Le Seigneur des Anneaux 3 : Le Retour du roi – J.R.R. Tolkien

le retour du roiTitre: Le retour du roi
Saga: Le Seigneur des Anneaux 3
Auteur: J.R.R. Tolkien
Éditeur: Presses Pocket
Nombre de pages: 504
Quatrième de couverture:
Hélas, pauvres amis, hélas, trois fois hélas ! Saroumane, le Mage Blanc, Gollum, la créature des Monts Brumeux, pourquoi sont-ils en proie à la soif du pouvoir ? Pourquoi cherchent-ils tous l’Anneau Unique ? Frodon, le petit Hobbit, voudrait bien détruire l’objet infernal, mais il n’a pu franchir la Porte Noire. Comment atteindre le Mont du Destin ? Peut-être est-il trop tard : déjà Boromir est mort et la Terre du Milieu se prépare à la Guerre de l’Anneau. Une grande obscurité, issue du Mordor, commence à recouvrir le continent ; le Seigneur Ténébreux mobilise. Les Rohirrim n’ont plus le temps d’en finir avec le traître assiégé dans l’imprenable tour d’Orthanc ; ils doivent se rassembler pour faire face à l’Ennemi. Frodon tente sa chance une fois de plus, passant par le Haut Col ; et là Gollum toujours en proie à sa vilenie, le livre à l’abominable Arachné. Frodon va-t-il mourir ? Et que peut faire un simple hobbit contre le maître du Pays Noir ?

J’avais commencé la lecture de ce volume immédiatement après le second tome, sachant que ce dernier ne m’avait pas particulièrement plu; ce qui remonte à une dizaine d’année, maintenant. Puis j’avais perdu ce livre (dans mon appartement – oui, je suis très forte pour perdre les choses chez moi, surtout lorsque je les range, en fait !) j’ai donc dû abandonner cette saga parce qu’il était hors de question que je teste une autre édition.
Je l’ai retrouvé dernièrement, j’y avais gardé mon marque-page, j’ai donc pu reprendre ma lecture à l’endroit où je m’étais arrêtée – Yes ! Une centaine de page en moins à lire !
Ben, 100, ce n’était pas assez… J’ai eu énormément de mal à finir le livre V. J’avais beau me forcer, je n’avançais pas. J’en ai vu défiler des heures. Ce n’est pas que le style de Tolkien m’ennuie, mais l’auteur m’a perdu sur des détails. Il va nous sortir un dialogue entre plusieurs personnes et parler de certains lieux en ne donnant que leur nom, on n’a aucune idée de quel type de lieu c’est, où cela se situe par rapport à la ville et aux combat, en quoi est-ce un endroit si important ! Si ce n’était qu’un nom perdu sur une page, ça passerait, mais non, ça s’étale sur plusieurs pages ! Ça, ajouté au fait que plein de noms différents sont utilisés pour une seule personne ou chose… Je ne sais pas si c’est le fait que j’ai mis trop de temps depuis le livre précédent, mais c’était super chiant au final.

Le retour du roiPar contre, j’ai bien aimé le livre VI. La lecture était quand même un peu fastidieuse: le style de l’auteur en reste quand même lourd; malgré cela, ça m’a quand même plu. Il faut savoir qu’il est composé de 9 chapitres et la guerre prend fin au chapitre 4.
La traversée du Mordor était longue, aride, fatigante; ça m’a complètement vidé, j’ai totalement accompagné Frodon et Sam dans leur désespérante quête. Et pourtant, j’ai beaucoup aimé.
Et le détail qui m’a poussé et motivé à lire ce livre jusqu’au bout, c’est qu’il y avait une vraie fin de 120 pages. Là, on sait tout: ce que devient Faramir, Dame Eowyn et Eomer, le retour du roi,  Saroumane, Grima Langue de Serpent, etc…
Et je ne parlerai même pas de la Comté! Dans le film, on a l’impression que la guerre ne l’a pas affectée alors qu’en fait, elle a été tout aussi dévastée que les autres contrées des Terres du Milieu.

Par contre, je m’en suis arrêtée à la page 442. Je n’ai pas lu les annexes qui sont composées de chronologies, de généalogies et de cartes. Je les ai juste feuilletées, c’était suffisant! ^_^

Ce troisième volume ne m’a pas particulièrement plu, mais je suis malgré tout ravie de l’avoir lu rien que pour ce livre VI et de la conclusion complète dont on a droit.

Je passe à 03/20.

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Le Seigneur des Anneaux 2: Les deux tours – J.R.R.Tolkien

Le Seigneur des anneaux 2 - les deux tours - J.R.R. TolkienTitre: Les deux tours
Saga: Le Seigneur des Anneaux 2
Auteur: J.R.R. Tolkien
Éditeur: Presses Pocket
Nombre de pages: 472
Quatrième de couverture:
Malheur, malheur, malheur à tant de héros intrépides ! Et quelle misère de voir une si belle histoire tourner aussi mal ! Au départ, les neuf compagnons s’étaient fixé une mission claire : transporter l’Anneau de Puissance au Mont du Destin, en plein pays ennemi, et le jeter dans le feu souterrain.
Un voyage semé d’embûches, mais nécessaire pour anéantir le joyau maléfique et mettre en échec le Seigneur Ténébreux.
Depuis, les Gens Libres ont été durement éprouvés : Gandalf a disparu, Boromir a voulu s’emparer de l’Anneau pour l’utiliser comme arme dans la guerre qui s’annonce et Frodon le Hobbit, porteur du talisman, s’est échappé, décidé à poursuivre son voyage désespéré jusqu’à l’Ennemi.
La communauté s’est dissoute ; l’ombre s’étend toujours ; qui peut encore dissiper sa puissance malfaisante ?

J’ai plus de difficulté à me souvenir de ce volume pour la simple et bonne raison que j’ai nettement moins aimé ce second volume. Il y a pourtant bien plus d’action, mais je crois que j’ai eu du mal à me plonger dedans et à m’imaginer les différentes scènes de combat. Elles sont pourtant bien décrites, mais elles m’ont beaucoup ennuyé.
J’ai bien apprécié le début du bouquin, tant que les protagonistes entretiennent encore des rapports les uns avec les autres, mais très vite, trop vite finalement, la communauté de l’anneau se retrouve séparée et cela rend le récit moins intéressant pour moi. L’histoire perd beaucoup se perdant entre différentes situations, des événements tout aussi différents et de nouveaux personnages, certains relativement travaillés, d’autres très/trop superficiellement décrits.
les deux tours
Et puis, l’accent est davantage mis sur les Hobbits, or Pippin et Merry me saoulent tellement ils sont stupides, Frodon est mou et agaçant -je déteste les pleurnicheurs et pour le coup, j’ai été servie. Il n’y a que Sam et Gollum qui relèvent le niveau et leur régulier affrontement m’a fait passé le temps. Je déplore qu’on n’ait pas davantage eu affaire à Gandalf -certes, il était sensé être mort, ça peut être une excuse valable. Dans mon souvenir, on a pu suivre Aragorn, mais son histoire avec le Rohan m’a un peu pris la tête alors que je l’ai beaucoup aimé dans le film. Oui, je sais, je compare encore les deux supports, mais je trouve que les films sont tellement réussis qu’il est difficile de ne pas faire de comparaisons entre livres et cinéma.
En tout cas, pour ce second volume, j’ai nettement préféré le film et le livre ne m’a pas particulièrement donné envie de lire le troisième. Pourtant, j’ai bien essayé mais au bout d’une centaine de pages, j’ai fait une pause avant de perdre le livre… et le deuxième tome ne m’a pas suffisamment plu pour reprendre une autre édition du troisième volume.
Mais plus de 10 ans après, j’ai repris. Et vous aurez bientôt ma chronique du dernier volet du Seigneur des Anneaux!

Le Seigneur des Anneaux 1: La communauté de l’anneau – J.R.R. Tolkien

Le seigneur des anneaux 1 - La comunauté de l'anneau - J.RR. TolkienTitre: La communauté de l’anneau
Saga: Le Seigneur des Anneaux 1
Auteur: J.R.R. Tolkien
Éditeur: Presses Pocket
Nombre de pages: 539
Quatrième de couverture:
Oyez, bonnes gens, oyez la très véridique histoire de l’Anneau de Puissance forgé naguère par Sauron le Grand. Un homme eut le courage de lui arracher le talisman et put ainsi le chasser hors du monde. Le Maître Anneau se perdit. Qui sait ? Peut-être a-t-il fait le malheur de ceux qui l’ont pris ? Mais la Terre du Milieu s’enfonce dans la nuit, les créatures mauvaises se multiplient et, dans les Monts Brumeux, les Orques traquent les Nains. L’Ennemi est de retour ! Avec l’Anneau Unique, il aurait le moyen d’abattre toute résistance. Par chance, j’ai compris le premier qu’il est ici. Mais Sauron le fait chercher partout. Déjà ses Cavaliers Noirs galopent sur la terre des Hobbits. L’Anneau lui-même désire revenir à son maître. Ta seule chance, c’est que tu ne l’as pas mis au doigt. Mais le temps presse. Bientôt il le trouvera et il recouvrira toutes les terres de ténèbres. Il faut détruire cet Anneau, petit Frodon ! Il le faut !

 J’ai lu ce livre il y a maintenant plus de 10 ans, lors de l’annonce de la sortie du premier film. Oui, cela remonte à très loin, pourtant, le souvenir du livre est très frais et très présent dans ma mémoire; je pense que la raison de cette réminiscence si parfaite en est de nombreuses discussions que j’ai eu avec des amis à la suite des films: beaucoup d’échanges, des comparaisons entre support papier et cinématographique, moult débats sur le meilleur passage du bouquin, les oublis qui auraient pu encore améliorer le film, etc…
J’ai adoré ce premier volume et il est sûrement mon préféré (je suis en train de lire le troisième, donc je pourrai l’affirmer réellement lorsque j’aurai fini ma lecture). Beaucoup trouverons que c’est une bonne introduction à cette trilogie mais qu’il manque foncièrement d’action et est un peu longuet. En effet, il y a peu d’action, mais on découvre la Comté et les Terres du Milieu progressivement, je suis rentrée doucement dans l’histoire, je me suis sentie comme un hobbit pendant les 539 pages du livre (et je ne parle pas de ma petite taille, hein!). Je trouve génial de me sentir protagoniste -même majoritairement spectatrice- sans que le récit ne soit à la première personne.
La partie que j’ai probablement préférée est la rencontre avec Tom Bombadil et le voyage de la communauté à travers la forêt de Sylvebarbe. J’ai d’ailleurs trouvé dommage que le personnage de Tom ne soit pas dans le film; c’est une si bonne adaptation pourtant, cette partie a été zappée, c’est triste! 🙁
Le passage à Foncombe est sympathique, ça m’a bien plut.
Par contre, le voyage en Lothlórien ne m’a pas marqué. Le miroir de Galadriel m’a relativement plut -davantage que dans la transposition cinématographique-, mais sans plus; j’avoue que j’ai du mal à comprendre l’attrait que ce personnage elfique suscite: d’accord, il est mystérieux et on peut se poser bon nombre de questions quant à sa puissance, ses pouvoirs, etc… mais à ce point ?

Enfin, peu importe les nombreuses interrogations que cette trilogie et son succès éveillent en moi; j’ai adoré ce premier volume et à l’époque, j’ai entamé le suivant immédiatement après avoir terminé La Communauté de l’Anneau.

Le Sang des 7 Rois – Livre Premier- Régis Goddyn

Le Sang des 7 rois - Livre Premier - Régis GoddynTitre: Le Sang des 7 Rois
Auteur: Régis Goddyn
Éditeur:
LAtalante
Collection:
La dentelle du cygne
Nombre de pages:
400
Quatrième de couverture:
25 juillet 806
Deuxième jour de traque. Depuis le départ du château, la pluie n’a pas cessé de tomber. Je profite d’une roche en surplomb pour abriter le journal et écrire ce premier compte-rendu. Arrivés sur les alpages, nous avons suivi la crête pour trouver des indices. Rien ne nous avait préparés à ce que nous avons trouvé là. Un autre campement avait été édifié à cinquante pas à vol d’oiseau du premier et tout indique qu’alors que nous pensions notre retard considérable,ses occupants s’en étaient allés quelques heures auparavant.
Entrez dans l’univers des 7 royaumes où sévit l’inquisition, et découvrez le secret de l’origine du sang bleu. Un événement en fantasy française. Un premier roman, un coup de maître.

J’ai pu découvrir ce roman grâce à un concours gagné, je remercie donc ActuSF ainsi que les éditions L’Atalante pour cette chance, parce que c’est une énorme chance d’avoir pu lire ce livre.
La quatrième de couverture m’a bien plu, j’avais  bien envie de vérifier par moi-même en quoi c’était un coup de maître et je suis plus que contente de pouvoir dire que pour un premier roman, un prologue surtout, je le trouve vraiment excellent. De plus, la couverture claque: elle attire beaucoup le regard et ce, malgré sa simplicité. On pourrait se dire que l’inconvénient est qu’au vue de sa couleur très claire, elle doit être salissante, et bien non, pas du tout: même après l’avoir trimballé un peu partout, elle est aussi belle et neuve qu’au premier jour.

En ce qui concerne l’histoire, j’ai  énormément aimé. On sent que l’auteur maitrise parfaitement son sujet. Tout au long de l’histoire, on devine sans problème que les hommes au sang bleu cachent quelque chose et plus on avance, plus on en découvre sur eux: arrivé à la moitié du roman, on sait ce qu’on pense être l’essentiel. Je reste persuadée que j’apprendrai encore bien des choses sur les descendants des 7 rois, mais j’avoue que ça m’est un peu égal, j’ai trouvé que le contexte était intéressant, les intrigues politiques bien menées, les événements ni prévisibles ni particulièrement imprévisibles mais ce n’est pas ce qui m’a tellement plu dans ce livre.
Le style de l’auteur est facile à lire sans pour autant être trop simple… Le gros point positif: j’ai beaucoup apprécié l’alternance entre récit et lettre/ journal intime, même si l’écriture de ces supports ne différaient pas suffisamment pour qu’on différencie vraiment les « auteurs », mais ne chipotons pas: pour moi, ça ne m’a pas perturbé plus que ça et ce changement a clairement participé à l’accroche.

J’ai adoré le personnage principal, et ça, c’est rare: il est loin d’être « politiquement correct » mais il reste loyal neutre à ses convictions et à sa ligne de conduite. Pendant longtemps, je ne savais pas trop quoi penser de lui, il ne me dérangeait pas particulièrement, mais je ne m’y suis pas attachée plus que ça. Pourtant, c’était frustrant d’être interrompu dans son histoire; et ça n’a pas loupé, finalement, je l’adore !
J’ai également bien apprécié les personnages secondaires, même si malheureusement Rosa arrivent un peu tard et qu’on n’a pas le temps d’entretenir le même rapport qu’avec Orville. Du coup, ça manque. Quant aux autres protagonistes, de ce que j’en ai lu, je les aime bien, mais à voir qui restera et qui disparaitra.

Bien sûr, ce n’est qu’un premier tome. J’avoue que c’est un peu énervant de ne pas avoir la suite. Mais ce qui est vraiment très agréable et très appréciable, c’est que la fin n’est pas frustrante. Alors oui, je meurs d’envie de lire la suite malgré tout, mais je ne me sens ni flouée ni oppressée par un sentiment étouffant comme la frustration; du coup, j’ai fini la lecture sur un temps apaisé, sur une sensation positive et l’attente n’en est que plus facile.
Bref, je le conseille fortement, pour moi, c’est une bonne surprise et un coup de cœur.

Le cycle d’Elric 2 – La forteresse de la Perle – Michael Moorcock

Résumé: Elric s’est egaré dans le Désert des Soupirs ; il a franchi les sables où s’abîment les voyageurs ; le voici à Quarzhasaat, la ville engloutie par la marée des dunes, où nulle caravane n’a jamais abouti. Trop tard peut-être : Elric délire, Elric agonise. Où est l’élixir qui lui rendra ses forces ? Et s’il boit l’élixir, où trouver l’antidote ? Finalement il accepte un pacte : en trois semaines, il va quérir la Perle au Cœur du Monde. Et le voilà parti pour l’Oasis Fleur d’Argent C’est là que Varadia, la Sainte Fille des nomades Bauradim, dort d’un sommeil surnaturel. C’est là qu’on peut se frayer un chemin vers les Royaumes du Rêve, où se dresse, dit-on, la Forteresse de la Perle. Mais comment s’orienter, sans les Voleurs de Songes, dans ces terres fictives ? Et comment affronter les Aventuriers Magiciens, sachant que Stormbringer, la Buveuse d’Âmes, ne pourra rien contre ces chimères issues de l’imagination ? Un voyage inouï attend le prince albinos : il explore les domaines de la « fantasy », où nul ne s’était risqué avant lui.

Je ne sais par où commencer tellement j’ai été déçue. J’avais bien aimé le premier, décidé de lire la suite mais là, je ne suis plus sûre de rien.
Je vais commencer par l’histoire en elle-même. Je me suis ennuyée, atrocement ennuyée… Et ça, depuis le début; au point de m’endormir au bout de quelques pages. C’est vraiment frustrant. Commençons par un rapide rappel: à la fin du premier tome, on quitte un Elric décidé, sûr de lui, relativement fort malgré son addiction aux drogues qui par moment l’affaiblissent. Au fil du volume, on l’a vu évoluer, changer malgré lui et devenir plus proche du vrai guerrier Melnibonéen qu’il devrait être. Au début du second, on le trouve faible et misérable. Toute détermination l’a fuit, et tout au long du livre, il n’est que l’ombre de lui-même se laissant mener par le bout du nez, n’étant jamais maître des événements ni de ses choix.
La lecture est loin d’être fluide, les propos de certains personnages sont incompréhensibles -comme s’il nous manquait des informations qu’au final on n’aura pas pour la plupart- ce qui n’aurait pas dû être un problème étant donné que ça se déroulait dans le monde des songes, mais du coup, pour cet endroit-là, ce n’était pas assez incongru, trop raisonné.
Ça a été 230 pages d’un mortel ennui… Oui, j’ai bien dit 230… Mais, vous me direz qu’il fait 251 pages. Oui, en effet. Donc les 21 dernières pages ont été du pur « Elric ». Il redevient sur la fin lui-même, libéré de toute contrainte. Et surtout, un point positif, sûrement le seul d’ailleurs, dans les deux derniers chapitres qui closent le volume, on comprend toute l’œuvre. Je m’explique: le thème principal et les enjeux de l’histoire sont le contraste entre le Chaos et la Loi-l’ordre; ce dernier étant figé. Mais tout cela ne nous est révélé qu’en conclusion. Et lorsqu’on comprend ça, on voit le livre de façon réellement différente. Je déplore juste qu’aucune réflexion ne nous ait mis sur la voie avant les derniers chapitres, parce que du coup, non seulement l’œuvre perd énormément, mais l’impression générale reste quand même assez négative.

Le deuxième point négatif qui a été ma bête noire tout au long de ce bouquin: les fautes de typographie. Une vraie galère, chaque fois que je commençais à décoller dans la lecture, pouf, une erreur qui me freinait… et c’est énervant. Je ne suis pas particulièrement difficile, un « s » oublié ne me pose pas de soucis outre-mesure, mais les absences de déterminants… pfff, ils auraient carrémment dû tous les zapper, après tout, ça sert à rien un déterminant; ne parlons même pas des doublons de mots genre: « alors que que la Kasbah », aucun soucis, tu peux même les mettre en triple… ah, merde, ils l’ont déjà fait ça, j’aurai dû dire en quadruple.
Bon, ok, tout ça, c’est méga chiant, ça m’a beaucoup freiné, mais c’était loin d’être le pire. Ce qui m’a le plus énervé, c’était lorsque des mots étaient remplacés par d’autres, l’exemple le plus frappant, c’était « partout » qui remplaçait « pourtant »… Hein? Je ne vois pas le rapport entre les deux. Résultat: phrase relue au moins 4 fois mais non, partout, ça ne marchait pas, alors que pourtant, oui… Bon, ça c’est fait ! Et si encore, ça avait été le seul mot du genre, mais non !
Bon, ne soyons pas chiant, me direz-vous, quelques erreurs, ça peut arriver… mais là… c’était minimum une erreur toutes 5 pages quand ce n’était pas à toutes les pages… super frustrant…
Autant dire que ça n’a pas été une partie de plaisir. Une vraie galère, je suis contente d’en avoir fini avec ce tome.

Par contre, je dois être complètement maso, mais je sais déjà que je lirai le troisième volet du cycle.
Pourquoi ? Parce que je pense que ce tome était une erreur, il a été écrit de nombreuses années après le premier, et je trouve que cela se sent drôlement autant que malheureusement. Donc j’espère trouver dans le 3 ce que je n’ai pu trouver dans le 2. Affaire à suivre…