Black Butler, tome 17 – Yana Toboso

Titre : Black Butler, tome 17
Auteur : Yana Toboso
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 168
Quatrième de couverture : Le tournoi de cricket se poursuit, et la bataille fait rage entre la Green House et la Blue House, qui peine à se départager. De son côté, Sebastian s’est lancé à la poursuite du principal.
Va-t-on assister à un nouveau miracle bleu ? Et qui est donc le mystérieux principal si inaccessible ?

Chaque fois que je reprends cette saga, j’ai du mal… autant les premiers étaient sombres, autant depuis quelques numéros, ça l’est beaucoup moins, Sebastian est devenu trop gentil, trop servile. Bref, ça a perdu de son charme.
De plus, depuis que Ciel est entré au collège pour enquêter sur la disparition d’un élève, ça me saoule encore plus.

Le début de ce récit était laborieux : afin de pouvoir participer au thé de minuit et rencontrer le proviseur, Ciel doit faire gagner le tournoi de cricket à la Blue House. Donc plus de la moitié du manga est consacrée au match.
Si ça avait été un autre manga, j’y aurai peut-être pris du plaisir, mais là, la série part vraiment en cacahuètes
La fin se recentre un peu sur la trame principale avec un possible retour de la société Aurora, mais pour savoir si c’est vraiment le cas, je vais devoir lire le prochain. Je n’y suis pas réfractaire, mais pas particulièrement enthousiaste non plus.

En conclusion, l’histoire n’est pas terrible. Par contre, j’ai pris une claque sur les illustrations. Certes, ça a toujours été bien dessiné, c’est d’ailleurs le cas du match de cricket, mais je n’ai pas le souvenir d’avoir eu autant de jolies planches dans les précédents. Les détails incroyables dans les vêtements sont habituels, cependant, les décors sont superbes, j’ai pris beaucoup de plaisir à les contempler. Et le jeu de lumières m’a fascinée. Ça avait beau être beau, pas pour Black Butler ! Pas assez de ténèbres à mon goût.
Dans l’ensemble, cette lecture m’a laissée indifférente. Dommage.