Jeux #8 : Smallworld

smallworldSmallworld

C’est un jeu de plateau et, très exactement, de conquête. On peut y jouer à 2, 3, 4 ou 5 joueurs et selon le nombre, il y a un plateau différent.
Le but est de conquérir un maximum de territoire et de gagner ainsi le plus de points de conquête.
Pour ce faire, on a le choix entre 6 races parmi les 14 existants ayant des pouvoirs spéciaux – 20 en tout (l’alliance des deux étant aléatoire puisqu’ils sont séparés, ce qui permet de rejouer d’autres parties bien différentes). En début de partie, on peut opter pour la première combinaison mais si l’on préfère une des suivantes, rien n’empêche de l’acheter en payant un point de conquête par peuple zappé.

Lorsqu’on a choisi son ethnie, on reçoit un certain nombre de pions correspondant au numéros qu’on trouve sur les cartes race comme sur celle des pouvoirs : l’addition des deux nous donne le nombre de soldats que nous avons. Puis, on place ses bonhommes sur la case qu’on souhaite – à savoir que l’entrée se fait obligatoirement par l’une des cases du bord du plateau ou par la mer et l’avancée se fait forcément de par un territoire adjacent.
Selon que ces zones soient des plaines, collines, marais ou autre, il se peut que certains joueurs aient un bonus selon la race ou le pouvoir de son peuple. Par exemple, les semi-hommes peuvent se déplacer sur les contrées renfermant des grottes même si elles ne sont pas accolées. Les pouvoirs peuvent également faire la différence : si l’on prend le talent Berserk, on peut pour chaque conquête lancer un dé de renfort qui peut apporter de 0 à 3 troupes, ça peut faire la différence.
smallworld-peuple-pouvoirsPour gagner un terrain vierge, il faut au minimum deux personnages, pour les montagnes trois. Dans certaines cases, il y a des peuples perdus qui rajoutent un au nombre de soldats nécessaires. Si l’on souhaite conquérir une zone déjà prise, il faut tenir compte du relief mais également du nombre d’ennemis et fournir assez d’hommes pour vaincre.
Une fois le tour terminé, on peut récupérer les pions en trop (on doit obligatoirement en laisser un pour conserver la place, logique !) et on peut alors dispatcher les autres pour rendre la tâche plus difficile pour les adversaires. C’est également à ce moment qu’on peut utiliser certains pouvoirs comme « aux deux héros » qui immunise la zone. Ensuite, on compte le nombre de zone nous appartenant et l’on obtient le nombre de points de pouvoir correspondant.

Vient un moment où l’on n’a plus assez de pions pour s’étendre davantage, on peut alors mettre notre peuple en déclin : les territoires sont toujours à nous et comptent  toujours pour les points de pouvoirs, sauf si quelqu’un d’autre nous écrase. Ça nous prend un tour mais au prochain, on repart sur de bonnes bases.
On ne peut pas avoir plus d’une seule civilisation en déclin.

smallworld-plateauJ’avoue que je l’ai trouvé intéressant – plus à la fin qu’au début, principalement parce qu’un certain temps est nécessaire pour en comprendre et surtout maîtriser les tenants et les aboutissants. Malheureusement, même si je trouve le principe absolument génial, je m’y suis ennuyée, j’avais hâte que ça finisse… maintenant que je connais les règles, je réessaierai peut-être une nouvelle partie mais pas avant un certain temps, la motivation n’est pas là…

Bilan lecture du mois de septembre 2016

Bilan de lectureEnfin !!! Un véritable mois lecture ! La motivation est à nouveau là, et ça se sent :
J’ai lu 10 livres (1 comics, 2 BD et donc 7 livres).
Commençons sans plus tarder:

Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:
Magic 7 tome 2 L'erreur de l'épouvanteur maisie-hitchins-tome-3-l-affaire-du-manoir-hante les-secrets-de-zoe-tome-3-les-dauphins les-aventuriers-de-la-mer-tome-5 sans-forme-gail-carriger

Gif heureux
J’ai aimé:
zoelie-lallumette-tome-2 noob-tome-2-les-filles-elles-savent-pas-jouer-dabord

Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:
Harley Quinn tome 1 - Complètement Marteau

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a trop déçue:
Mercy Thompson, tome 6 - La marque du fleuve

On arrive donc à un total de 2484 pages (232 en comic, 86 en BD et donc 2166 pages en livre).

Bilan challenge :

Arbre généalogique des Rougon-Macquart de 1878Challenge Rougon-Macquart : 07/20

Challenge LEAF Le Manège de PsylookChallenge LEAF : 12/50

challenge-goodreads-bilan-septembre-2016Challenge Goodreads : 79/100

Challenge - Coupe des 4 maisonsCoupe des 4 maisons : 05/70 – 135 points

Réduit ta PAL à néantChallenge Réduit ta PAL à néant (illimité) : 40/80

Actuellement, je lis :
Belle du SeigneurBelle du Seigneur
Albert Cohen
(8%)

Thème du mois d’octobre :
Halloween – Lectures qui font frissonner
Halloween 2

Les mascottes se défient #4

Les mascottes se défientCe challenge est une reprise des défis lancé par les blogs Siji & books et Mi-ange Mi-démon.
Le but :
se lancer chaque mois un défi lecture.
Ce mois-ci, ma binômette Psycho-Boook et moi avons décidé de se défier à nouveau ^_^
Pour le mois d’octobre :

Le défi qu’elle m’a lancé :
Un livre avec un ou des monstres
Mon choix :
college-lovecraft-le-professeur-gargouilleLe collège Lovecraft, tome 1 : Professeur Gargouille – Charles Gilman

Le défi que je lui ai lancé :
Un livre dont la couverture est à dominance orange.
Vous trouverez les options de Psycho-Book dans son article : ici (Bientôt) !

Sans forme – Gail Carriger

sans-forme-gail-carrigerTitre: Sans forme
Saga: Le protectorat de l’ombrelle, tome 2
Auteur: Gail Carriger
Éditeur: Le livre de poche
Collection: Orbit
Nombre de pages: 445
Quatrième de couverture: Un jour qu’elle se réveille de sa sieste, s’attendant à trouver son époux gentiment endormi à ses côtés comme tout loup-garou qui se respecte, elle le découvre hurlant à s’en faire exploser les poumons. Puis il disparaît sans explication… laissant Alexia seule aux prises avec un régiment de soldats non humains, une pléthore de fantômes exorcisés, et une reine Victoria qui n’est point amusée du tout.
Mais Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Écosse, le repaire des gilets les plus laids du monde, elle est prête !

En commençant ma lecture, j’ai eu un peu de mal à me plonger dans les premières pages principalement parce que, si je me souvenais très bien des grandes lignes du premier tome, j’avais oublié certains détails comme ce qu’était la fonction de muhjah par exemple. Du coup, ça m’a un peu ralenti, et j’ai du faire un sacré travail de mémoire.

Lorsque le second tome commence, on découvre qu’Alexia et Conall sont mariés depuis quelques mois et leur existence est bien rodée : cette ellipse n’est en rien problématique, l’auteure réussit parfaitement à insérer le lecteur dans cette nouvelle vie sans qu’il ne ressente un manque.
Les relations entre Lord et Lady Maccon sont quasiment identiques au premier tome et c’est juste du bonheur : je redoutais que cela ne change, qu’ils soient plus romantiques l’un envers l’autre – j’entends romantique dans le genre neuneu. A leur façon, ils ont un côté tendre mais conservent leur personnalité et n’hésitent pas de s’envoyer des piques dès que l’occasion se présente. J’ai juste un peu de mal avec les petits mots d’amour qu’ils se lancent : « femme ! », « mari ! », etc.

Contrairement au premier tome – oui, je compare régulièrement les volumes d’une même saga -, j’ai trouvé que l’enquête semblait bien plus simple, le lecteur reçoit beaucoup d’indices qui le lancent sur la voie des coupables ; par contre, Alexia est faible sur ce coup-là ! Elle a un sacré temps de retard ; de mon côté, je savais rapidement que l’épidémie d’humanisation avait un rapport étroit avec l’ancienne meute de Conall, que cela venait plutôt d’un objet que d’une maladie (ça aidait : l’hypothèse de la contagion n’était franchement pas plausible), etc.
Dans la case prévisibilité, il y a aussi la révélation finale à laquelle je m’attendais mais absolument pas à la réaction que cela a provoqué chez les différents personnages ; ça m’a laissée sans voix. J’ai grandement hâte de lire la suite.

Ce que j’aime dans cette série, hormis le caractère bien trempé d’Alexia (seul bémol, elle est réellement très froide… le stéréotype-même de l’anglaise), c’est que les héros ne sont pas figés dans une situation, ça évolue (par exemple, dans le premier, je ne m’attendais pas si vite au mariage, là, il en va de même pour le final.)
J’ai adoré cette lecture, j’ai passé un très bon moment et il m’était difficile de m’arrêter.

Challenge - Coupe des 4 maisonsChallenge Coupe des 4 maisons :
2ème année : Greyback – un livre de bit-lit – 10 points