The Quintessential Quintuplets, tome 03 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 03
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Fûtarô n’a pas encore gagné la confiance totale des cinq sœurs, cependant, être parvenu à les réunir pour le feu d’artifice annuel lui a permis de marquer des points. Mais voilà que le couperet tombe : le père Nakano ne prolongera le contrat du jeune professeur particulier que si ses filles obtiennent de bons résultats à leur examen de mi-semestre. Malheureusement, il ne leur reste qu’une semaine de révisions. Fûtarô parviendra-t-il à relever le défi ?

Je ne sais pas trop quoi dire de ce troisième tome. Il ne se passe pas grand-chose.
Les examens approchent et Uesugi a la pression : si les quintuplées échouent, il perdra son boulot de professeur. Non pas que ça l’éclate, mais il a besoin de cet argent.
Donc une bonne partie de ce manga est consacré aux révisions entre celles qui se laissent aider et celles qui refusent.
Je me suis ennuyée sur tout cette partie de l’histoire. Les dernières pages sont un peu plus sympathiques : il se prépare une classe nature et Uesugi est en charge de l’épreuve de courage. Ce sera à suivre dans le prochain.

Si le récit n’était pas terrible, les dessins sont toujours aussi chouettes. Je me suis attardée sur bon nombre d’illustrations. Dans ce troisième tome, celle qui est le mieux dessinée, c’est Itsuki : son visage, ses cheveux et surtout ses yeux sont superbement expressifs. Je n’avais pas remarqué dans les précédents.
Ma préférée est Miku, mais c’est l’apparence d’Itsuki qui me fascine.

Je pense avoir fait le tour. C’était loin d’être une lecture passionnante et je n’ai d’ailleurs pas aimé.

Les enfants de la baleine, tome 08 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 08
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat (Seinen)
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Chakuro et ses compagnons progressent dans les profondeurs de la “Baleine de glaise” jusqu’à atteindre la “chambre de Midén”, pièce aux murs couverts de chroniques anciennes.
Ils découvrent alors l’histoire de Midén, daímonas né jadis dans ce lieu étrange.
Tristes archives d’un petit fragment de ténèbres qui voulait devenir lumière…

J’ai eu beaucoup de mal à lire ce huitième tome. Au début, j’étais incapable de savoir si c’était parce qu’il ne me plaisait pas ou parce que je n’avais pas la tête à ça (trop préoccupée par mon premier rendez-vous d’orientation). J’ai fait une pause vers le milieu pour reprendre le soir, une fois mon esprit apaisé… et ce n’est pas mieux.

En fait, il ne se passe quasiment rien, c’était chiant à mourir.
On a la conclusion de l’histoire avec Midén. Il y a des similitudes avec ce qui arrive à Ohni.
En parallèle, on retrouve Orca dans l’empire, et on découvre ses plans secrets… enfin une partie.
Voilà et c’est tout.
J’ai trouvé le récit brouillon : beaucoup de blablas pour meubler, mais peu d’intérêt… je n’ai même pas réussi à avoir de la peine pour le sort de Masso ou pour l’angoisse d’Ohni. Tout m’a laissée indifférente.

Les dessins sont toujours aussi beaux, mais je n’ai pris aucun plaisir à m’y attarder sans pouvoir l’expliquer vraiment… je crois que ça manquait d’âme.
Je n’ai pas aimé ce huitième. Le prochain promet d’être plus intéressant puisque la baleine de glaise est sur le point d’arriver à Amonlogia.

L’Ombre du chardon, tome 2 : Hôzuki – Aki Shimazaki

Titre : Hôzuki
Saga : L’Ombre du chardon, tome 2
Auteur : Aki Shimazaki
Éditeur : Babel
Nombre de pages : 126
Quatrième de couverture : Mitsuko, libraire d’occasion la journée, entraîneuse dans un bar une soirée par semaine, vit seule avec sa mère et son fils sourd, né dans des circonstances qu’elle ne tient pas à élucider…

Une collègue m’avait offert le premier tome à mon anniversaire. Et fin novembre, elle m’a prêté toute la saga. J’avais prévu de lire celui-ci beaucoup plus tôt, mais tout a été bouleversé par les items éphémères. Si j’avais su que ça se passait en hiver, je n’aurais pas eu besoin de décaler cette lecture.
On m’avait parlé de l’habitude de cette autrice de faire le lien entre les romans d’un même cycle à travers des personnages. Je redoutais que ce ne soient des héros de moindre importance, ce qui m’aurait handicapé avec ma mémoire de poisson rouge. Mais ce n’est pas le cas.

Dans ce second tome, on suit le personnage de Mitsuko. Pour rappel, c’était le premier amour de Mitsuo dans Azami, elle travaille tous les vendredis en tant qu’entraîneuse dans un bar.
Sauf que là, ça se passe deux ans plus tard. Elle tient une librairie et élève Tarô, son fils sourd-muet avec sa mère. On découvre sa vie, son métier de libraire, mais également et vaguement ses extras au bar.
Quand une cliente aisée fait son apparition pour acheter des livres de philosophie, cela interpelle Mitsuko. Madame Satô a une fille de quatre ans, Hanako, qui s’entend bien avec Tarô. La bonne femme se montre insistante pour se lier d’amitié avec Mitsuko, ce qui éveille la méfiance de la libraire. On comprend pourquoi au fil des pages qui nous plongent dans son passé, ses choix et les premiers jours de vie de son fils.

J’ai bien aimé le personnage de Mitsuko. Elle est dure avec ses avis tranchés, parfois trop, mais vu ce qu’elle a vécu et ce qu’elle a à protéger, on peut difficilement lui en vouloir. Tarô est attachant, au même titre que Hanako.
Je me suis posée pas mal de questions en ce qui concerne madame Satô, et surtout sur la raison qui la pousse à se rapprocher de Mitsuko. J’ai assez vite compris de quoi il retournait tout en espérant me tromper. Dans les derniers chapitres, on a toutes les réponses nécessaires, et heureusement, ça aurait été frustrant autrement.

Une fois commencé, j’ai eu du mal à m’arrêter. J’ai dû faire une pause pour dormir, mais quand je l’ai repris le lendemain soir, je l’ai terminé d’un coup.
J’ai adoré cette lecture et je me demande sur qui portera le prochain.

Coupe des 4 maisons :
Strangulot (4ème année) – Un livre qu’il vous a été impossible de lâcher, une fois commencé40 points

Calendrier de l’avent
(un livre dont vous n’avez pas lu le résumé)

Les Carnets de l’Apothicaire, tome 04 – Hyuuga Natsu, Itsuki Nanao & Nekokurage

Titre : Les Carnets de l’Apothicaire, tome 04
Auteur : Hyuuga Natsu
Illustrateur : Nekokurage
Scénario : Itsuki Nanao
Éditeur : Ki-oon (Seinen)
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Alors que Mao Mao se rend dans le quartier des plaisirs pour profiter de quelques jours de repos bien mérités aux côtés de son père, la voilà de nouveau amenée à enquêter ! En effet, une courtisane et son client ont été retrouvés empoisonnés dans une des maisons closes environnantes… Une affaire que la petite apothicaire parvient à résoudre avec beaucoup de sang-froid.
Mais, de retour au pavillon de Jade, la jeune fille est mandatée par Jinshi pour éclaircir un tout autre mystère : le corps d’une servante de la cour intérieure vient d’être découvert dans les eaux glacées des douves…

Ce quatrième tome marque la fin du premier livre dont est inspiré ce manga. C’est un tournant dans l’histoire.

Une servante est retrouvée morte dans les douves. S’est-elle suicidée ou l’a-t-on aidé ?
Mao est chargée par Jinshi d’enquêter dans le palais de grenat, auprès de la concubine Aduo.
C’est l’occasion de découvrir les secrets de la sœur de lait de l’empereur.
Mao est décidément douée pour comprendre la nature humaine et interpréter ce qu’elle voit. Par contre, elle se perd… et on n’a pas vraiment de certitude quant à ce qui est arrivé à la servante.

J’ai beaucoup aimé Aduo : elle n’est pas celle qu’elle semble ou du moins ce que les rumeurs en disent. J’ai apprécié sa relation avec Lisha, c’était surprenant, mais pas tant que ça. Et puis, ce qu’on apprend sur elle m’a confortée dans ce que je pensais : elle a un lien avec Jinshi.
L’histoire, au-delà de l’enquête, est intéressante : on découvre une partie du passé du père de Mao, et ça m’a plu ; ça remet les personnages à leur place et selon leur rang dans la société. Je l’ai lu d’une traite tellement c’était passionnant.

Les dessins sont superbes… comme toujours en fait. J’ai pris un plaisir fou à m’attarder sur chaque planche, à détailler les vêtements, le mouvement dans les cheveux, etc. Les illustrations sont d’une égalité et d’une qualité incroyables.
C’est un coup de cœur pour ce quatrième tome et j’ai hâte de découvrir si le nouveau statut de Mao modifie l’histoire, ses relations avec les autres personnages… ou pas.

Blue Period, tome 06 – Yamaguchi Tsubasa

Titre : Blue Period, tome 06
Auteur : Yamaguchi Tsubasa
Éditeur : Pika (Seinen)
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Peindre pour exister:
Grâce à son autoportrait, Yatora est parvenu à passer la première épreuve de Geidai. Curieusement, il affronte la suite avec sérénité…
Mais le jour J, il est pris d’un mal de tête qui le terrasse, et son éruption cutanée s’intensifie. Incapable de se concentrer, il finit par s’endormir en pleine épreuve !
Réussira-t-il à terminer son œuvre à temps ? Et surtout, sera t il admis à la prestigieuse université des Arts de Tokyo ?!

Comment un manga où il se passe si peu de chose peut être aussi passionnant ? Ça me rend dingue !
Ce sixième tome développe la seconde épreuve pour l’entrée à Geidai.
Ça ne se passe pas bien pour Yatora ; le stress est tel qu’il subit des effets secondaires handicapants : sa peau le gratte davantage, ses yeux le brûlent et ses maux de tête l’empêchent de réfléchir. Son premier jour d’épreuves est donc compromis.
Heureusement, madame Ooba lui donne des conseils lors du debriefing. Et même s’il a perdu un jour, il lui en reste deux autres pour se rattraper.
Depuis le début, il joue de malchance, mais son travail et son talent compensent. Est-ce qu’il en sera de même pour cet examen ?
On a la réponse avant la fin. Je m’attendais à avoir les résultats dans le prochain tome, ça m’a donc agréablement surprise de les avoir si vite.

Yatora n’est pas le seul à passer les examens : il se retrouve dans la même salle que Yotasuke qui est toujours aussi doué. Kuwana et Hashida sont également présents, mais dans d’autres salles. Pour les résultats, on sait ce qu’il en est pour Kuwana, par contre on ignore si Hashida a réussi ou pas.

Les dessins me plaisent toujours autant, et j’ai pris du temps pour les détailler : les toiles choisies et partagées sont chouettes et ajoutent du cachet à ce manga. Mais c’est surtout la corrélation entre le cheminement de pensées de Yatora et la mise en pratique de sa technique qui a rendu cette lecture si géniale.
C’est un coup de cœur pour ce sixième tome et je suis bien contente d’avoir le septième dans ma PàL.