Nouvelle page comics: Strange

Puisque je n’arrive pas à avancer dans mon livre, j’ai décidé d’avancer un peu sur mon site. Donc après un après-midi à me partager entre mes recherches pour vérifier la justesse de mes souvenirs, le feuilletage des différents comics nécessaires à la création de cette nouvelle page, la voici:

Strange

Bon, j’avoue que ne lisant pas ou très peu ce magazine, il était difficile d’en donner mes impressions, j’ai donc chercher des renseignements complémentaires, histoire de ne pas raconter n’importe quoi. Je suis restée très vague sur bon nombres de séries, mais je vois mal comment j’aurai pu être plus précise sans plagier d’autres sites, mais ça, c’est hors de question.
Il n’y a que sur la Division Alpha où je me suis étendue parce que j’ai lu un certain nombre d’aventures de l’équipe; c’était distrayant mais sans plus.

Bon, je vous abandonne, j’ai ma vie IRL qui me rattrape… Bonne nuit !

 

Un chat nommé Darwin – William Jordan

Résumé: Célibataire endurci, William Jordan est convaincu de n’avoir besoin de personne pour être heureux… Ses certitudes sont ébranlées et sa vie à jamais transformée le jour où un gros chat roux s’invite dans son jardin et lui mordille la main à l’ombre d’un bougainvillier. Lui, le scientifique qui a toujours considéré les animaux comme des objets d’étude, tombe sous le charme… II adopte le chat et le baptise Darwin. Hélas, William découvre bientôt que Darwin est porteur d’un virus fatal. A mesure que le lien affectif grandit et que la santé du chat décline, cet homme froid éprouve des émotions dont il ne se serait jamais cru capable. “Avec un chat, on ne communique pas mais on communie, se surprend-il à penser… Et peu importe aux neurones que l’être aimé soit un humain ou un animal, le mécanisme est le même. Cette déclaration d’amour d’un homme à son chat est un livre tendre, drôle et émouvant. Une véritable leçon de vie.

Je réfléchis depuis un moment à ce que je pourrais dire sur ce livre. Il est peut-être bon de commencer par le début; pour moi, c’est une relecture: je l’avais déjà entamé il y a plus de sept ans, mais je n’avais pas eu le courage de le terminer. Pourtant l’histoire est bien, quiconque ayant un animal de compagnie qu’il aime passionnément se reconnaîtra dans le narrateur et s’attachera à ce livre ainsi qu’à Darwin. Mais il est dur. On sait dès le début comment l’histoire finira, aucune tromperie à ce niveau-là. Mais le cheminement m’a paru long et douloureux -pas long dans le sens ennuyeux, hein, mais douloureusement long, en fait. Je comprends mieux pourquoi je n’ai pas pu la première fois,  cette fois, j’ai été à deux doigts d’arrêter au même niveau que la fois précédente mais me suis forcée à le finir: à un moment, la douleur qui transparait est trop forte au point qu’une sensation de malaise se transmet au lecteur, les larmes nous viennent facilement aux yeux dès que l’auteur s’épanche sur ses sentiments. J’avoue que je me serai également passé de toutes les digressions scientifiques qui au final rendent ces parties beaucoup trop cliniques, on sent bien que l’auteur est scientifique et qu’il a ce besoin de rationaliser pour mieux comprendre ce qui se passe en lui, mais pour moi, ça a cassé les plus beaux moments et c’est dommage.
Donc dans l’ensemble, j’ai beaucoup aimé même si je suis contente que ce livre soit derrière moi.

Pathfinder – Jeu de rôle

Vous aurez remarqué que ces derniers jours, je n’étais pas particulièrement présente. Je suis passée d’un article tous les trois jours… à rien pendant plus de trois jours. Non pas que je n’avais rien à dire, vous savez que j’ai toujours plein de choses inutiles à dire, mais je n’avais pas trop le temps. J’ai repris la conduite après plus de deux mois, l’angoisse est remontée plus violente au point de me rendre malade, même si ça s’est très bien passé, mais l’après-coup a été violent. Je n’ai donc pas pu lire quoique ce soit, pas moyen non plus d’écrire le moindre mot, etc… Une vraie loque !

De plus, on continue les jeux de rôle depuis quelques mois – ce week-end, une partie dimanche qui nous a pris la demie-journée – sauf que cette fois, ce n’est pas moi le Maître de Jeu. J’essaie d’en profiter pour jouer et me détendre sans rien avoir à potasser avant ! Un vrai bonheur ! ^^  Sauf qu’au final, j’ai plein de choses en tête, donc je profite de ce que je peux ! :p
On joue à Pathfinder, un jeu de rôle relativement traditionnel, mais les scénarios sont sympathiques. On rigole bien, on ne fait pas trop de conneries, ça change. :p
Bon, par contre, on ne peut pas grand chose contre la malchance qui frappe nos dés par moment. Quand tu fais des 4 ou 5 sur un dé de 20 toute la partie, et que les quatre autres joueurs sont tout aussi chanceux… Ben les aventures durent finalement plus longtemps que prévu, on arrive quand même à la fin et en vie -ou presque-, mais il est vrai que ça s’éternise quand même.
Donc je joue une demie-orque druide. Quelle surprise! Je me balade donc avec mon petit loup. J’essaie de développer surtout la magie parce qu’étant donné qu’on a une guerrière, une moine et un rôdeur, ça ne laisse plus beaucoup de place pour taper les monstres. Il faut quand même bien rajouter qu’étant donné que j’ai un nombre de sort de X niveau limité par jour, je suis bien obligée de faire des choix, de n’en utiliser certains que sur des gros vilains pas beaux ou lorsque les choses tournent mal pour nous -genre, on se retrouve face au Diable de PointDeSable qui nous inflige 14 points de dégâts par attaques de zone, aucun problème, j’ai 20 points de vie, tu peux y aller! -_-‘
Donc au final, je suis bien obligée de taper au corps à corps, avec ma faux aussi bien tranchante que contondant ! Donc en plus, entre ma race, ma carrure, mes cicatrices, c’est toujours sympa d’être appelé la faucheuse quand tu entres dans une nouvelle ville, surtout quand ton premier combat, tu fais des dégâts de fous… Fantastique ! Oui, tout cela, c’est très ironique, mais en même temps, ça contribue à bon nombre de nos parties de rigolade.
Bref, chaque partie est un chouette moment passé en compagnie de mes amis.

Bon, bien sûr, on ne peut pas tout le temps être joueuse, donc je reprendrai le mastering avec Vampire la Mascarade ou je présenterai dès mercredi la Camarilla et le Sabbat à mes anciens-futurs joueurs ainsi que les différents clans composant chaque légion. Et tout ça après la prochaine partie de Pathfinder.
Il va ma falloir du courage, c’est dans moins de deux jours, et je n’ai même pas commencé le livre de règle… Je sens que ça va être drôle – bon après, ce ne sera pas un drame: je ne risque pas de faire parler les muets, donc l’honneur sera sauf  ^^

Le Crime de l’Orient-Express – Agatha Christie

Résumé: Alors qu’il rentre de mission et compte s’arrêter quelques jours à Stamboul, Hercule Poirot est rappelé d’urgence à Londres. On est en hiver et à cette époque de l’année, l’Orient Express roule habituellement quasiment à vide. Pourtant, sans l’aide du directeur de la compagnie, Hercule Poirot n’aurait pas trouvé de place à bord, comme si tous les voyageurs s’étaient donnés rendez-vous dans ce train ! Dès la première nuit, un homme est assassiné. Le train est immobilisé par la neige qui empêche l’assassin de s’enfuir. Dans les wagons isolés du reste du monde, Hercule Poirot, au sommet de son art, mène l’enquête. Et ce ne sont pas les pistes qui manquent !

Waouh ! Ça résume à peu près l’impression que m’a donné ce livre. Il est d’abord bon de préciser que je n’avais jamais lu auparavant d’Agatha Christie. Je voulais tester depuis longtemps, mais l’occasion ne s’en était jamais présenté. Ce n’est que la semaine dernière où, ayant besoin de me faire plaisir et d’acheter des lectures pour mes enfants, je me suis pris le temps de chercher un livre pour moi. Mon choix s’est porté sur celui-là parce que je le connaissais de nom et je tenais absolument à posséder un livre dans cette édition – j’ai le souvenir qu’enfant, lorsque ma mère prenait des romans policiers à la bibliothèque, c’était ces livres jaunes.

Bref, passons sur les faits qui m’ont amené à l’acheter et le lire pour donner à un avis plus personnel. Alors déjà, le style d’écriture: très fluide, très simple qui rend la lecture claire et absolument passionnante. Je pense que l’intrigue joue aussi, mais en l’occurrence, si le style n’avait pas été si limpide, je n’aurai probablement pas apprécié. Je n’ai pas eu énormément de temps à consacrer à la lecture ces derniers jours – quelques minutes par jour, probablement pas une heure pleine-, pourtant, j’ai avancé très vite. C’est appréciable de ne pas buter sur sa lecture et de ne pas s’assoupir dessus.
L’intrigue est vraiment intéressante, l’atmosphère relativement lourde, à la limite de l’oppression; je m’explique: on suit attentivement l’affaire, on note chaque détail, on ne peut pas attendre passivement que la réponse nous arrive tout cuit dans le bec, donc on cherche avec Hercule Poirot et ça ne vient pas. Bon, il est vrai que ça a un côté frustrant, mais quand on commence à se rendre compte que les descriptions sont sciemment épurées pour qu’on ne trouve pas le coupable avant le dernier chapitre, on se rend à l’évidence et on attend juste l’explication finale avec beaucoup d’impatience. J’avais un peu la même sensation lorsque je lisais les Détective Conan, j’adorais me creuser la tête pour découvrir LE coupable et moi qui régulièrement râle parce que j’ai découvert la conclusion de bien des livres avant même la fin, ce genre de bouquin a toutes les chances de me plaire -même si j’ai déjà testé des livres policiers plus moderne comme le Da Vinci Code, par exemple, que je n’ai pas particulièrement aimé, disons-le, c’était sans plus.

Vous l’aurez compris, j’ai vraiment bien apprécié. Si l’occasion se présente, je lirai d’autres œuvres d’Agatha Christie, et je tenterai d’autres auteurs du genre tout aussi connu comme Conan Doyle avec ses Sherlock Holmes. Soyons folle, je tenterai peut-être même des auteurs plus modernes, à voir… 😛


EDIT du mercredi, 27 septembre 2017 :
J’avoue que je ne me souvenais plus de l’avoir lu. Je l’ai donc emprunté à la bibliothèque en espérant découvrir ce grand classique du roman policier… Bon, dès le premier chapitre, j’ai eu une sensation de déjà-lu autant que d’inédit. C’était assez étrange.

Je ne parlerai donc pas de l’histoire, je l’ai fait plus haut.
Je m’attarderai davantage, mais rapidement néanmoins, sur le support audio.
J’ai beaucoup aimé la voix de Samuel Labarthe, les intonations qu’il prend et les changements de voix qu’il effectue en fonction du personnage qui parle.
C’est le second livre audio que je lis et je n’accroche toujours pas. Je ne parviens pas à me concentrer suffisamment pour apprécier la lecture par une tierce personne : il y a toujours un moment où mon esprit vagabonde – quand je lis, ça m’arrive également mais je remonte quelques phrases ou paragraphes et je rattrape ce que j’ai loupé, pour un livre audio, c’est beaucoup plus délicat.

Cette seconde tentative fut une fois de plus un échec, je pense qu’il n’y en aura pas de troisième.

Challenge Coupe des 4 maisons :
7ème année : Beuglante – un livre audio – 70 points

Le cycle d’Elric 2 – La forteresse de la Perle – Michael Moorcock

Résumé: Elric s’est egaré dans le Désert des Soupirs ; il a franchi les sables où s’abîment les voyageurs ; le voici à Quarzhasaat, la ville engloutie par la marée des dunes, où nulle caravane n’a jamais abouti. Trop tard peut-être : Elric délire, Elric agonise. Où est l’élixir qui lui rendra ses forces ? Et s’il boit l’élixir, où trouver l’antidote ? Finalement il accepte un pacte : en trois semaines, il va quérir la Perle au Cœur du Monde. Et le voilà parti pour l’Oasis Fleur d’Argent C’est là que Varadia, la Sainte Fille des nomades Bauradim, dort d’un sommeil surnaturel. C’est là qu’on peut se frayer un chemin vers les Royaumes du Rêve, où se dresse, dit-on, la Forteresse de la Perle. Mais comment s’orienter, sans les Voleurs de Songes, dans ces terres fictives ? Et comment affronter les Aventuriers Magiciens, sachant que Stormbringer, la Buveuse d’Âmes, ne pourra rien contre ces chimères issues de l’imagination ? Un voyage inouï attend le prince albinos : il explore les domaines de la « fantasy », où nul ne s’était risqué avant lui.

Je ne sais par où commencer tellement j’ai été déçue. J’avais bien aimé le premier, décidé de lire la suite mais là, je ne suis plus sûre de rien.
Je vais commencer par l’histoire en elle-même. Je me suis ennuyée, atrocement ennuyée… Et ça, depuis le début; au point de m’endormir au bout de quelques pages. C’est vraiment frustrant. Commençons par un rapide rappel: à la fin du premier tome, on quitte un Elric décidé, sûr de lui, relativement fort malgré son addiction aux drogues qui par moment l’affaiblissent. Au fil du volume, on l’a vu évoluer, changer malgré lui et devenir plus proche du vrai guerrier Melnibonéen qu’il devrait être. Au début du second, on le trouve faible et misérable. Toute détermination l’a fuit, et tout au long du livre, il n’est que l’ombre de lui-même se laissant mener par le bout du nez, n’étant jamais maître des événements ni de ses choix.
La lecture est loin d’être fluide, les propos de certains personnages sont incompréhensibles -comme s’il nous manquait des informations qu’au final on n’aura pas pour la plupart- ce qui n’aurait pas dû être un problème étant donné que ça se déroulait dans le monde des songes, mais du coup, pour cet endroit-là, ce n’était pas assez incongru, trop raisonné.
Ça a été 230 pages d’un mortel ennui… Oui, j’ai bien dit 230… Mais, vous me direz qu’il fait 251 pages. Oui, en effet. Donc les 21 dernières pages ont été du pur “Elric”. Il redevient sur la fin lui-même, libéré de toute contrainte. Et surtout, un point positif, sûrement le seul d’ailleurs, dans les deux derniers chapitres qui closent le volume, on comprend toute l’œuvre. Je m’explique: le thème principal et les enjeux de l’histoire sont le contraste entre le Chaos et la Loi-l’ordre; ce dernier étant figé. Mais tout cela ne nous est révélé qu’en conclusion. Et lorsqu’on comprend ça, on voit le livre de façon réellement différente. Je déplore juste qu’aucune réflexion ne nous ait mis sur la voie avant les derniers chapitres, parce que du coup, non seulement l’œuvre perd énormément, mais l’impression générale reste quand même assez négative.

Le deuxième point négatif qui a été ma bête noire tout au long de ce bouquin: les fautes de typographie. Une vraie galère, chaque fois que je commençais à décoller dans la lecture, pouf, une erreur qui me freinait… et c’est énervant. Je ne suis pas particulièrement difficile, un “s” oublié ne me pose pas de soucis outre-mesure, mais les absences de déterminants… pfff, ils auraient carrémment dû tous les zapper, après tout, ça sert à rien un déterminant; ne parlons même pas des doublons de mots genre: “alors que que la Kasbah”, aucun soucis, tu peux même les mettre en triple… ah, merde, ils l’ont déjà fait ça, j’aurai dû dire en quadruple.
Bon, ok, tout ça, c’est méga chiant, ça m’a beaucoup freiné, mais c’était loin d’être le pire. Ce qui m’a le plus énervé, c’était lorsque des mots étaient remplacés par d’autres, l’exemple le plus frappant, c’était “partout” qui remplaçait “pourtant”… Hein? Je ne vois pas le rapport entre les deux. Résultat: phrase relue au moins 4 fois mais non, partout, ça ne marchait pas, alors que pourtant, oui… Bon, ça c’est fait ! Et si encore, ça avait été le seul mot du genre, mais non !
Bon, ne soyons pas chiant, me direz-vous, quelques erreurs, ça peut arriver… mais là… c’était minimum une erreur toutes 5 pages quand ce n’était pas à toutes les pages… super frustrant…
Autant dire que ça n’a pas été une partie de plaisir. Une vraie galère, je suis contente d’en avoir fini avec ce tome.

Par contre, je dois être complètement maso, mais je sais déjà que je lirai le troisième volet du cycle.
Pourquoi ? Parce que je pense que ce tome était une erreur, il a été écrit de nombreuses années après le premier, et je trouve que cela se sent drôlement autant que malheureusement. Donc j’espère trouver dans le 3 ce que je n’ai pu trouver dans le 2. Affaire à suivre…