Lost In Translation

Au début, j’étais vraiment partagée quant à ce film. Il était lent et un peu long, et j’étais bien incapable de dire si j’aimais ou pas. De plus, je trouvais que tout ce qui y était montré du Japon était le côté le plus excessif des jeunes, mais finalement, c’est vrai que c’était très représentatif des jeunes à Tokyo. Mais en fin de compte, j’ai adoré. Il est très dépaysant, on se sent aussi perdu dans ce monde que les protagonistes, et là dessus, chapeau à Sofia Coppola pour ça, parce que ce n’est pas évident. Finalement, une grande réussite, je pense que je le regarderai probablement à nouveau. J’ai vraiment beaucoup aimé. Il m’a laissé un goût de nostalgie, une intimité particulière. J’ai la sensation d’avoir passé du temps avec les personnages, d’avoir vécu la même expérience qu’eux, et comme pour le film In The Mood For Love, j’ai encore cette sensation avec moi, je revois encore les images du film, certaines expressions de chacun des acteurs, etc… Bref, j’ai trop aimé ^^

Synopsis: Bob Harris, acteur sur le déclin, se rend à Tokyo pour tourner un spot publicitaire. Il a conscience qu’il se trompe – il devrait être chez lui avec sa famille, jouer au théâtre ou encore chercher un rôle dans un film -, mais il a besoin d’argent. Du haut de son hôtel de luxe, il contemple la ville, mais ne voit rien. Il est ailleurs, détaché de tout, incapable de s’intégrer à la réalité qui l’entoure, incapable également de dormir à cause du décalage horaire. Dans ce même établissement, Charlotte, une jeune Américaine fraîchement diplômée, accompagne son mari, photographe de mode. Ce dernier semble s’intéresser davantage à son travail qu’à sa femme. Se sentant délaissée, Charlotte cherche un peu d’attention. Elle va en trouver auprès de Bob, ils vont devenir amis…

M. Popper et ses Pingouins

Le 8 août, on a était voir M. Popper et ses pingouins avec les petits, après un petit Mc Do, comme d’habitude ^^. Trooop drôôôle! J’ai vraiment trop rigolé! Il me semble que parfois, je rigolais presque plus que les enfants, c’est dire s’il m’a plus! Ça faisait longtemps que je n’avais plus vu un film de Jim Carrey si marrant. Bon, il y a eu quelques blagues pipi-caca pour amuser les gosses, mais qui là, était quand même drôle parfois, la partie sentimentale qui était un peu chiante, et la fin avec le couplet America qui m’a laissé un arrière-goût de Argh! Mais à part ça, c’était vraiment fun! Une bonne comédie à voir en famille. Les petits ont bien aimé et ne cesse d’en parler et de se remémorer les scènes les plus amusantes depuis qu’ils l’ont vu.

Synopsis: Enfant, Tommy Popper attendait impatiemment les occasions de parler par radio à son père, un explorateur toujours parti aux quatre coins du monde. Des années plus tard, Popper est devenu un brillant promoteur immobilier à Manhattan. Sa réussite lui a coûté son couple : divorcé d’Amanda, il ne voit plus ses enfants qu’un week-end sur deux. M. Popper mène une vie solitaire et luxueuse dans son appartement ultramoderne de Park Avenue, et il est sur le point de devenir un des associés de la prestigieuse firme qui l’emploie. Mais lorsqu’un matin, il reçoit l’ultime cadeau de son père décédé – un pingouin vivant, sa vie bascule. En cherchant à se débarrasser de l’animal, M. Popper va juste réussir à en récupérer cinq autres. Alors que les adorables bestioles transforment peu à peu son appartement en banquise, M. Popper voit sa vie déraper. Tout va y passer : le contrat de ses rêves, ses relations, sa vie. Mais grâce à six petits pingouins, M. Popper va découvrir que le bonheur peut aussi faire boule de neige…


Harry Potter et les Reliques de la Mort-Partie II

On revient du cinéma où on a pu voir l’ultime épisode d’Harry Potter. J’avoue que j’ai vraiment bien apprécié ce dernier volume que je craignais grandement, ayant été tellement déçu par le bouquin final de la série. On n’a pas eu le temps de s’ennuyer, bien sûr quelques longueurs, mais l’action était quand même bien présente. Et pour une fois, les personnages secondaire tel Neville Londubat étaient plus présents et avaient surtout un rôle important. Alors, d’accord, passons les scènes gnangnan d’embrassades au milieu des combats (mais bien sûr… c’est important de prendre 20 secondes pour un baiser langoureux quand on est entouré de mange-morts -_-‘), je suis malgré tout contente de voir que la partie importante et jusqu’à présent passée sous silence a été relativement bien mise en scène: Rogue et son passé, ainsi qu’une vision plus nuancée de Dumbledore qui pendant au moins un temps chute brutalement de son piédestal. Certes, c’était un peu court, mais l’essentiel y était… ou presque. La baston Voldemort contre Poudlard a aussi été bien orchestrée, digne de ce qu’elle aurait dû être dans le tome 7. De plus, j’ai bien aimé les décors relativement esthétiques pour la plupart, et certaines prises de vue, nettement plus que dans le précédents. Un bilan plutôt favorable en fin de compte, pas sûre que je le reverrai, mais j’ai quand même bien apprécié l’ensemble.

Synopsis: Bataille finale entre Harry Potter qui poursuit sa quête des Horcruxes et Voldemort qui mène ses Mange-morts à l’affrontement final. Pour ce final, un retour là où tout a commencé: Poudlard.

X-Men le commencement

Pfff… Déception, c’est le premier mot qui me vient à l’esprit. J’en avais entendu beaucoup de bien, pourtant je n’en espérais rien: j’ai toujours détesté les premiers X-Men, donc je m’attendais à un truc assez moyen… Et c’était peut-être encore pire que moyen! Comme d’habitude, les scénaristes ont pris beaucoup de liberté, ce qui n’est pas étonnant en soit… mais là, c’est un peu trop à mon goût. Je suis un peu comme les enfants, j’aime la constance, et là, ils ont un peu trop bousculé tout mon univers! Donc pas d’accord! Bon, un peu de sérieux: je n’ai pas trop aimé, je trouve qu’au niveau de l’histoire, ils se sont perdus, c’est devenu une histoire banale de complot gouvernemental (encore, ouais, ça me gonfle les complots gouvernementaux!), le club des damnés qui se sert de la guerre froide pour conquérir le monde, ou pas loin, Moïra Mc Taggert agent de la CIA, on aura tout vu!… Trop d’humains, pas assez de mutant, etc… le seul moment que j’ai vraiment trouvé fun, c’est quand les protagonistes rejoignent Westchester.

Il n’y a donc que deux choses qui sauvent le film pour moi: le fait que j’ai été voir X-Men avec Jess (je ne fais pas des masses de films avec, donc c’était cool) et le second point positif était la présence de l’acteur qui joue Magnéto ;-P Il était fort sympathique! Un joli minou, un sourire à la fois ravageur et terriblement railleur qui me fait beaucoup penser au Magnéto de la Terre Sauvage (oui oui celui avec l’histoire de Malicia pour les connaisseurs)? Et si au début, j’ai eu beaucoup de mal à me faire à la tronche de Xavier avec des cheveux, par la suite, il faisait quand même bien professeur X. Bref, si l’histoire n’était pas top, il est temps de parler des détails qui diffèrent grandement du comics: déjà, l’équipe en elle-même… Rien à voir avec la Réelle First Class, seul le Fauve ne détonne pas, mais les autres que ce soit Sean Cassidy ou Mystique Oo, comme dit plus haut le Club des damnés qui veut conquérir le monde, soit, mais les méthodes employées sont loin d’être les leurs, et enfin, la dernière déception: la poitrine d’Emma Frost… loin d’être comme dans le comics avec ses pseudo-soutifs rembourrés, ne parlons pas de son pouvoir de se transformer en diamant qui est déjà là et qui est super mal fait! Enfin bon, vous l’aurez compris, je n’ai pas aimé ce film, des 4, c’est surement le pire!

Synopsis: Avant que les mutants n’aient révélé leur existence au monde, et avant que Charles Xavier et Erik Lehnsherr ne deviennent le Professeur X et Magneto, ils n’étaient encore que deux jeunes hommes découvrant leurs pouvoirs pour la première fois. Avant de devenir les pires ennemis, ils étaient encore amis, et travaillaient avec d’autres mutants pour empêcher la destruction du monde, l’Armageddon. Au cours de cette opération, le conflit naissant entre les deux hommes s’accentua finissant par la guerre éternelle entre la Confrérie de Magneto et les X-Men du Professeur X…
X-Men : le commencement nous entraîne aux origines de la saga X-Men, révélant une histoire secrète autour des événements majeurs du XXe siècle.

Sucker punch

Hier, nous avons été voir Sucker Punch au cinéma. J’avoue que je ne sais pas trop quoi penser de ce film. On m’avait dit qu’il était sans scénario, inintéressant. ce qui fait que le début m’a énormément surpris. si ce n’est la musique trop forte qui donnait déjà le ton de ce qui nous attendait, j’ai trouvé le commencement très glauque, limite malsain, et ça m’a bien plu. J’ai trouvé l’idée de base assez intéressante, malheureusement, toutes les bonnes idées du films ont été très mal exploité et ça en gâche  le film. Non seulement, comme à chacun des films de Zack Snyder, il a utilisé bien trop d’effet spéciaux, trop d’actions, et le film est beaucoup trop esthétique, et même si j’ai beaucoup aimé certaines images, ça reste trop et quand c’est trop, c’est… Bref, passons ce sujet, ce n’était pas le pire dans ce film. Pour moi, il y a eut des mal-façons qui ont tué ce film: les transitions étaient ratées. Il aurait pu y avoir plus de scènes dans l’asile qui prépare la suite. Quel est le rapport entre l’asile et le bordel, ça a à peine été effleurée. Le personnage principal aurait pu jouer sur le théâtre un bout de sa vie ou la transition entre les deux univers aurait pu se faire par le biais du médicament… mais là, rien, tu sais pas le pourquoi du comment, c’est assez naze? C’est quoi, un souvenir métamorphosé de son séjour à l’asile plus facile à accepter? Peut-être, peut-être pas. On ne sait trop.

La seconde chose où le film pèche est probablement sur la fascination qu’est censé exercé Babydoll: on voit bien qu’elle l’exerce sur les autres personnages… mais sur le spectateur? Rien. Il aurait fallu d’une danse fascinante, rien qu’une pour que cela opère aussi sur le spectateur, mais au lieu de cela on a eu droit à des scènes dignes de jeux-vidéo où l’on a pu sans problème sourire en se disant qu’à ce genre de jeu on y a joué, et que ce décors nous rappelait X-jeu sur lequel on s’est éclaté, ou nous rappelait X-manga qu’on aurait pu voir et dévorer… Mais cela reste un film vide… Le réalisateur est passé à côté de ce qui en aurait vraiment fait un film culte… au lieu de cela ce n’est qu’un film avec des minettes, pour geek pervers ou otaku, une cinématique de jeu vidéo d’1h50!

Synopsis: Fermez les yeux. Libérez-vous l’esprit. Rien ne vous prépare à ce qui va suivre.
Bienvenue dans l’imaginaire débordant d’une jeune fille dont les rêves sont la seule échappatoire à sa vie cauchemardesque… S’affranchissant des contraintes de temps et d’espace, elle est libre d’aller là où l’entraîne son imagination, jusqu’à brouiller la frontière entre réalité et fantasme… Enfermée contre son gré, Babydoll a toujours envie de se battre pour reconquérir sa liberté. Combative, elle pousse quatre autres jeunes filles – la timorée Sweet Pea, Rocket la grande gueule, Blondie la futée, et la loyale Amber – à s’unir pour échapper à leurs redoutables ravisseurs, Blue et Madame Gorski – avant que le mystérieux High Roller ne vienne s’emparer de Babydoll.
Avec Babydoll à leur tête, les filles partent en guerre contre des créatures fantastiques, des samouraïs et des serpents, grâce à un arsenal virtuel et à l’aide d’un Sage. Mais ce n’est qu’à ce prix qu’elles pourront – peut-être – recouvrer la liberté…