Card Captor Sakura – Animé

Synopsis: Sakura, jeune écolière de  6 ans, se retrouve seule chez elle un après-midi. Elle entend un bruit dans la bibliothèque de son père et s’y rend. Là, elle découvre un vieux livre intitulé « The Clow ».  Dès qu’elle le touche, il s’ouvre sur un jeu de carte. Lorsqu’elle touche la première carte et prononce son nom de Windy, une rafale de vent éparpille toutes les autres cartes. A partir de là, elle se doit réparer son erreur et rétrouver toutes les cartes avec l’aide de Kero, le gardien protecteur des cartes.

Dans les derniers mois de l’année 2012, nous avons proposé aux enfants de regarder la totalité de la série animé de Card Captor Sakura, c’est-à-dire 70 épisodes. Nous faisant totalement confiance, ils n’ont pas protesté et au final, ils ont été bien contents de l’avoir vu. A l’heure où j’écris, cela fait un bon moment qu’on l’a terminé, mais je n’avais pas eu l’occasion d’en faire une page, mais hier, mon besoin de me changer les idées m’a poussé à la créer.
Vous l’aurez compris, cet article est principalement une notification pour annoncer la création de la page située dans la partie Animés

Card Captor Sakura

Quand cette série est sortie en France, j’avais déjà un  certain âge -genre jeune adulte, hein, pas genre vieille !
J’ai relativement bien accroché, ça changeait grandement des séries Magical Girl à la Gigi, Creamy ou Sailor Moon. Et puis dans le genre série avec des créatures à attraper, c’était différent de Pokémon. Des cartes, c’était pas mal, pas du Magic, ni du Yugioh. Par contre, c’était un mélange de tout cela, bref, ça avait toutes les chances de marcher. sans compter que c’était la grande époque de Clamp, tout ce qu’ils sortaient marchaient du feu de Dieu surtout en France.
A l’époque où ça passait sur M6, je les enregistrais quand j’y pensais et on les regardait le soir pendant les repas, puis on a été cambriolé -télé et magnéto HS- et du coup, plus moyen d’enregistrer. Ce qui fait que je n’ai jamais vu la fin de la série mais ce n’était pas un drame, je me suis rabattue sur les mangas: plus court, tout aussi joli. Il aura fallu que j’attende une dizaine d’année pour pouvoir regarder la série en entier: il est sûr que c’est moins intéressant maintenant, mais je ne doute pas que la relève est assurée avec mes enfants! 😛
Il ne me manque que les films, mais ne les ayant pas en DVD, je vais devoir attendre qu’on trouve une offre sympa et pas trop chère.

 

 

Le Hobbit: un voyage inattendu

N’ayant pas les enfants, nous avons décidé d’aller au cinéma et bien entendu, nous ne pouvions pas rater l’occasion d’aller voir le Hobbit: un Voyage Inattendu. Aucune surprise: j’ai adoré et ça me navre presque de me dire que je m’y attendais. Il est au même niveau que la trilogie du Seigneur des Anneaux. Absolument génial: les décors splendides, l’histoire drôle sans pour autant être lourd mais sans réelle subtilité, après tout, les héros sont des nains, faut pas trop leur en demander – je redoutais quand même qu’il soit un peu trop enfantin puisqu’à la base, Bilbo le Hobbit avait été écrit pour des enfants. Mais il n’en a rien été, à mon grand bonheur ^^
J’avoue que je n’ai pas lu Bilbo le Hobbit. Je ne savais donc pas grand chose de l’histoire si ce n’est que c’est lors d’une de ces parties que le p’tit gars de la Comté récupérerait l’Anneau de Sauron et qu’il affronterait Smaug le dragon. Je ne m’attendais pas à ce que cela tourne autour d’une compagnie de 13 nains – et si certains sont ridicules à souhait (oui, je parle bien de Bombur entre autre), d’autres ont vraiment la classe: Pfff classe et nain, ça ne doit pas aller ensemble ! Et pourtant ! Je trouvais déjà Gimli relativement classe en guerriers nains, mais que ce soit Thorin ou Dwalin, ils sont quand même sacrément charismatiques. Je ne m’attendais pas davantage à ce que l’instigateur de l’aventure soit Gandalf – en même temps, ça ne m’a que peu étonné, dès que les problèmes se profilent, c’est que Le Gris n’est pas loin ! :p


En tout cas, certains moments m’ont vraiment fait plaisir et notamment la scène des Trois Trolls… Lorsque j’ai regardé cette partie-là, je me suis demandais quelle en était son importance: j’ai observé chaque détail me disant qu’elle avait une raison d’être, me demandant où cela allait nous mener… Et là ! Au moment où l’un des trolls sort qu’à la lumière du jour, ils risquaient de se transformer en pierre: TILT !!! Qui ayant lu le premier tome du Seigneur des Anneaux ne se rappellent pas de la plaine aux Trois Trolls de pierre ? Faire le lien, ça a été un vrai bonheur. J’adore lorsque des liens entre films ou livres sont faits, je trouve que ça légitime une œuvre quelqu’en soit le support, cela leur donne une histoire, une âme.
Bref, vous l’aurez compris, j’attends avec impatience qu’il sorte en DVD pour me l’acheter, le revoir avec les enfants – parce que mon grand ayant vu le premier Seigneur des Anneaux et l’ayant adoré, je pense qu’il en sera de même pour ce film. Et je tairai mon impatience quant à la sortie du second volet de cette trilogie…. Grrrrrrrr!!!! Encore une année à tenir 🙁

Synopsis: Dans un voyage inattendu, les nains d’Erebor cherchent à reprendre leur Royaume perdu, conquis par le redoutable dragon Smaug. Pour se faire, ils demandent l’aide du magicien Gandalf Le Gris qui croise « par hasard » – comme si le hasard existait avec Gandalf !- la route du hobbit de la Comté, Bilbon Sacquet. Ce dernier  rejoint alors une bande de 13 nains dont le chef n’est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter différentes créatures aussi mauvaises que maléfiques.
Bien qu’ils se destinent à mettre le cap sur l’Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent échapper à des Trolls, à la vengeance des Orcs de la Moria et aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum. C’est là qu’avec Gollum, sur les rives d’un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d’un courage et d’une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le « précieux » anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d’or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s’en doute encore…

Les Cinq Légendes

Étant donné le nombre de dessin-animé que je vais voir au cinéma avec les enfants, il aurait été plus que surprenant que je rate celui-ci. Disons que c’est une chance qu’il soit resté si longtemps à l’affiche. Ne perdons pas de temps, entrons dans le vif du sujet: j’ai adoré! Il est vrai que j’en avais entendu beaucoup de bien, mais je n’avais vu aucune bande-annonce. Je redoutais juste que, comme beaucoup de films ou livres qu’on dit bien, je finisse par être déçue. Et bien, il n’en a rien été! Et pourtant, le pari n’était pas gagné. Premier point qui m’a semblé négatif: quand ça a commencé, ça annonçait d’office la couleur: Le Père Noël super-héros qui appelle d’autres mythes à la rescousse contre le croque-mitaine… Mouais… Bref, ça sentait le « The Avengers » version contes-à-dormir-debout. Mais au final, ça passe vraiment bien. Il est superbement bien fait, et soyons honnête, il est vraiment sorti à la bonne époque! Le second point que je redoutais particulièrement: les personnages – la version du Père Noël, ou du lapin de Pâques… Bof! Et ne parlons pas de la fée des dents! Argh! Avec ma fille qui perd ses dents en ce moment, je suis en plein dedans et comment lui expliquer pourquoi chez nous, on a la Petite Souris? Heureusement, on a eu droit à une petite scénette où la fameuse Petite Souris apparait, même si ce n’est pas ce que la puce a retenu! Grrrrrr!!!

Les effets spéciaux étaient magnifiques, le sable de Sab, marchand de sable de son état, était super bien fait -personnellement, je trouve que c’est le personnage le mieux fait, même si Jack Frost est pas trop mal mais c’est une légende qui ne me parle pas, même si je connaissais vaguement son existence-, en parallèle le pouvoir du croque-mitaine était tout aussi beau malgré la noirceur de la matière.
Quant à l’histoire, elle est simple, cohérente, amusante par moment. J’ai vibré avec les protagonistes autant que les enfants. Les gosses, parlons-en, tiens! Dire qu’ils ont adoré est faible! Un pur moment de bonheur, même si la puce a bien failli pleurer une ou deux fois. Ils étaient tellement dans l’histoire qu’ils n’ont pas vu le temps passer. Une heure trente sept d’émerveillement!
J’avoue que j’ai hâte de le revoir et je le conseille aux adultes comme aux enfants!

Synopsis: L’aventure d’un groupe de héros, tous doués de pouvoirs extraordinaires: Les Gardiens réunis par l’homme de la lune. Une équipe composée du Père Noël, du Lapin de Pâques, de la Fée des Dents et du Marchand de Sable. Lorsqu’ils doivent accueillir un cinquième: Jack Frost, un adolescent rebelle et ingénieux, tout ne se passe pas forcément au mieux mais très vite,  ces cinq légendes vont devoir unir leurs forces pour protéger les espoirs, les rêves et l’imaginaire de tous les enfants.

Esprit de famille

Noël approchant, on a droit depuis quelques semaines à des films plus mièvres les uns que les autres. J’avoue que c’est sûrement la seule période de l’année où je laisse tourner la télé en arrière fond histoire de me lobotomiser. Je ne sais pas exactement la raison pour laquelle je fais cela d’autant que je trouve les films qui passent complètement nuls! A la base, je comptais faire un article sur Noël dans les films et séries, mais le temps manquant, j’ai abandonné l’idée.
Bref, je ne suis pas là pour parler des occasions manquées, mais de ma grosse surprise du mois: Esprit de famille. Il est passé hier sur une chaine publique dont je tairai le nom. Je m’attendais à un film aussi mièvre que les autres… et ben non. Il y a tout le côté famille parfaite ou pas loin qui est assez énervant, le côté guindé de « l’héroïne », etc… Je mentirai si je disais que ce film n’était pas stéréotypé. Mais il m’a beaucoup touché, il m’a parlé… (mais j’y reviendrai un peu plus loin parce que c’est ce qui m’a décidé à discourir à ce sujet)
Ce qui à la base m’a poussé à le regarder: le seul nom qui était marqué dans le programme télé, Claire Danes. Alors ne me demandez pas la raison de ce choix, je ne sais pas: elle n’apparait que la seconde moitié du film, Sarah Jessica Parker ou Diane Keaton -pour ne citer qu’elles- sont bien plus présentes…


Ce qui m’a poussé à le regarder jusqu’au bout: une certaine tristesse tout au long du film et ce, malgré la joyeuseté de la période. De plus, je me suis un peu reconnue dans le personnage de Meredith, alors pas le côté arriviste ni même le côté très petite bourgeoise qui au final cache un manque total de confiance en soi; je me suis donc reconnue dans ce dernier point, mais aussi dans cette incapacité à se détendre, ce refus de perdre le contrôle, cette maladresse dans les paroles qui la font s’exprimer trop brusquement et qui fait que les autres interprètent mal ses pensées -bon, par contre, son incapacité à comprendre le second degrés c’est pas moi! :p. Voilà, c’est un peu tout cela et encore bien d’autres détails qui ont fait que je me suis reconnue dans ce personnage. Et puis, j’avoue que j’aimais bien Ben, le vilain petit canard de la famille, celui qui semble tellement en dehors de la famille Stone, celui qui a accepté sa différence mieux que les autres, du moins, c’est comme cela que je l’ai ressenti.
J’avoue que j’avais décidé de ne pas en parler sur mon blog, malgré le fait qu’il m’ait tellement plût, je comptais le ranger dans la catégorie « films de Noël »: on le voit et on l’oublie très vite… Eh bien, je n’ai pas pu m’y résoudre. Ce matin, je revenais des courses, repensant à certains moments passés sans que ce ne soit des moments précis, hein ! Juste des sensations ! et là, je me suis remémorée une phrase du film: « Vous avez essayé, mais faut arrêter maintenant. C’est fatigant d’essayer ! » En gros, c’était un truc du genre… Et là, je me suis sentie respirer, c’est complétement con, pourtant ça m’a fait du bien…
Donc vous l’aurez compris, j’ai vraiment adoré ce film, il faudrait que je tente de le revoir en replay…

Résumé: Comme chaque année, chez les Stone, famille fantasque et bohème, les fêtes de Noël sont l’occasion de se réunir sous le même toit. Everett, le « fils préféré », a décidé cette fois de venir accompagné de sa nouvelle petite amie, Meredith, carriériste new-yorkaise pur sucre. Le reste de la tribu fait tout de suite corps contre l’intruse.
Mais si le premier contact est franchement désastreux, amour et hasard vont se mêler pour brouiller les cartes et faire de ces fêtes un moment inoubliable.

Der Mondmann – Jean de la Lune (2012)

Ce matin, j’ai été voir der Mondmann -Jean de la Lune- avec la classe de ma petite fille (oui, j’utilise le titre allemand du film parce qu’il était en allemand sous-titré français). Ce film d’animation est basé sur le livre éponyme de Tomi Ungerer.
J’ai vraiment beaucoup aimé: le graphisme est différent de bien d’autres dessin-animés d’animation! Les couleurs chatoyantes sont vraiment sympathiques et le contraste entre les personnages et le décors est très poussé, rendant les paysages chaleureux. L’histoire reste assez basique, mais cela parle pas mal aux gamins. Je sais que les primaires ont été le voir il y a déjà quelques jours et ils ont vraiment adoré, au point que plus de 10 jours sont passés et ils en parlent encore ! Pour les maternelles, c’est légèrement différent… Déjà, ne pouvant lire les sous-titres et n’étant pas totalement bilingues, il y a pas mal de morceaux de l’histoire qu’ils n’ont pas dû comprendre. De plus, la dernière demie-heure a été un chouille trop longue, ma fille a bien aimé et m’a demandé quand elle pourrait le revoir. D’autres n’ont pas trop aimé, mais ont trouvé la fin intéressante.
Bref, c’était une sortie d’autant plus chouette que les 6 gamins sous ma surveillance étaient super sages! 😛

Résumé: De son croissant argenté, Jean de la Lune s’accroche à la queue d’une comète et atterrit sur Terre. Le président du monde décide de le capturer. Pour lui échapper, il va devoir trouver des amis pour l’aider à retourner sur la lune.
Jean de la Lune, touchant et attachant, découvre au clair de lune un monde qui foisonne de couleurs sombres et intenses. On retrouve avec plaisir les subtilités et détails humoristiques propres aux dessins de Tomi Ungerer, dont la voix bienveillante conte l’histoire… Un trésor visuel et poétique, fidèle et à la hauteur de l’œuvre originale.

J’ai trouvé un résumé en allemand, ce n’est pas de moi, malheureusement, mais je trouvais que c’était plus important qu’il y soit dans la langue germanique, j’ai même hésité à ôter le résumé français! ^^

Inhalt: Der Mondmann steigt von seiner silbernen Mondsichel und hängt sich an den Schweif eines Kometen, der ihn zur Erde hinab trägt. Dort will ihn der Weltpräsident gefangen nehmen. Um ihm zu entkommen, muss der Mondmann Freunde finden, die ihm helfen, auf den Mond zurückzukehren.
Der anrührende und sanfte Mondmann entdeckt im Schein des Vollmonds eine Welt voller dunkler, intensiver Farben. Mit Vergnügen finden wir im Film den feinen Humor und die lustigen Details der Zeichnungen von Tomi Ungerer wieder, der mit seiner gütigen Stimme die Geschichte erzählt … Ein poetischer Augenschmaus, ganz auf der Höhe des Originalwerks.