Bilan lecture du mois de janvier 2023

Bilan de lectureLe mois de janvier fut aussi chargé qu’enthousiasmant. J’ai pu lire énormément au début du mois, mais il m’a été plus difficile de consacrer du temps à la lecture les dix derniers jours.
J’ai lu 21 livres (1 comic, 12 mangas et donc 8 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
  

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J’ai adoré:
   

Gif heureux
J’ai aimé:
    

Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:
  

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Je n’ai pas aimé:
  

On arrive donc à un total de 4922 pages (152 en comic, 2243 en mangas et donc 2527 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 12/20


Cold Winter Challenge : 12/13

Challenge Coupe des 4 maisons : 27 items – 1205 points

Challenge Goodreads : 20/250

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 013/408


Actuellement, je lis :
Les sœurs Grimm, tome 2 : Drôles de suspects
Michael Buckley
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Le Protectorat de l’ombrelle, tome 5 : Sans âge – Gail Carriger

Titre : Sans âge
Saga : Le Protectorat de l’ombrelle, tome 5
Auteur : Gail Carriger
Éditeur : Le Livre de Poche (Orbit)
Nombre de pages : 445
Quatrième de couverture : Lady Maccon est en pleine béatitude domestique. Une béatitude à peine troublée par la fréquentation de quelques loups-garous de la haute société et celle du second placard préféré d’un vampire, sans oublier un bambin précoce ayant des dispositions incontrôlables au surnaturel…
Mais Alexia vient de recevoir un ordre qu’elle ne peut ignorer. Avec mari, enfant et famille Tunstell au complet, elle embarque à bord d’un bateau à vapeur pour traverser la Méditerranée. Direction l’Egypte, une terre qui pourrait bien tenir en échec l’indomptable Alexia. Que lui veut la Reine vampire de la ruche d’Alexandrie ? Pourquoi un ancien fléau s’abat-il de nouveau sur le pays? Et comment diable Ivy est-elle devenue du jour au lendemain l’actrice la plus populaire de tout l’Empire britannique ?

Ça y est, j’ai enfin terminé le cinquième et dernier tome du protectorat de l’ombrelle. J’ai mis du temps pour le lire, non pas qu’il n’est pas bien, au contraire, mais j’étais prise par mon projet de reconversion professionnelle et le webinaire sur les métiers du numérique, ce qui me prenait la journée entière ainsi que les soirées.

J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire :
Deux ans ont passé depuis la naissance de Prudence et la vie des Maccon ainsi que celle de lord Akeldama est rythmée par les frasques de la petite fille. Une fois la nuit tombée, cette dernière vole les pouvoirs des surnaturels, et sa mère est obligée d’intervenir.
Tout au long de cette lecture, on découvre les capacités de l’Abomination, mais également ses limites, ce qui était intéressant.
Deux événements marquants se produisent :
– lady Kingair revient d’Écosse pour demander de l’aide. Son Bêta s’est rendu en Égypte pour enquêter sur la momie, mais il a disparu.
– Alexia et Prudence reçoivent une invitation que notre héroïne ne peut pas refuser, venue de Matakara la plus vieille des vampires. C’est ainsi que toute la famille se rend à Alexandrie avec les Tunstell – il faut bien une excuse pour voyager là-bas et quoi de mieux que d’accompagner la troupe de théâtre dont ils sont les mécènes ?

On sent que c’est un dernier tome : beaucoup de révélations sont faites que ce soit sur le Alessandro Tarabotti, sur Floote ou sur Biffy.
D’ailleurs les passages que j’ai préférés sont ceux avec le jeune loup dandy de la meute de Londres : il est tellement attachant que je ne peux m’empêcher de l’adorer. Quand il était là, ça se lisait tout seul et j’avais terriblement envie de savoir la suite.
J’ai eu un peux plus de mal avec les scènes en Égypte. Sûrement parce que j’apprécie énormément le côté anglais du récit et là, je me suis sentie déracinée : le contraste entre les deux cultures était trop violent et ce, malgré le fait que les personnages restent eux-mêmes et un peu guindés.
Malheureusement, l’atmosphère qui se dégage de ce pays m’a déplu : toutes ces étendues arides, ces dunes de sable, la ruche de Matakara tellement différente de celle de la comtesse Nadesky ou de la maison d’Akeldama.
J’ai fini par m’y faire, mais ce n’était pas aussi fluide que d’habitude.

Ça n’empêche que j’ai beaucoup aimé cette lecture, surtout les derniers chapitres qui m’ont fait hurler, l’angoisse totale !

Reine des Neiges (femme de pouvoir, féminisme)

Coupe des 4 maisons :
Multiplettes (4ème année) – Un livre de science-fiction (dystopie, steampunk, space opéra,…)40 points

Creepy Cat, tome 2 – Cotton Valent

Titre : Creepy Cat, tome 2
Auteur : Cotton Valent
Éditeur : Vega / Dupuis
Nombre de pages : 128
Quatrième de couverture : Des détectives viennent enquêter dans le manoir de Flora, après qu’on leur a signalé l’apparition d’une créature non identifiée. Aidés par Himé le chaton gris, ils essayent sans relâche de débusquer Creepy Cat. De son côté, le plus creepy des chats devient gigantesque, et Flora tente de lui rendre sa taille normale à l’aide d’un mystérieux grimoire magique appartenant au manoir…

J’ai été ravie de retrouver le second tome de Creepy Cat. Je l’attendais même avec impatience et je n’ai pas été déçue.
Le fil rouge est plus marqué que dans le premier.

La police enquête sur des faits paranormaux. Serait-il à la recherche de Creepy Cat ? Peu importe, le chat se cache. Un événement qui cause bien du souci à Flora parce que Creepy a tellement peur qu’il devient géant. Le seul point positif est qu’avec une telle taille, il ne se multiplie plus, mais il y a bien d’autres inconvénients.
Oscar est plus présent. Il est amoureux d’elle, c’est flagrant et elle ne voit rien. Par moment, c’est drôle, d’autres fois moins, c’est peut-être pour ça que l’autrice a fini par opter pour des scènes de jalousie venant de Creepy. Le pauvre Oscar prend cher, je n’ai pas pu m’empêcher de rire. Je verrai si ça continue et si c’est toujours aussi amusant.

J’aime toujours autant le personnage de Flora. Elle est attachante, j’apprécie sa relation avec son chat, ils sont touchants ensemble. Et puis, elle est tellement belle. Bon, maintenant que j’ai vu la série Mercredi, je ne peux m’empêcher de faire un parallèle entre les deux, ce qui est dommage parce que la ressemblance n’existe que dans le design des personnages, absolument pas dans la trame de l’histoire.
Peu importe, ça ne change rien au fait que j’ai adoré ce second tome et j’attends le prochain avec impatience qui sort à la mi-mars.

Mon amie des ténèbres, tome 02 – Taku Kawamura

Titre : Mon amie des ténèbres, tome 02
Auteur : Taku Kawamura
Éditeur : Nobi nobi ! (Shônen kids)
Nombre de pages : 146
Quatrième de couverture : Une petite fille dont on se moque. Un nouvel élève qui recherche son amitié. Entre rires et larmes, leur été sera inoubliable. L’obstination naïve de Takada a porté ses fruits : Nishimura a surmonté ses craintes et l’a accepté comme ami ! Toujours là pour la soutenir quand les élèves de la classe se moquent de « la sorcière des ténèbres », il l’aide aussi à sortir de sa solitude. Grâce à lui, elle a adopté un chat et Hino, l’adepte du marcel, a rejoint leur petit groupe. Désormais, elle s’amuse bien à l’école ! Nishimura va passer une partie dès vacances chez sa grand-mère, qu’elle aime beaucoup, mais Takada lui manque. Une coïncidence et une révélation bouleversent alors leur été… ainsi que leur amitié ! Une admiration née de son innocence et de sa sincérité.

On continue notre aventure aux côtés de Nishimura et Takada qui croit toujours que son amie est une sorcière des ténèbres. Ils ont décidé de passer tout l’été ensemble : ils vont à la piscine du collège et continuent de croiser des camarades de classe qui se montrent désobligeants envers la pauvre Nishimura.
Lorsque la petite fille part chez sa grand-mère pour la fête des morts, nos deux héros sont séparés, mais c’est sans compter le destin. C’est également l’occasion pour le lecteur d’en découvrir davantage sur le passé de Nishimura.

Les chapitres sont très courts et par moment, j’ai trouvé la chute un peu trop abrupte. Ça manquait également de transition. Tout ça rendait le récit légèrement décousu.
L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard, néanmoins je l’ai trouvée sympathique. Ça reste très gentillet, mais comme je le savais, contrairement au premier où ça a été un choc de découvrir un manga si jeunesse, je n’ai pas eu de mauvaise surprise, j’ai même pris plaisir à suivre nos deux jeunes héros.
Les réponses naturelles de Takada m’ont réjouie, et les pensées aussi embarrassantes que mignonnes de Nishimura m’ont fait sourire.

J’ai beaucoup aimé ce second tome, si les chapitres n’étaient pas aussi courts, donnant la sensation d’être tronqués et bâclés, j’aurais adoré cette lecture.
J’ai quand même hâte de lire le prochain pour voir ce que l’auteur nous réserve.

Komi cherche ses mots, tome 05 – Tomohito Oda

Titre : Komi cherche ses mots, tome 05
Auteur : Tomohito Oda
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Les jours heureux de Komi sont perturbés par un sentiment nouveau pour la jeune fille craintive : la jalousie. Tadano et une de leurs camarades de classe, Onemine, se sont rapprochés et Komi, ne sachant que faire, les épie en catimini ! A l’approche de la fête du lycée, ce fâcheux sentiment va-t-il entacher les préparatifs de cet événement réjouissant ?

J’ai longuement hésité avant de me décider à lire ce cinquième… enfin longuement, genre deux jours. Le quatrième ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable.

Dès les premières pages, c’est bien passé : j’ai trouvé Onemine apaisante. Je ne me souviens pas d’elle, ni de qui elle est, ni de comment elle est arrivée dans l’histoire, mais j’étais contente qu’elle soit là. Et puis, gros plus : elle ne semble pas impressionnée par Komi et c’est une bonne chose… je crois.
On enchaîne sur un épisode reposant avec la tempête qui bloque Komi chez elle.
Puis c’est de nouveau la folie avec les préparatifs de la fête de l’école Itan. Et sans surprise (la couverture nous a donné un indice de taille), la 2nde1 décide d’organiser un atelier maid-café.
Heureusement, Najimi prend beaucoup de place dans le récit donc au lieu de rendre l’événement bizarre, il l’a juste rendu drôle et surtout joyeux.

Par contre, tout au long de ma lecture, je me suis demandée ce que j’allais dire sur ce cinquième tome et rien ne m’est venu de plus. Donc je vais m’arrêter là.
J’ai bien aimé ce manga, ce n’était pas transcendant, mais j’ai passé un bon moment.