A Fantasy lazy life, tome 04- Tsunehiko Watanabe, Jyuu Ayakura & Neko Hinotsuki

Titre : A Fantasy lazy life, tome 04
Scénario : Tsunehiko Watanabe
Illustrations : Neko Hinotsuki
Characters design : Jyuu Ayakura
Éditeur : Delcourt-Tonkam
Nombre de pages : 180
Quatrième de couverture : Zenshirô Yamai est un employé ordinaire cumulant les heures supplémentaires. Un jour, il se retrouve invoqué dans un autre monde par une reine à la peau mate et aux formes généreuses. Après lui avoir expliqué qu’il est le descendant d’une famille royale, elle lui propose une vie de confort et d’oisiveté, s’il accepte de l’épouser et de rester dans ce monde pour les 30 prochaines années.

Je ne savais pas à quoi m’attendre avec ce quatrième tome. Tout ce que je voulais, c’était une lecture sans prise de tête. C’est loupé.

Zenshirō et Aura ont eu leur bébé. La reine révèle enfin à son époux ses pouvoirs. Et une meute de dragons attaque les convois de sel acheminé jusqu’au royaume de Capua. Aura ne veut pas que l’armée s’en charge donc elle missionne le comté de Gajir de s’en charger.
Ça doit à peu près recouvrer la moitié du manga… le reste n’est que politique.
Ce qui m’a prodigieusement ennuyée.

J’ai eu beaucoup de mal à avancer, je me suis même demandée si je n’allais pas abandonner cette lecture et donc cette saga. Les personnages me laissent pour la grande majorité indifférente. J’ai peut-être un infime intérêt pour le fils du comte Gajir, Xavier, qui suscite un peu de sympathie, les autres m’agacent.

Les dessins sont plutôt classiques même si l’apparence des femmes me dérange : elles ont toute une paire de sein exagérément énorme et ça m’exaspère. Tout est bon pour les mettre dans des positions « avantageuses » qui ne bottent que deux catégories de personnes : les pervers lubriques et les adolescents en pleine effervescence.

Ce n’est pas la peine que je continue à m’énerver toute seule. Bref, je n’ai pas aimé cette lecture et je ne suis pas certaine de lire le prochain.

XXX Holic, tome 04 – CLAMP

Titre : XXX Holic, tome 04
Auteur : CLAMP
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 178
Quatrième de couverture : « Lycéen, Kimihiro Watanuki est poussé malgré lui par une force étrange qui le fait entrer dans la maison d’une médium, Yûko Ichihara, qui attendait cette visite inéluctable. Face à ses déclarations, Kimihiro reste perplexe, et afin de parer à son scepticisme, la médium lui révèle des détails concernant son passé, notamment un lourd secret lié aux forces occultes. Pour se débarrasser des visions qui l’assaillent, Kimihiro accepte un petit boulot d’homme de ménage chez cette médium plutôt difficile à vivre… »

Je redoutais un peu cette lecture. Principalement parce qu’entre le premier tome de la saga et les deux suivants, il y a un gap énorme dans mon ressenti.

Ce quatrième tome m’a beaucoup plu. Peut-être parce que je trouve le récit bien ficelé. Ce n’est pas un événement qui arrive comme un cheveu sur la soupe et qui est torché. CLAMP prend le temps de poser le décor et c’est plaisant :
Watanuki fait la rencontre de jumelles. L’une est joyeuse et un brin exubérante, l’autre est réservée et a des phases où elle ne semble pas bien. Dans ces moments-là, notre héros ressent une onde négative se dégager de la jeune fille.

J’ai trouvé que c’était très très bien fait. On sent la différence entre l’état d’esprit des jumelles et lorsque l’une est mal, ça casse vraiment l’ambiance du moment, comme ça le ferait si nous étions à la place de la déprimée. J’étais totalement imprégnée dans le récit.
On a l’histoire de bout en bout. Ça ne prend pas toute la place puisqu’on a quand même droit à des tranches de vie de Watanuki que ce soit avec Yukō, Himawari ou Dōmeki. Bref, c’est bien dosé.

Je n’ai rien d’autre à ajouter, ce serait superflu. J’ai adoré ce quatrième tome qui relance mon intérêt pour cette saga.

Bilan lecture du mois de juin 2025

Bilan de lectureJe ne vais pas m’étendre, tout petit mois de juin, pour des raisons similaires au mois précédents – et ça ne va pas aller en s’arrangeant.
J’ai lu 4 livres (3 mangas et donc 1 roman).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:



J’ai adoré
:
 



Ça m’a trop déçue:

On arrive donc à un total de 888 pages (573 en mangas et donc 315 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Challenge Goodreads : 36/100

Challenge Réduit ta PàL à néant (illimité) : 022/385


Actuellement, je lis :
Les Cerfs-volants de Kaboul
Khaled Hosseini
(0%)


Liste des vlogs :

Vlog 2025, semaine 22 : cette semaine, j’ai délaissé mon livre pour avancer dans mes tricots
Vlog 2025, semaine 23 : Papillon au crochet presque fini & week-end en pleine nature 🦋🌳
Vlog 2025, semaine 24 : Petits chaos, grandes avancées et jolis coups de cœur 💥🧶🦋📚
Vlog 2025, semaine 25 : France Kal, crochet geek & week-end en famille 🧶🎮🎉
Vlog 2025, semaine 26 : Même malade, je tricote ! 🧵🤧

Le pain noir, tome 1 – Georges-Emmanuel Clancier

Titre : Le pain noir, tome 1
Auteur : Georges-Emmanuel Clancier
Éditeur : J’ai lu
Nombre de pages : 315
Quatrième de couverture : Il y a 100 ans, dans le Limousin, naissait Catherine Charron, une petite fille comme tant d’autres, tendre et craintive, habituée à chercher dans les bras de sa mère un refuge contre les espiègleries des aînés. Son père c’était le maître de la métairie, celui qui pétrit le pain et qui donne la joie, l’image de la toute-puissance, de la justice et de la bonté . Alors, pourquoi faut-il brusquement quitter cet univers de paix et de bonheur ? Pourquoi des parents aimants doivent-ils abandonner leur petite fille de huit ans à des étrangers qui abusent sans scrupules de cette servante docile ? Pourquoi la mort enlève-t-elle une mère à ses enfants ? Catherine souffre et se révolte mais ne trouve pas de réponses, pas encore…

Ça fait des décennies que j’ai ce roman dans ma pile à lire. Il appartenait à ma maman qui me l’a donné y a un moment déjà. Je pense que si je ne l’avais pas tiré au hasard via livraddict, je ne l’aurais probablement jamais lu.
Franchement, je suis ravie de cette lecture.

La famille Charron entretient une métairie. La vie est difficile, mais ils sont heureux. Malheureusement, ça ne dure pas. Ils changent de métairie (ce qui est censé être mieux puisque la propriété est plus grande et les terres plus fertiles), l’un des enfants tombent malade et les remèdes coûtent chers ; l’honnêteté du père pose problème au propriétaire de la terre. C’est le début de la fin.

Ce n’est pas une lecture très gaie, mais comme on suit principalement Catherine qui doit avoir 6 ans au début du roman (et 13 ans à la fin), le tableau n’est pas aussi noir que si elle était adulte. Cependant, les personnages, pour la plupart, sont sympathiques et attachants.
Certaines scènes sont un peu crues (celle avec l’oiseau m’a traumatisée), mais ça aurait pu être bien pire. Beaucoup de non-dits, mais on n’a aucun mal à lire entre les lignes et à comprendre ce qui se passe, notamment avec Marietta et Robert pour ne citer qu’eux. Pas difficile non plus de deviner que la décision du père aura des conséquences dramatiques sur sa petite famille – j’avoue que je n’imaginais quand même pas autant.

Les chapitres sont relativement courts et se lisent rapidement. Je n’ai eu aucun mal à m’immerger dans l’histoire et j’avais très envie de découvrir la suite.
Je n’ai malheureusement que le premier tome de cette saga. Il faudra que je me procure les suivants si je veux savoir ce qui attend encore les Charron.
Je conclurai en précisant que j’ai adoré cette lecture.

Vlog 2025, semaine 26 : Même malade, je tricote ! 🧵🤧

On se retrouve pour le 26e vlog de l’année 2025, où je partage mes loisirs créatifs et mes coups de cœur du moment 🎨📚
Petit vlog cette semaine, je suis malade 🤒… mais j’ai quand même avancé mes projets créatifs !
Au programme : un peu de lecture (Le Pain noir), la tige jacquard terminée de ma chaussette de Noël 🧦, les pinces poitrine de mon top Ananke 🪡, et le corps de l’amigurumi Neon en cours côté crochet 🎮.
Et pour se reposer : *Dear Hongrang*, toujours en cours📺