Monster girls collection, tome 2 – Suzu Akeko

Titre : Monster girls collection, tome 2
Auteur : Suzu Akeko
Éditeur : Soleil (Manga – Gothic)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Tout bon monstre qui se respecte doit savoir effrayer ! Pour cela, Ichika et ses camarades doivent absolument obtenir leur diplôme de monstre ! Mais dans leur classe, la plus mauvaise de toutes, étudier n’est pas une mince affaire ! Entre tricheries et règlements de comptes sanglants, Monsieur D, leur professeur principal, va avoir bien du mal à les emmener jusqu’au diplôme…

Un second tome encore plus déjanté que le premier.
Contrairement au précédent, on ne découvre pas de nouveaux personnages, la classe Z est au complet. Ses élèves continuent à suivre leurs cours, notamment avec l’apprivoisement d’un familier, mais ça tourne mal… quelle surprise !
La rivalité avec la classe A se poursuit, mais c’est secondaire. Les élèves sont surtout préoccupées par l’arrivée de la Black Week, une semaine de vacances. Et la classe de monsieur D se rend à la mer : après leur séance de rattrapage, Ichika et ses camarades peuvent aller s’amuser.

J’ai bien aimé tous les personnages, elles sont toutes dans le même délire donc ça passe. Mon préféré reste monsieur D et je suis ravie d’avoir découvert un bout de son passé, et de sa rivalité avec le professeur K. Il se retrouve par hasard à donner des cours à la classe A et c’est l’occasion de voir à quel point c’est un bon prof, sa décision par la suite ne le rend que plus attachant.
Les dessins sont chouettes, je me suis attardée sur pas mal de planches. J’adore leur format chibi, elles sont trop chou !

J’ai préféré le second tome au premier, il est bien plus drôle et j’ai beaucoup ri. Ce fut une lecture plaisante et je suis ravie d’avoir le troisième tome dans ma PàL.

Automne de l’étrange
Les mystérieux habitants de Pottsfield (Halloween)

Contes grinçants et grimaçants

Titre : Contes grinçants et grimaçants
Réalisateur : Audrey Velichka
Casting : Raini Rodriguez, Andre Robinson, Nicole Byer
Durée : 10 épisodes de 30 minutes
Genre : Contes revisités, aventure
Synopsis : En quête de meilleurs parents, Hansel et Gretel quittent la maison et s’aventurent dans d’autres contes des frères Grimm. Des narrateurs inattendus nous guident à travers le récit de leurs nouvelles rencontres peuplées de sorcières, de dragons ou du diable en personne.

C’est une série d’animation en 10 épisodes, adaptée de la trilogie de roman d’Adam Gidwitz. Chaque fois que je voyais le nom à la fin du générique, je me demandais où je l’avais déjà vu… puis dans les trois derniers, j’ai réalisé : c’est l’auteur du roman La terrifiante histoire et le sanglant destin de Hansel et Gretel que j’ai lu l’an dernier.

Trois corbeaux nous racontent l’histoire de Hansel et Gretel. Comment Leurs parents les ont décapités avant de leur recoudre la tête avec un fil d’or, ce qui les a ramenés à la vie. Malheureusement, les deux gamins se souviennent de ce que les adultes lui ont fait, prennent peur et fuient le palais à la recherche de meilleurs parents.
Ils traversent bon nombre d’épreuves et chaque aventure est une réécriture de conte des frères Grimm.

Les trois corbeaux sont amusants, ils m’ont plus d’une fois fait rire.
Au début, je n’aimais pas trop Hansel et Gretel, mais au fil de leurs aventures, ils prennent de la bouteille. Ils changent et deviennent plus imprévisibles et plus sympathiques.

J’ai adoré l’univers, il est grinçant. Ça m’a un peu fait penser à celui de Soul Eater en beaucoup plus soft.
L’animation est pas mal, un peu semblable à celle de Dragons.
Le character design des héros est chouette, même si la différence physique de Hansel et Gretel m’a dérangée : il est typé afro-américain, elle est blanche et blonde. Difficile de les prendre pour un frère et une sœur.
Mon personnage préféré est indéniablement le diable. J’adore son apparence, il est trop classe.

J’ai bien aimé cette série d’animation. Elle n’avait rien d’exceptionnel, mais elle a rempli son office : j’ai passé un bon moment.

Automne de l’étrange
“Sois vent, rêve, cendre et néant
Sois nuit, noir, âme et souhait”
(conte, sorcière, sauvetage, disparition)

Cauchemars, tome 3 : Sluagh – Sophie Fischer

Titre : Sluagh
Saga : Cauchemars, tome 3
Auteur : Sophie Fischer
Éditeur : Voy'[el]
Nombre de pages : 362
Quatrième de couverture : Au cours d’une soirée à laquelle Mr Mardling a demandé à Niamh de l’accompagner, la jeune fille et le médium rencontrent Vincent Byrne qui tient une galerie d’art. Niamh constate aussitôt le trouble qui s’empare de son employeur face à cet homme. Mais un terrible drame frappe le manoir et la jeune fille a malheureusement d’autres problèmes à régler. Elle se rend cependant très vite compte que cette rencontre et l’accident pourraient bien avoir un rapport. C’est en plongeant au cœur d’un nouveau Cauchemar que Niamh découvrira le fin mot de cette histoire, tandis que sa relation avec Jack prendra une nouvelle tournure.

Comme prévu, j’ai lu le troisième tome de Cauchemars en période d’Halloween. J’avais prévu de la finir vingt-quatre heures plus tôt, mais non seulement mes journées étaient trop chargées (suite au jeu de piste préparé), mais j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire au début.

La relation entre Niamh et Jack prend une tournure plus sérieuse ; si ça pouvait me faire tiquer avant parce que le fantôme avait un côté malsain, c’est moins le cas là : il change, son grain de folie est moins tordu, la jeune médium le stabilise.
Mr Mardling est toujours aussi mal que dans le précédent, mais cette fois, on sait pourquoi : il a rencontré un galeriste, Vincent Byrne, qui le perturbe. Ses sens lui indiquent que l’homme est un fantôme, mais le commun des mortels peut interagir avec lui. Une terrible incohérence pour le médium. Heureusement, tout s’explique au fil des pages.

Ce troisième tome est l’occasion de découvrir le passé de Hyacinthe : on savait déjà qu’il avait eu une relation amoureuse douloureuse (enfin, c’est ce que j’avais cru deviner), la raison pour laquelle Collins ne l’aime pas, l’étendu de son lien avec Jack et avec Ann, l’origine de son hypocondrie, etc.
Plus je passe de temps avec les personnages de cette saga, et plus je les aime. À chaque tome, je m’y attache un peu plus.

J’espère qu’il y aura un quatrième tome, en tout cas, c’est ce que laisse présager la fin de celui-ci.
J’ai adoré cette lecture.

Automne de l’étrange
Les mystérieux habitants de Pottsfield (Halloween)

Coupe des 4 maisons :
Département de contrôle et de régulation des créatures magiques (item éphémère Spooky Boo) – lire un livre contenant un monstre d’Halloween (hors HP)60 points

Jeu de piste « Sur les traces du mal » à travers Strasbourg

Bonsoir jeunes filles,

Halloween n’est pas un soir comme les autres. C’est le soir de tous les possibles. Le soir où le voile entre les mondes est le plus fin… Nous pourrions jouer à nous faire peur, mais ce ne sera pas le cas.
C’est le soir idéal pour permettre au mal de s’étendre à travers le monde. Strasbourg n’est pas une zone de non-droit en la matière. Dans des temps plus ou moins lointains, les ténèbres se sont abattues dans plusieurs endroits du centre-ville.
Je vous propose donc de partir sur les traces du mal.

Donner aux joueurs un plan sans indice et sans nom de rue allant du point de départ jusqu’à la fontaine de Janus (18 place Broglie).


Fontaine de Janus

Organiser un pictionary : dessiner les titres de contes pour recevoir des morceaux de phrases.
(8 noms de contes : la belle et la bête, le briquet, la petite sirène, le petit chaperon rouge, la petite fille aux allumettes, le joueur de flûte de Hamelin, le petit Poucet, la princesse au petit pois)

  1. La fontaine de Janus a été dessinée par le célèbre Tomi Ungerer en 1988, pour les 2000 ans de la ville de Strasbourg.

  2. Le morceau d’aqueduc est formé de 5000 briques maçonnées autour d’une structure en béton. Il rappelle les origines romaines de la cité.

  3. D’un côté se trouve l’inscription « Argentoratum MM » (nom latin de Strasbourg) et de l’autre « Strasbourg 2000 »

  4. Au centre de l’aqueduc, se trouve la tête du dieu Janus, un dieu à deux visages, qui illustre la bipolarité de Strasbourg, la ville des routes partagée entre France et Allemagne. Un des visages regarde vers le centre historique de Strasbourg et l’autre vers la Neustadt.

  5. Janus est le dieu romain des commencements et des fins.

  6. Il représente également l’antagonisme entre le bien et le mal avec ses deux visages.

  7. Traversez la place Broglie pour rejoindre la rue de la Comédie. Puis prenez la première à gauche et remontez la rue brûlée jusqu’au bout. Traversez jusqu’à la Nouvelle Poste. Prenez la rue de l’Arc-en-Ciel.

  8. Arrêtez-vous devant la statue de la place St Étienne. Vous pouvez y aller.


Interlude 1 : La rue brûlée

Au milieu du XIVème siècle, une épidémie s’abattit sur Strasbourg, décimant 16000 de ses habitants.
Les juifs, qui habitaient dans le quartier de la rue brûlée, ont été accusés d’être responsables de cette maladie et la corporation des Bouchers a poussé la populace à se venger. 1800 juifs furent arrêtés, 900 furent brûlés et suppliciés.


Meiselocler

La statue a été offerte par la ville de Munich en 1929.

Donner l’Indice : quel est le nom de la reine qui provoqua la guerre de Troie ?
Réponse : Hélène

Donner le Message :
QJG, NGU ICTU, NC OCVKPGG GUV DGNNG
XQWT PG XQWNGB RCU SW’QP CKNNG CVVKTGT NGU OGUCPIGU ?
NC-DCU, FCPU NC HQTGV FW TJKP, QW FCPU NC EJCOR CWZ CNQWGVVGU,
KN A C FGU EHCTDQPPKGTGU, FGU OGUCPIGU DNGWGU, FGU OGUCPIGU JWRRGGU GP ITCPF PQODTG.
SWK P’C LCOCKU CRRCVG NGU OGUCPIGU P’GUV RCU WP XTCK ICTEQP
TGPFGB-XQWU FGXCPV NC ECVJGFTCNG RQWT WPG XKTGG GP GPHGT.

Traduction
« Ohé, les gars, la matinée est belle.
Vous ne voulez pas qu’on aille attirer les mésanges ?
Là-bas, dans la forêt du Rhin, ou dans le champ aux alouettes,
Il y a des charbonnières, des mésanges bleues,
des mésanges huppées en grand nombre.
Qui n’a jamais appâté les mésanges n’est pas un vrai garçon ! »
Rendez-vous devant la cathédrale pour une virée en enfer.


Le diable et la cathédrale

De nombreuses légendes courent sur la place venteuse de la cathédrale.
L’une des légendes dit que ce sont les sorcières qui tournent autour de la cathédrale : d’après certains, c’est pour empêcher le diable d’y entrer, d’après d’autres c’est pour l’empêcher d’en sortir.

La légende la plus répandue raconte qu’en allant observer la Terre en chevauchant le vent, son fidèle destrier, le diable entendit parler de cette nouvelle construction érigée en l’honneur de son ennemi juré. Piqué de curiosité, il fit descendre sa monture vers Strasbourg afin d’observer si la cathédrale était bien à la hauteur des rumeurs qui lui étaient parvenues !
Arrivé devant, il fut marqué par la beauté du bâtiment. Ce ne fut cependant pas cette magnificence qui frappa le plus le diable. Il fut plutôt extrêmement surpris et flatté de voir qu’une représentation de sa personne trônait au-dessus d’un des portails de la cathédrale. Sculpté sous le visage du Tentateur, il était en train d’essayer de séduire les Vierges Folles. Il est ainsi représenté sous les traits d’un jeune homme séduisant, tenant fièrement une pomme. De son dos sortent des crapauds, des lézards et des serpents, bestiaire représentant la traîtrise et plus généralement le mal.
Le diable, extrêmement flatté de se voir ainsi représenté, décida de rentrer dans le bâtiment afin de voir si son intérieur égalait la beauté de son extérieur. Il est certain qu’il chercha également à savoir si un nouvel hommage lui était rendu dans les multiples sculptures qui arborent le sein de la cathédrale. Néanmoins, lorsque le diable entra dans le bâtiment, il fut surpris par un office religieux. Il fut alors pris au piège au sein de la cathédrale pour les siècles à venir. Enfermé depuis ce jour dans un des piliers de le bâtiment, la présence du diable à l’intérieur se ressentirait à travers un courant d’air frais qui parcourt l’édifice à tout moment de la journée…
Le diable ainsi piégé, sa fidèle monture, le vent, ne se décida pas à l’abandonner. Si un jour il parvenait à en sortir elle serait là, prête à l’emmener au plus vite loin de la cathédrale. Le vent attend ainsi toujours sur le parvis de la cathédrale que son maître en ressorte et, impatient, tourne en rond autour du bâtiment depuis des siècles. C’est ainsi que depuis, le vent souffle toujours, non pas sur la Bretagne armoricaine, mais sur le parvis de Notre-Dame de Strasbourg.
(Histoire trouvée sur le site : https://spokus.eu/diable-vent-cathedrale-strasbourg/)

Trouvez au-dessus des portes de la cathédrale la sculpture du diable (indice : il tient une pomme à la main). Donner une photo de la statue du tentateur
Comme si le mal était attiré par la cathédrale et son diable, un obus s’est encastré dans la façade d’un bâtiment, suite aux bombardements de la ville par les prussiens en 1870. Donner une photo de l’obus
Avant de lancer la prochaine épreuve, quelle est la véritable raison pour laquelle le vent souffle si fort et constamment autour de la cathédrale ?
Réponse : la place sur laquelle la cathédrale a été érigée est le point le plus haut de Strasbourg.

Puis inventez une chanson pour inciter les serpents à vous guider jusqu’à la prochaine étape.
Voici la chanson des filles :
Kha les serpents portés par le vent
Ils sont lents, mais nous attirent comme les aimants
Ils nous servent d’ornements
On devient très charmants
Suivez nous au lieu d’âtre malveillants
Kha les serpents portés par le vent


Interlude 2 :  la place du marché aux cochons de lait.

Sur la place, se trouve un puits surmonté d’une structure en fer forgé qui daterait du XVIIIème siècle. Il s’agirait d’une réplique de l’un des quatre puits qui se trouvaient sur l’ancienne place d’Armes (place Kleber), que l’on aperçoit sur une gravure de Jean Hans vers 1800. Donner la photo :


Pont du corbeau

Du XIVème siècle au XVIIème siècle la place s’appelait le pont au supplice. Elle devient la place du corbeau en 1849.
Au Moyen-Âge, c’était un lieu d’exécution publique. Les condamnés étaient enfermés dans une cage et exposés au regard des passants pendant quelques jours avant d’être jetés à l’eau.

Jeu du pendu : Mots à trouver – ténèbres, corbeau, monstres, halloween, enfer, torture, démon, meurtre, bourreau, sarcophage
Chaque mot trouvé donne une coquille d’œuf contenant un morceau de papier :
– Vous êtes arrivées jusqu’ici
– sans encombre.
– Bravo !
– Maintenant, rendez-vous
– place Saint Thomas
– où vous attend
– la célèbre momie
– de l’évêque Adeloch.

Direction place Saint Thomas.


Place Saint-Thomas, devant l’église.

Un endroit placé sous le signe de la destruction. Lors du grand incendie en 1007, l’église fut détruite. Puis en 1144, c’est la foudre qui à son tour détruit entièrement l’édifice. La reconstruction dura jusqu’à 1521.
Le bâtiment abrite plusieurs monuments funéraires : (distribuer les photos de chaque monument)
– le sarcophage roman de l’évêque Adeloch (27ème évêque de Strasbourg de 817 à 822), commandé en 1130 et sculpté dans du grès rose.
– le mausolée de style baroque tardif du maréchal Maurice de Saxe, brillant militaire au service de la France qui a participé aux guerres de succession de Pologne (1733-1738) et d’Autriche en 1740.
– la plaque funéraire datant de la Renaissance de Nicolas Roeder de Tiersberg (mécène de Strasbourg). Une plaque qui représente un cadavre en train de se décomposer, érigée en 1510.

Jeu du serpent : action et vérité. (Tête de mort : recule de 2 cases)

Dès qu’un joueur a passé l’arrivée, donner un bonbon puis leur donner une carte itinéraire.

A partir de là, le temps nous a manqué. Nous avons donc raccourci le jeu. Direction place de  l’homme de fer.


Place de l’homme de fer

La guerre est un fléau qui a souvent frappé la ville de Strasbourg. Et ce, depuis des siècles. Il fallait bien que les chevaliers, la milice ou les malfrats puissent s’équiper. Il y avait un forgeron d’armes au centre de Strasbourg, sa boutique était située place de l’homme de fer.
La place doit son nom actuel au soldat en armure que le forgeron en question a fixé au XVIIIème siècle à quatre mètres de hauteur sur sa façade.
Elle est toujours là, trouvez-la et prenez une photo avec vos téléphones. Donner la photo de l’armure

L’épreuve sémaphore a été donnée à la fin du jeu, à la maison.


Place des Halles : ancienne synagogue.

Donner aux filles une photo de la synagogue.
La synagogue a été construite en 1896, dans un style néo-roman dans du grès rose.
Le 30 septembre 1940, elle est incendiée par un commando des jeunesses hitlériennes composé de Badois et d’Alsacien.

Ce drame a fâché le fils du Rabbin qui a créé un golem de glaise afin de se venger, mais la créature s’est emballée et est devenue incontrôlable.

Le golem a 75 points de vie. Il a 2 attaques :
– coup de poing : inflige 3 points de dégâts à un ennemi.
– crachat de glaise : touche 3 joueurs et leur inflige 1 points de dégâts à chacun.
C’est à vous de l’arrêter lancer 1D8 pour savoir la créature que vous incarnez.

  1. Loup garou 2. Méduse 3. Banshee 4. Vampire 5. Démon 6. Gargouille 7. Vouivre 8. Will O’wisp

Quand le golem est vaincu, donner aux joueur un petit cœur qui s’ouvre, avec la clé d’un cadenas dedans avec un mot  » le trésor vous attend à la maison » et rentrer pour ouvrir le coffre rempli de bonbons.

Une fois rentrés, les joueurs ont pu faire les 2 épreuves tronquées :
– faire le puzzle créé pour l’occasion à partir d’une photo
– donner le message sémaphore (pour plus de fun, laisser les joueurs reproduire le message en leur donnant 2 drapeaux), puis leur remettre l’alphabet en sémaphore pour qu’ils puissent traduire le message.

FIN

Bilan lecture du mois d’octobre 2022

Bilan de lectureJe crois bien que c’est le meilleur bilan de lecture réalisé depuis le début du blog. Bon, je sais bien que ce n’est pas une compétition, que l’essentiel est de prendre du plaisir à lire (ce qui est le cas), mais c’est satisfaisant de savoir que j’ai pu lire à loisir.
J’ai lu 23 livres (2 BD, 14 mangas et donc 7 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
    


Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:
      


Gif heureux
J’ai aimé:
   


Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Je n’ai pas aimé:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a trop déçue:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
J’ai détesté:

On arrive donc à un total de 5050 pages (208 en BD, 2565 en mangas et donc 2277 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 12/20

Pumpkin Autumn Challenge :
07/14 livres, 10/15 mangas et 10/15 films/séries

Challenge Coupe des 4 maisons : 10 items – 325 points

ABC 2022 : 22/26

Challenge Goodreads : 175/180

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 049/325


Actuellement, je lis :
Cauchemars, tome 3 : Sluagh
Sophie Fischer
(78%)


Actuellement, je joue sur PC à :