Le fantôme de Lady Margaret – Mary Higgins Clark

Le fantôme de Lady Margaret - Mary Higgins ClarkTitre: Le fantôme de Lady Margaret
Auteur: Mary Higgins Clark
Éditeur: Le Livre de Poche
Nombre de pages: 284
Quatrième de couverture:
Quel rapport peut-il y avoir entre les attentats qui ensanglantent Londres et visent la famille royale, et les recherches d’une jeune historienne sur la terrible Lady Margaret, décapitée au XVIIème siècle ? La vengeance peut-être. Ou l’hypnose ?
Le surnaturel, pour des sœurs jumelles aux prises avec un psychopathe ; la passion meurtrière d’un jeune homme pour son ancien professeur ; amour, mort et loterie pour les deux amis de «Jour de chance» : l’auteur de La Nuit du renard, Grand Prix de littérature policière, explore ici, en cinq récits, toute la gamme du suspense et de la terreur.

C’est ma maman qui m’a offert ce livre il y a déjà quelques années : je ne connaissais pas l’auteure, Mary Higgins Clark, et j’avais très envie de la découvrir. J’ai mis le temps, mais c’est chose faite.
Ce livre est composé de 5 histoires dont je vais immédiatement vous parler plus amplement.

Le fantôme de Lady Margaret : J’ai vraiment bien aimé ce récit. Les passages historiques m’ont beaucoup plu. J’ai trouvé le principe excellent, mélanger les recherches de Judith, revenir sur les souvenirs de Lady Margaret, certaines sensations de captives et de vengeance retranscrites dans le monde actuel. Avec en prime une fin pas particulièrement étonnante mais plutôt détonante.

Terreur dans le campus : Quelle histoire passionnante ! Je l’ai dévorée. On y retrouve Kay, ancienne prof au lycée du Garden State qui, après une réunion d’anciens élèves, est enlevée par Donny, ex-lycéen ayant conservé un béguin obsessionnelle pour elle. Seulement son mari, inquiet, ne croyant nullement à l’hypothèse de la fuite conjugale mène l’enquête. J’ai été tenue en haleine tout du long, c’est presque dommage qu’elle ne fasse qu’une soixantaine de pages.

Un jour de chance : dans cette histoire, Nora, actrice de son état, coure les castings. Elle croise régulièrement Bill, un vieux bonhomme qui poursuit de petits boulots, ne supportant pas la solitude qu’a laissé la mort de sa femme. Bill passe souvent chez elle et s’incruste, ce qui déplaît fortement au mari de l’héroïne, Jack. Bill appelle Nora lui disant que c’est son jour de chance et qu’il vient fêter ça avec le couple. Immédiatement, l’idée du grand gagnant de la loterie fait son petit bout de chemin dans la tête de Nora et elle attend chez elle son ami et son époux qui ont tous deux du retard. Mais l’un d’eux ne viendra pas.
Cette histoire est vraiment très courte mais très complète. Lorsque je l’ai lu, très rapidement, il faut bien le dire, je n’ai pas particulièrement aimé : une histoire bateau, avec une fin prévisible… Et bien, lorsque je suis arrivée à la dernière  page, je suis restée sans voix… Elle était cohérente mais loin d’être ce que j’imaginais. Une très bonne surprise.

L’une pour l’autre : Jimmy Cleary pénètre dans l’appartement de Caroline dans le but de la tuer, un an après, jour pour jour, l’assassinat de sa première victime. Je suis bien incapable de savoir si j’ai aimé cette histoire. Ça m’a plu de suivre chacun des personnages, j’avais vraiment envie d’en connaître la conclusion. Pourtant, une fois terminée, j’ai eu la sensation que par rapport aux autres récits, il manquait quelque chose.

L’ange perdu : Jamie, une petite fille de quatre ans et demi a été enlevée par son père. On suit principalement cette petite fille en période de Noël -par moment, sa mère désespérée par cette disparition, et j’ai adoré. Parfois, ça avait un petit côté glauque, parfois stressant et parfois, cette agréable sensation de se retrouver en période de Noël.

Dans l’ensemble, j’ai beaucoup aimé. Il faudrait que j’essaie une histoire plus longue pour voir si la plume de l’auteure me plaît réellement. En tout cas, une bonne première rencontre avec Mary Higgins Clark.

Je passe à 4/26
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Un avion sans elle – Michel Bussi

Un avion sans elle - Michel BussiTitre: Un avion sans elle
Auteur: Michel Bussi
Éditeur: Presses de la cité
Nombre de pages: 533
Quatrième de couverture:
23 décembre 1980. Un crash d’avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche : elle sera Émilie Vitral. Aujourd’hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ?
Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu’il s’apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu’il referme aussitôt, assassiné.
Il ne reste plus qu’un vieux carnet de notes, des souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité..

C’est ma seconde lecture pour le challenge ABC 2014.
J’ai commencé cette lecture sur les chapeaux de roues. J’ai adoré le début, j’avais énormément de mal à arrêter ma lecture et j’étais embêtée lorsque mon emploi du temps ne me permettait pas de la reprendre. Le style d’écriture de l’auteur est très agréable; j’ai beaucoup apprécié découvrir les différents protagonistes à travers les yeux d’autres personnages, l’idée était bonne, ça nous donne une vision extérieure qui permet au lecteur d’avoir une vue d’ensemble et de s’interroger sur les relations, l’identité et le passé des personnages. J’ai tout autant apprécié l’idée de découvrir le journal d’enquête du détective privé Crédule Grand-Duc.

Un avion sans elle PocketPar contre, vers le milieu, j’ai trouvé que ça piétinait et tirait trop en longueur -sachant que c’était un passage obligé dû au piétinement de l’enquête et que dès le début de lecture du journal de Grand-Duc, on est prévenu; mais ce qui a rajouté à ma frustration, c’est que très vite, j’ai supposé qui elle n’était pas, du coup, l’histoire avait un peu perdu de son attrait pour moi. Suite à cela, j’avais moins envie de me reprendre ma lecture; en revanche, dès que je me replongeais dedans, c’était un vrai plaisir.
Quant à la fin, les cent dernières pages environ m’ont à nouveau accroché, Malvina et Marc s’affrontent davantage et leur relation s’étoffe, sans compter qu’on a forcément toutes les réponses à nos questions ce qui donne une sensation d’achèvement à cette œuvre et ça m’a plu.

Je suis donc assez mitigée quant à cette lecture. Il y avait quelques longueurs mais je l’ai malgré tout bien aimé.

Je passe à 2/26
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Le Nom de la Rose – Umberto Eco

Le nom de la rose - Umberto EcoTitre: Le Nom de la Rose
Auteur: Umberto Eco
Éditeur: Le livre de poche
Nombre de pages: 535
Quatrième de couverture: Rien ne va plus dans la chrétienté. Rebelles à toute autorité, des bandes d’hérétiques sillonnent les royaumes et servent à leur insu le jeu impitoyable des pouvoirs. En arrivant dans le havre de sérénité et de neutralité qu’est l’abbaye située entre Provence et Ligurie, en l’an de grâce et de disgrâce 1327, l’ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire, se voit prié par l’abbé de découvrir qui a poussé un des moines à se fracasser les os au pied des vénérables murailles. Crimes, stupre, vice, hérésie, tout va alors advenir en l’espace de sept jours.
Le Nom de la Rose est d’abord un grand roman hors pair qui ne se découvrent qu’à l’ultime rebondissement d’une enquête allant un train d’enfer entre humour et cruauté, malice et séductions érotiques.

J’ai lu ce livre dans le cadre du challenge Challenge Livra’deux pour Pal’addict *6*. Il fait parti des trois livres que ma binômette Nymou du blog Rossignol Livresque m’a proposé.
J’ai choisi ce livre pour plusieurs raisons:
-cela faisait très longtemps que j’avais envie de le lire
-j’avais adoré le film
-ma binômette Nymou l’avait également dans sa PAL et j’ai failli le lui proposer pour ce challenge et j’avais envie de lui donner mon avis dessus.
Je devais donc en terminer la lecture et écrire ma chronique avant le 31 octobre! Pari gagné!

Par contre, ça n’a pas été une lecture de tout repos. Il était long et complexe.
J’ai été drôlement déçue. Je ne m’attendais pas du tout à ça. Étant classé dans le genre policier historique, je pensais naïvement que l’historique serait une toile de fond et que l’enquête policière prendrait la place la plus importante. Finalement, ça été l’inverse.
Le côté investigation y est plus ou moins ténu.
Pour moi, c’était plus un traité sur la religion, sa philosophie et ses différents ordres au XIVème siècle qu’une enquête policière. Et ce point prenait pas loin de 90% de la plupart des chapitres.
Je me suis atrocement ennuyée dans ce livre. Je suis soulagée que ce soit terminé.

Alors bien sûr, j’ai adoré certains passages: chaque fois que les protagonistes entrent et découvrent un peu plus la bibliothèque, tous les moments ayant un rapport direct avec l’enquête ou avec la résolution d’une énigme, certaines explications scientifiques que j’ai trouvé super intéressantes, une fin prenante et angoissante. C’est pour tout cela que je suis arrivée au bout et que j’ai persisté dans ma lecture.
Malheureusement, ces passages étaient trop peu nombreux pour me rendre ce livre plaisant.
Je suis, malgré tout, contente de l’avoir lu et surtout terminé parce que j’ai failli plus d’une fois abandonner.

Le nom de la rose - Guillaume et Adso

Bref, je n’ai pas aimé et ça m’attriste parce que j’ai adoré et j’adore toujours le film. Ça ne m’arrive pas souvent, mais c’est bien la première fois que j’affirme haut et fort que j’ai nettement préféré le film au livre.
J’aurai bien aimé pouvoir faire une chronique positive, j’en suis incapable. Donc désolée, Nymou, ce n’est pas mon avis qui te donnera envie de sortir ce pavé de ta PAL!

LDPA

Dessine-moi un loup – Jacques Fortier

Dessine-moi un loup - Jacques FortierTitre: Dessine-moi un loup
Auteur: Jacques Fortier
Éditeur: Le Verger
Nombre de pages: 216
Quatrième de couverture:
En ce mois de mai 1921, le jeune Jules Meyer a réalisé son rêve  : il a fondé sa petite agence de détective à Strasbourg.Quand on lui propose d’enquêter sur des cambriolages étranges dans la vallée de Munster, sur le flanc alsacien des Vosges, il ignore encore qu’il va y croiser la route d’une bête sanguinaire…
Le loup, disparu d’Alsace en 1908, y serait-il revenu  ? Dans cette affaire qui va le mener de l’agitation strasbourgeoise aux paisibles lacs vosgiens, et lui faire arpenter une vallée meurtrie par la Première guerre mondiale, Jules va devoir user de toute sa sagacité pour démêler le vrai du faux.
Il sera aidé par un nouvel ami, un tout jeune militaire en garnison à Strasbourg où il apprend à piloter un avion. Un jeune homme original et séduisant.
Un certain Antoine de Saint-Exupéry.

Je voulais remercier la Team Babelio ainsi que les éditions Le Verger pour cette superbe découverte, j’ai passé un excellent moment… J’ai juste adoré, mais je reviendrai dessus un peu plus tard.
Lorsque j’ai vu ce livre parmi tous les autres proposés lors de la Masse Critique de septembre 2013, le résumé m’a immédiatement interpelé. J’étais particulièrement curieuse de découvrir ma ville des années 20 à travers ce livre. Je n’ai pas du tout été freinée par le style policier, genre littéraire que je lis peu.

Comme dit, j’ai adoré, ça fait du bien parce que ça faisait un bon moment que je n’avais pas autant aimé un livre.
Déjà, la couverture. Elle est simple, épurée. Je ne suis pas une fan de la couleur orange, mais là, je trouve que ça rend drôlement bien avec les teintes de l’avion.
J’ai été très étonnée de la qualité du papier: il est très clair, particulièrement épais et le grain en est très agréable au toucher.
Ça rend indéniablement la lecture attrayante.

Le style de l’auteur est très fluide, la lecture en est aérée et plaisante.
Ce n’est pas le premier roman dont Jules est le héros et on retrouve quelques allusions à la première histoire, Quinze jours en rouge, mais c’est suffisamment bien expliqué sans qu’on ait une impression de manque ou de flou quant aux épisodes précédents.
Ce fut un plaisir de suivre le héros à travers les rues de Strasbourg, je m’arrêtais régulièrement pour imaginer le trajet que faisait Jules pour accéder d’un endroit à un autre, pour moi, c’était un plus. Pour les gens qui ne connaissent pas la ville, ça ne bloque nullement la lecture et l’ajout des noms de rue enrichit cette lecture, ça donne un côté plus authentique.

L’atmosphère est très bien rendue, je me serai cru dans un patelin alsacien (avec le petit plus des noms ou des phrases entières issus du dialecte local) où tout le monde se connait, sait quel chemin emprunter pour se rendre à tel ou tel endroit, mais je pense que ça vaut pour chaque village. Le côté après-guerre ne sera peut-être pas suffisamment présent pour certains, et le fait que des gens de camps opposés puissent vivre côte à côte peut paraître incompréhensible… Pas pour moi, comme le dit un des personnages: « C’est comme ça ! C’est l’Alsace ! »

Le seul petit bémol qu’on pourrait émettre serait au niveau de l’enquête: elle est un peu rapide et on n’a que peu d’indices qui nous permettrait d’élucider l’affaire, du coup, on peut se sentir plus spectateur qu’acteur. Personnellement, j’ai trouvé que c’était suffisant, j’ai découvert rapidement le vrai coupable (mais c’était principalement instinctif) et progressivement au fil des pages, la raison s’est faite jour toute seule.
Mais ça ne m’a nullement dérangé, pour moi, l’intérêt en était davantage l’ambiance, les relations entre les personnages, un voyage dépaysant à travers le temps en compagnie d’Antoine de St-Exupéry et le mythe du loup mangeur d’homme, on aurait presque pu se croire dans le Gévaudan !

En conclusion, oui, j’ai adoré -je sais je me répète. Et ce n’est pas parce que ça se passe dans ma ville, même si c’est un petit plus et parfois un petit moins: quand j’étais vraiment plongée dans l’histoire, les noms connus m’interpellaient et m’en faisaient un peu sortir.
C’est une lecture plus qu’agréable, et il s’en est fallut de peu pour que ce soit un coup de cœur.

Le Crime de l’Orient-Express – Agatha Christie

Résumé: Alors qu’il rentre de mission et compte s’arrêter quelques jours à Stamboul, Hercule Poirot est rappelé d’urgence à Londres. On est en hiver et à cette époque de l’année, l’Orient Express roule habituellement quasiment à vide. Pourtant, sans l’aide du directeur de la compagnie, Hercule Poirot n’aurait pas trouvé de place à bord, comme si tous les voyageurs s’étaient donnés rendez-vous dans ce train ! Dès la première nuit, un homme est assassiné. Le train est immobilisé par la neige qui empêche l’assassin de s’enfuir. Dans les wagons isolés du reste du monde, Hercule Poirot, au sommet de son art, mène l’enquête. Et ce ne sont pas les pistes qui manquent !

Waouh ! Ça résume à peu près l’impression que m’a donné ce livre. Il est d’abord bon de préciser que je n’avais jamais lu auparavant d’Agatha Christie. Je voulais tester depuis longtemps, mais l’occasion ne s’en était jamais présenté. Ce n’est que la semaine dernière où, ayant besoin de me faire plaisir et d’acheter des lectures pour mes enfants, je me suis pris le temps de chercher un livre pour moi. Mon choix s’est porté sur celui-là parce que je le connaissais de nom et je tenais absolument à posséder un livre dans cette édition – j’ai le souvenir qu’enfant, lorsque ma mère prenait des romans policiers à la bibliothèque, c’était ces livres jaunes.

Bref, passons sur les faits qui m’ont amené à l’acheter et le lire pour donner à un avis plus personnel. Alors déjà, le style d’écriture: très fluide, très simple qui rend la lecture claire et absolument passionnante. Je pense que l’intrigue joue aussi, mais en l’occurrence, si le style n’avait pas été si limpide, je n’aurai probablement pas apprécié. Je n’ai pas eu énormément de temps à consacrer à la lecture ces derniers jours – quelques minutes par jour, probablement pas une heure pleine-, pourtant, j’ai avancé très vite. C’est appréciable de ne pas buter sur sa lecture et de ne pas s’assoupir dessus.
L’intrigue est vraiment intéressante, l’atmosphère relativement lourde, à la limite de l’oppression; je m’explique: on suit attentivement l’affaire, on note chaque détail, on ne peut pas attendre passivement que la réponse nous arrive tout cuit dans le bec, donc on cherche avec Hercule Poirot et ça ne vient pas. Bon, il est vrai que ça a un côté frustrant, mais quand on commence à se rendre compte que les descriptions sont sciemment épurées pour qu’on ne trouve pas le coupable avant le dernier chapitre, on se rend à l’évidence et on attend juste l’explication finale avec beaucoup d’impatience. J’avais un peu la même sensation lorsque je lisais les Détective Conan, j’adorais me creuser la tête pour découvrir LE coupable et moi qui régulièrement râle parce que j’ai découvert la conclusion de bien des livres avant même la fin, ce genre de bouquin a toutes les chances de me plaire -même si j’ai déjà testé des livres policiers plus moderne comme le Da Vinci Code, par exemple, que je n’ai pas particulièrement aimé, disons-le, c’était sans plus.

Vous l’aurez compris, j’ai vraiment bien apprécié. Si l’occasion se présente, je lirai d’autres œuvres d’Agatha Christie, et je tenterai d’autres auteurs du genre tout aussi connu comme Conan Doyle avec ses Sherlock Holmes. Soyons folle, je tenterai peut-être même des auteurs plus modernes, à voir… 😛


EDIT du mercredi, 27 septembre 2017 :
J’avoue que je ne me souvenais plus de l’avoir lu. Je l’ai donc emprunté à la bibliothèque en espérant découvrir ce grand classique du roman policier… Bon, dès le premier chapitre, j’ai eu une sensation de déjà-lu autant que d’inédit. C’était assez étrange.

Je ne parlerai donc pas de l’histoire, je l’ai fait plus haut.
Je m’attarderai davantage, mais rapidement néanmoins, sur le support audio.
J’ai beaucoup aimé la voix de Samuel Labarthe, les intonations qu’il prend et les changements de voix qu’il effectue en fonction du personnage qui parle.
C’est le second livre audio que je lis et je n’accroche toujours pas. Je ne parviens pas à me concentrer suffisamment pour apprécier la lecture par une tierce personne : il y a toujours un moment où mon esprit vagabonde – quand je lis, ça m’arrive également mais je remonte quelques phrases ou paragraphes et je rattrape ce que j’ai loupé, pour un livre audio, c’est beaucoup plus délicat.

Cette seconde tentative fut une fois de plus un échec, je pense qu’il n’y en aura pas de troisième.

Challenge Coupe des 4 maisons :
7ème année : Beuglante – un livre audio – 70 points