Bricolage – Vitrail de Noël

Ces derniers temps, je fais un certain nombre de bricolage avec les enfants – environ un par semaine histoire de ne pas être trop vite à cours d’idée.
Parmi les activités organisées, nous nous sommes lancés dans le création d’un vitrail papier, l’un pour les 2 à 5 ans, l’autre pour les plus de 5 ans.

Le matériel nécessaire :
– Papier canson noir et/ou rouge.
– Papier vitrail de différentes couleurs
– Colle
– Ciseaux
– Cutter pour les adultes
– Coton

La chaussette-vitrail (pour les 2 à 5 ans)

Prendre une demi-feuille de papier canson rouge. Dessiner le patron d’une chaussette :
chaussette-vitrail-patron

L’adulte doit découper le rectangle intérieur au cutter. L’enfant peut, avec l’aide d’un grand, couper au mieux les contours de la chaussette ; c’est la seule étape où un adulte aide l’enfant. Dessiner une étoile-fleur avec un emporte-pièce, la couper et la coller :
chaussette-vitrail-decoupage

Coller le papier vitrail central. Découper de petits triangles de papier vitrail de différentes couleurs et les coller au centre :
chaussette-vitrail-collage-de-papier-vitrail

Étape finale : mettre de la colle sur la bordure et y apposer le coton :
chaussette-vitrail-bordure-de-coton

 

Vitrail de Noël (pour les plus de 5 ans) :

L’adulte doit dessiner et découper un modèle cartonné qui servira de pochoir aux enfants.
Les petits peuvent alors dessiner le modèle sur un papier cartonné noir. Les grands doivent découper au cutter le vitrail dessiné afin d’en créer le squelette :
vitrail-de-noel-dessine vitrail-de-noel-decoupe

Les enfants dessinent par transparence les parties triangulaires du papier vitrail en fonction de la case choisie, avec la règle si possible :
vitrail-de-noel-dessin-papier-vitrail

Puis il leur suffit de coller le papier vitrail sur le squelette.
On peut également y coller des boules de papier de couleur, dessinées grâce au capuchon d’un feutre.
Il ne reste plus qu’à le scotcher à la fenêtre.
vitrail-de-noel-colle-a-la-vitre vitrail-de-noel-boules-du-sapin

Les enfants font d’épouvantables animaux de compagnie – Peter Brown

les-enfants-font-depouvantables-animaux-de-compagnieTitre: Les enfants font d’épouvantables animaux de compagnie
Auteur: Peter Brown
Éditeur: Circonflexe
Nombre de pages: 40
Quatrième de couverture: Lorsque Lucie, une jeune oursonne vêtue d’un tutu rose, découvre un petit garçon dans la forêt, elle est aux anges et décide de l’adopter. Mais sa maman la met en garde, lui rappelant que les « les enfants font d’épouvantables animaux de compagnie ».
Lucie est déterminée à prouver le contraire, mais elle réalisera qu’il n’est pas facile de domestiquer des animaux sauvages, encore moins des petits garçons…

Ce n’est pas un conte à proprement parler, mais j’ai trouvé que la thématique et surtout les rares décors qui parcheminent les planches sonnent assez « conte » : une oursonne (en tutu rose), qui trouve en forêt un petit d’homme caché dans les buissons, l’emmène chez elle comme un animal de compagnie et essaie de l’apprivoiser malgré les avertissements de sa maman Ourse – ce n’est pas si éloigné de Boucle d’Or, quoique…

les-enfants-font-depouvantables-animaux-de-compagnie-lucie-cherche-gloppyLes dessins font très vieux, j’aurais donné ma main à couper que cet album devait dater des années 80, ben non… de 2010.
La couleur doit y être pour beaucoup ; les techniques et supports utilisés (crayon sur papier, morceau de papier à dessin et de coupe de bois) également.
L’histoire est plutôt amusante, avec un petit côté ridicule surtout quand on découvre Gloppy dans un bac à litière ; les passages où l’enfant fait des dégâts m’ont fait sourire, c’est tellement ça (ce n’est pas une créature très propre, ça se salit, ça casse tout, etc. – je ne vais pas tout dévoiler ; de toute façon, il suffit d’avoir des enfants dans son entourage pour imaginer)

C’était drôle, ça s’est laissé lire. Je n’ai pas grand chose de plus à en dire, il n’y a pas matière à en parler pendant des pages et des pages.

Tales Of Symphonia, tome 6 – Hitoshi Ichimura

tales-of-symphonia-tome-6Titre: Tales Of Symphonia, tome 6
Auteur: Hitoshi Ichimura
Éditeur: Ki-oon
Nombre de pages: 208
Quatrième de couverture: Après l’épique « Tales of Symphonia », l’histoire continue ! Retrouvez Lloyd et tous ses compagnons dans ce volume bonus inédit dessiné de main de maître par Hitoshi Ichimura. Six histoires originales, qui retracent des moments importants de la vie de vos personnages favoris et permettent de découvrir les coulisses de leurs aventures !
Sommet du RPG fantastique, la série « Tales of » fait partie du trio de tête des grands jeux de rôle au Japon, avec « Final Fantasy » et « Dragon Quest ».

Ce manga est classé en tant que tome 6 de la série Tales of Symphonia, pourtant, ça ne l’est pas, c’est un hors série qui conte certains passages mettant en scène les personnages, dévoilant un ou des morceaux de leur passé. Ca peut être lu en dehors des volumes précédents et heureusement parce que j’ai commencé par celui-ci. Rien n’indiquait sur la couverture ou dans le résumé que c’était le numéro final d’une saga.
Le bon côté, c’est que ça m’a donné grandement envie de découvrir ce titre, il faudra donc que je me les procure d’une façon ou d’une autre.
Il est inspiré d’un jeu vidéo japonais de 2003 que je connaissais de nom mais l’ai jamais testé.

Je me suis lancée dans cette lecture parce que je cherchais un manga pouvant correspondre au thème du mois de décembre : « les contes » ; le terme de Tales me semblait approprié, j’espérais trouver des légendes issues du monde du jeu. Après l’avoir terminé, plus vraiment… Tant pis.
Cela fait un moment que je tenais à découvrir ce manga parce qu’il m’a été offert lors des 15 ans de rencontre des forumers, je ne m’y attendais pas et ça m’a énormément fait plaisir. Donc c’était l’occasion ou jamais de le sortir.

tales-of-symphonia-6-kratos-et-lloydLes personnages sont plutôt sympathiques – j’ai bien accroché à Kratos – et pour une fois, le genre fantasy semble bien exploité – ce qui n’a pas été le cas de beaucoup de séries, quoique… certains titres me viennent en tête comme Lodoss pour ne citer que lui.
J’aime beaucoup le character design de certains héros même si quelques uns se ressemblent un peu trop à mon goût (genre Génis, Raine et Mithos qui sont relativement difficiles à différencier sans prendre le temps de s’attarder sur les détails.)

J’ai tellement aimé cette lecture que ça m’a donné envie de découvrir la saga dans son intégralité.

Cookies maison aux pépites de chocolat – Recette

Aujourd’hui, plutôt que de vous présenter un nouvel avis sur un album jeunesse, j’ai décidé de publier la recette de cookies aux pépites de chocolat qu’un des enfants que je garde a fait à l’école.
Pourquoi ce choix ?
Déjà parce que, pour moi, décembre est intrinsèquement lié à la nourriture et à la confection de gâteaux, ensuite parce que j’aimerais garder cette recette pour en faire ces prochaines semaines.
Voici donc la recette :

cookiesIngrédients :
– 115g de beurre à température ambiante
– 100g de sucre roux
– 100g de sucre fin
– 1 œuf
– 1 sachet de sucre vanillé
– 155g de farine
– 1 pincée de levure chimique
– 100g d’amandes en poudre
– 150g de pépites de chocolat

Préparation :
Préchauffez le four à 180° (thermostat 6)
Montez le beurre et les sucres en crème mousseuse, ajoutez progressivement l’œuf battu.
Mélangez la farine avec la levure chimique et les amandes moulues, versez la moitié du mélange dans la préparation crémeuse, remuez.
Rajoutez le reste du mélange et les pépites de chocolat, remuez.
Partagez cette pâte en 25 boules (ou plus selon la taille désirée) et disposez-les sur une plaque garnie de papier sulfurisé en les séparant les uns des autres, aplatissez-les légèrement avec la main.
Mettez au four 15 à 20 minutes le temps qu’ils dorent.
Sortez du four et laissez refroidir sur une grille. Recommencez l’opération avec le reste de la pâte.
Conservez dans une boîte hermétique.

Sous l’œil du Dragon – Alexia Sabatier et Xavier Besse

sous-loeil-du-dragonTitre: Sous l’œil du Dragon
Texte: Alexia Sabatier
Illustrations: Xavier Besse
Éditeur:
Réunion des Musées Nationaux
Nombre de pages: 44
Quatrième de couverture: Corps de serpent, griffes de faucon,
c’est le dragon qui orne le cerf-volant de Xiao Li.
Dragon de pacotille ou animal magique ?
Le vent seul connaît la réponse…

En empruntant cet album, je ne savais pas à quoi m’attendre. Je voulais un conte aux accents asiatiques, on peut dire que c’est le cas : les héros sont chinois, et l’histoire porte sur les cerfs-volants ainsi que sur la légende du dragon.
On suit Xiao Li qui perd son cerf-volant en forme de dragon. Dépité, il va s’en plaindre à son grand-père et ce dernier lui raconte une légende ayant trait à cette créature fabuleuse, porteur de tant de symboles (fertilité, éternité, sagesse, etc.) On y retrouve donc toute une philosophie qui résume bien ce qu’il représente.

J’ai beaucoup aimé les dessins, les décors autant que les personnages sont inspirés d’estampes. J’ai trouvé les couleurs relativement sobres et harmonieuses.
sous-loeil-du-dragon-dragon-de-lempereur-sans-oeilDans certaines planches, sont incrustées des photos d’œuvres conservées au musée des arts asiatiques Guimet à Paris. De prime abord, ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, mais arrivé à la fin, tout s’éclaire puisque chaque artefact a une explication en rapport avec la page où elle apparait. C’est un peu dommage qu’il n’y ait pas une note au début, on ne découvre cela qu’à la fin. Du coup, j’ai relu les passages où ils apparaissaient, histoire de les mettre en corrélation avec leur description.

C’était une lecture intéressante, ça s’est laissé lire.