Clochette et le Secret des Fées

Enfin un film Clochette qui sort au cinéma! Il était temps: après tout, les 2 premiers films étaient magnifiques et auraient mérité une séance sur grand écran (bon, ok, je ne parle pas du 3ème, l’Expédition Féerique, j’ai nettement moins aimé!) Mais la Vallée des Fées et la Pierre de Lune sont splendides et celui-là est dans la même veine: une histoire vraiment sympathique, des décors aussi époustouflants que féeriques (si les enfants en sont restés bouche bée, les adultes également), des personnages attachants, une grande réussite qui a réveillé mon cœur d’enfant! J’avoue que pas mal de détails étaient prévisibles… du moins pour des grands, après tout, ça reste un film pour enfant. Bien entendu, j’y ai emmené ma fille ainsi que mon fils (seulement 2 garçons dans la salle, et lui était bien sûr le plus grand!): s’il était couru que ça lui plairait à elle, j’avais quelques doutes pour le grand; mais non, il a beaucoup aimé et attend avec impatience de pouvoir le revoir.
Bref, un film super pour petits comme pour grands, à voir absolument, ça nous met de suite dans une ambiance d’hiver féérique.

Synopsis: Il existe au-delà de la Vallée des Fées un royaume où l’hiver est roi : la Forêt Blanche. Bien qu’il soit interdit d’y pénétrer, l’intrépide Clochette décide de s’y aventurer, mais un étrange phénomène se produit dès qu’elle en passe la frontière : ses ailes se mettent à scintiller de mille feux. En cherchant à en connaître les raisons, elle fait la connaissance d’une mystérieuse fée des glaces qui lui ressemble étrangement. Cette rencontre va non seulement bouleverser sa vie, mais également ébranler les certitudes de tout son groupe d’amies et des habitants de la Vallée des Fées…

 

Public Enemies

Public Enemies.. c’est le film que j’ai choisi de regarder hier soir, sachant pertinemment que je n’aimerai pas, et oh! Surprise! J’ai détesté!
Je n’apprécie habituellement pas les films de gangsters, c’est une époque qui ne me plait pas, un univers qui me déplait fortement, et le fait qu’il soit tourné différemment des autres films du genre, fait que j’ai encore davantage haï ce film. Je n’ai pas du tout accroché avec les filtres utilisés pour le tournage -faussement réalistes, limite à la blairwitch avec des accélérations de daube pour tenter de donner un rythme au film (ben mon coco, c’est loupé, essaie encore!). Le jeu des acteurs… boarf! La performance de Johnny Depp, décevante au possible, surtout les moments où il joue face à Marion Cotillard et ça me donnait une sensation de mimétisme, une incapacité de l’un à jouer correctement face à la fadeur de sa partenaire. Son jeu d’actrice à elle… terne, comme dans tous les films américains dans lesquelles elle a joué: alors, soit les réalisateurs américains ne savent pas la diriger -parce qu’elle n’est quand même pas aussi mauvaise dans les films français – soit, elle choisit très mal ses rôles et ne sait décidément pas interpréter les potiches. J’avoue que je vote pour un peu des deux, et un peu plus pour le second point, au final. Quand je repense à son jeu dans Public Enemies, dans la scène d’interrogatoire ou lorsque son personnage montre un peu de caractère, je trouve qu’elle l’incarne mieux. Quant au rôle de Christian Bale, relativement vide et inintéressant. Il est vrai que je n’apprécie pas plus que ça l’acteur, certes, il joue super bien ses films, mais quelque chose me gêne en lui, et ne saurait dire quoi.
Bref, je ne dirais que c’est une déception, il est ce que j’en attendais. Mais je ne pensais quand même pas m’ennuyer à ce point.
En un mot comme en dix: Nul! Ça résume assez ce que j’en ai pensé!

Synopsis: Basé sur l’histoire vraie de John Dillinger, un braqueur de banque hors pair qui a sévi à de nombreuses reprises dans l’Amérique des années 30. Avancé comme « l’ennemi public numéro 1 » par le patron du FBI, John Edgar Hoover, Dillinger sera traqué sans relache par Melvin Purvis, l’un des agents fédéraux des plus efficaces.

Black Swan

Puisque mon chéri m’a offert le DVD de Black Swan pour mon anniversaire, il était temps que je le regarde, je me suis donc lancée il y a deux soirs. J’en avais très peu entendu parlé si ce n’est qu’il était bien, je n’en avais rien lu, pas vu d’image, une vague bande annonce où on ne voyait que Natalie Portman donc quelle ne fut pas ma surprise en découvrant Vincent Cassel. Oui, je sais, je débarque un peu de ma planète, mais j’avais envie de me garder la surprise. Bon, j’avoue que niveau surprise, ce n’était pas vraiment ça. Déjà, en ce qui concerne l’histoire, le scénario et la fin étaient courus d’avance. Le plus intéressant restait la mise en scène sachant que ce n’était pas non plus super novateur; d’accord, la scène finale c’est-à-dire le Lac des Cygnes m’a bien plu, du moins pour les débuts de transformations: ça donne une sensation de vitesse, on sent la pression qui monte par à-coup et disons-le, ça le fait! Malheureusement, ça ne dure pas et pire que ça, ça tombe rapidement dans le ridicule. Et à part ça, le reste m’a laissé assez indifférente…  Le film se laissait regarder sans plus: j’ai été déçu par la performance de Portman; de tout le film, elle devait avoir deux expressions du visage à tout casser dont une de poisson-mort (bouche ouverte en cul de poule, yeux exorbités -qu’est-ce-que cette tête a pu m’énerver, tellement, que j’ai retenu principalement celle-là!) et je ne parle même pas du son pourri: pour un DVD ça craint -en même temps, tous les DVD sont comme ça maintenant- dialogue en MONO donc télé à fond et musique en STEREO et là, perte de la moitié de ta capacité auditive! Je vais m’arrêter là, sinon, je suis capable de discourir pendant des heures sur la raison de mettre les dialogues en option dans une majorité des films, mais là, ce n’est pas vraiment le sujet.

Bref, comme pas mal de films que j’ai vu ces derniers temps, un fort potentiel, malheureusement, quelque chose sonne faux et vide sur le fond. Ça passe le temps!


Synopsis: Nina, une splendide danseuse réservée et perfectionniste, décroche le rôle principal du « Lac des Cygnes » dirigé par l’ambigu Thomas. Face à sa rivale Lily, Nina puise au plus profond d’elle-même pour incarner la dualité de son personnage qui la pousse à la perfection, jusqu’à l’effroi…
Une thriller palpitant récompensé par un Oscar grâce à la prestation fabuleuse de Natalie Portman.

Sammy 2

J’avais adoré le voyage extraordinaire de Samy, il était bien sous tout point de vue: un bon dessin animé écolo par excellence… mais Sammy 2 est loin de lui arriver à la cheville. Bon, d’accord, il est beau et coloré… Mais alors le nombres de personnages chiants qu’on a envie de claquer se multiplie: Jimbo le super laid est loin d’être attachant, le homard atteint de trouble de la personnalité multiple est totalement débile dans le mauvais sens du terme, j’imagine que les créateurs ont essayé d’en faire un personnage drôle mais c’est complétement raté, il est juste pathétique ! Quant au Big Boss, n’en parlons pas, une pale imitation d’un faux parrain, un grand n’importe quoi: un hippocampe tout coloré qui n’impressionnerait même pas un moucheron… Risible !

Bref, je suis assez déçue, d’autant que la bande-annonce annonçait un chouette film, certes, une pale copie de Némo, genre tentative d’évasion d’un aquarium géant au lieu d’un aquarium d’un particulier, mais quand même! Je pensais au moins qu’on suivrait autant les petits-enfants à travers les océans que Ray et Sammy à l’intérieur de leur prison… eh ben non! D’ailleurs, les peu de passages où Ella et Ricky apparaissent aurait très pu être zappé, ça n’avait que peu d’intérêt… si ce n’est leur rencontre avec Annabelle d’où le peu… Bref, c’était juste inintéressant et décevant !
Par contre, en ce qui concerne les enfants, ils ont relativement apprécié, moins que le premier également, mais le final pour eux était plutôt positif.

Synopsis: Sammy et Ray, deux tortues de mer, amis depuis toujours, ont la belle vie le long d’une barrière de corail, guidant leurs nouveaux nés Ricky et Ella au cours de leurs premiers pas en mer. Soudain, ils sont capturés par des braconniers et se retrouvent à Dubaï au milieu d’un aquarium abritant un incroyable spectacle pour touristes. Le chef de la bande, Big Boss l’hippocampe, les met dans la confidence de son grand plan d’évasion. Mais Sammy et Ray concoctent de leur côté une autre échappée avec leurs nouveaux amis, Jimbo le poisson, Lulu le homard, Annabelle la gentille petite pieuvre et toute une famille de pingouins. C’est alors qu’arrivent les petits Ricky et Ella, bien déterminés à s’infiltrer pour leur venir en aide.

Le discours d’un roi

On m’a offert le DVD début du mois pour mon anniversaire et j’en ai profité pour le regarder un soir de repassage. Je n’ai pas particulièrement aimé mais je n’ai pas non plus détesté, je ne l’ai pas non plus trouvé long. Il m’a laissé relativement indifférente ça valait presque un téléfilm de l’après-midi si ce n’est que jeu des acteurs est vraiment super, et c’est ce qui sauve le film, ce qui fait qu’il ne m’a pas ennuyé. Bon, après, le résumé n’annonçait pas un film passionnant, donc je m’attendais un peu à cela. J’avoue que ce qui m’a un peu rebuté, c’est le personnage principal, son arrogance publique, ses saute-d’humeurs ont rendu le visionnage un peu pénible et surtout le contraste entre son attitude privée et publique. Ça n’a pas amélioré ma vision de la royauté moderne… mais à part cela, je l’ai vu jusqu’au bout, et ça a passé le temps…

Synopsis: D’après l’histoire vraie et méconnue du père de l’actuelle Reine Elisabeth, qui va devenir, contraint et forcé, le Roi George VI (Colin Firth), suite à l’abdication de son frère Edouard VIII (Guy Pearce). D’apparence fragile, incapable de s’exprimer en public, considéré par certains comme inapte à la fonction, George VI tentera de surmonter son handicap grâce au soutien indéfectible de sa femme (Helena Bonham Carter) et d’affronter ses peurs avec l’aide d’un thérapeute du langage (Geoffrey Rush) aux méthodes peu conventionnelles. Il devra vaincre son bégaiement pour assumer pleinement son rôle, et faire de son empire le premier rempart contre l’Allemagne nazie.