J’ai bien aimé ce sixième tome. Il était sympa et j’ai passé un bon moment.

Flying Witch, tome 6 – Chihiro Ishizuka

Titre: Flying Witch, tome 6
Auteur: Chihiro Ishizuka
Éditeur: Nobi nobi !
Nombre de pages: 170
Quatrième de couverture: L’été suit son cours à Aomori, avec ses barbecues, ses nuits douces… et ses chutes de neige inexpliquées ! Alors que Makoto cherche à en découvrir la cause, elle tombe nez-à-nez avec un curieux personnage. Quelques quiproquos et situations embarrassantes plus loin, l’apprentie sorcière se voir confier sa deuxième mission. Fini le baby-sitting, il s’agit d’enquêter sur de mystérieux phénomènes…

Dans ce sixième tome, contrairement aux précédents, on a beaucoup moins de scènes de vie quotidienne typiquement humaines. Peut-être est-ce dû à la quasi-disparition de Kei… Il faut bien le dire depuis quelques temps, il est un peu le personnage fantôme de cette saga. Je ne vais pas m’en plaindre, je l’appréciais, mais sans plus.
Le seul passage qui nous rappelle que Makoto vit parmi les non-magiques, c’est un chapitre qui se passe à l’école, mais comme les personnages principaux en sont les familiers Kenny et Chito, on est davantage confronté au monde des sorciers et c’est super plaisant. J’aurais aimé que les premiers soient ainsi.

On a droit à deux nouveaux personnages :
le livreur d’été. Oui, un peu comme celui du printemps qu’on a découvert dans un des tomes précédents, ben là, c’est du même acabit… peut-être un peu moins bizarre quand même. En tout cas, j’ai beaucoup aimé son character design, même s’il fait un peu Pokemon dans l’âme.
Sayo, une nouvelle sorcière qui a une année supplémentaire par rapport à Makoto, ça se sent au niveau de l’expérience, de la rigueur ou des règles de base. Et bon sang, ce qu’elle est classe – oui, c’est elle à droite 😀 ! Sans compter qu’elle est vraiment super douée, nettement plus qu’Akane ou même qu’Inukai, ce qui est un comble parce qu’elles sont bien plus âgées. Ne soyons pas de mauvaise foi, elle a malgré tout un talon d’Achille dans les dernières pages qui est assez ridicule et gâche un peu son talent, mais ça ne m’a pas empêchée d’accrocher grave avec elle. J’espère qu’on la verra par la suite.

J’ai adoré ce sixième tome. L’immersion dans le monde des sorcières est bien plus profonde et c’est aussi agréable que dépaysant.