Titre : Tokyo tribe 2, tome 1
Auteur : Santa Inoue
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 198
Quatrième de couverture : Attention, bombe à l’horizon !
Après avoir fait un véritable carton au Japon (où la série est d’ailleurs adaptée pour le petit écran), la série culte de Santa Inoue arrive en France et va faire du bruit, à l’heure où la jeunesse est régulièrement stigmatisée par les médias. Ici pourtant, pas de réalisme ou de critique sociale. L’auteur se fait plaisir en créant de toutes pièces un Tokyo fantasmé où règnent les règlements de compte impitoyables et gratuits, l’intimidation, la violation des lois, les vices Loin du calme de la capitale nipponne, il plonge le lecteur dans un univers apocalyptique et outrancier qui emporte tout sur son passage. La vague a déjà atteint les États-Unis. Elle arrive désormais chez nous !
J’ai découvert cette saga dans ma bibliothèque en début d’année quand j’ai fait du rangement. Je ne savais même pas qu’on l’avait et j’ignore complètement qui l’a acheté et pourquoi…
Les dessins sont inégaux et vraiment pas terribles. Ça n’engage vraiment pas à la lecture.
Quant à l’histoire, j’ai tellement de termes péjoratif qui me viennent que j’ai du mal à en choisir un.
Ça se passe dans un Tokyo pseudo-imaginaire où différents gangs ont le monopole de quartiers. Kai fait partie des Saru de Musashinokuni. Son meilleur ami et deux membres de son groupe se rendent à Shivuya et sont exécutés.
La grosse bande rivale serait les Wu-Ronz de Buruko, dirigé par Merra que Kai a bien connu.
Et là, vous vous dites : mais c’est quoi ce résumé décousu ? Je vous répondrai : un peu comme le récit dans ce manga.
Franchement, c’est à se demander quel âge avait le mangaka quand il l’a écrit. C’est assez immature : la vie rêvée des gangs, violence, sexe…et vu que les illustrations sont dégueulasses (surtout pendant les scènes de combat), on n’a même pas la consolation de s’y attarder pour le plaisir.
Par contre, ce qui est super bizarre, c’est que malgré tout le mal que je pense de ce premier tome, je lirai la suite parce que déjà, je l’ai et que ça a quand même titillé ma curiosité.
Je n’ai pas aimé ce premier tome, mais…