Le journal intime d’un arbre – Didier van Cauwelaert

Titre : Le journal intime d’un arbre
Auteur : Didier van Cauwelaert
Éditeur : Michel Lafon
Format : E-book
Nombre de pages : 245
Quatrième de couverture : « On m’appelle Tristan, j’ai trois cents ans et j’ai connu toute la gamme des émotions humaines.
Je suis tombé au lever du jour. Une nouvelle vie commence pour moi – mais sous quelle forme ? Ma conscience et ma mémoire habiteront-elles chacune de mes bûches, ou la statuette qu’une jeune fille a sculptée dans mon bois ? Ballotté entre les secrets de mon passé et les rebondissements du présent, lié malgré moi au devenir des deux amants dont je fus la passion commune, j’essaie de comprendre pourquoi je survis.
Ai-je une utilité, une mission, un moyen d’agir sur le destin de ceux qui m’ont aimé ? »

Je ne sais pas trop quoi dire sur cette lecture.
Je m’attendais à ce que la trame principale tourne principalement autour d’un arbre, ses rapports avec les autres végétaux, un côté écologique… il y a un peu de ça, mais c’est très succinct. L’histoire tourne davantage autour des humains qui gravitent autour de lui.

Tristan est un poirier. La dernière tempête le met à terre. Une chute qui va terrasser son propriétaire, le docteur Lannes. Cela impactera aussi la jeune voisine Marion pour qui Tristan est devenu son confident.
Que va-t-il lui arriver, maintenant qu’il n’est plus debout ?

On suit Tristan à travers les âges, il se noie dans les pensées de ses proches et passe de l’un à l’autre. On découvre progressivement des pans de son histoire.
Beaucoup de passages m’ont plu, pourtant, je me suis ennuyée.
Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, ni à Tristan, pas davantage à Marion ou à Yannis. Les seuls que j’ai appréciés, ce sont Rafik et Toé, malheureusement, ils ne sont là que dans les derniers chapitres.

Je ne vais pas m’étendre sur cette lecture plus sociologique qu’écologique que je n’ai pas aimée.

Coupe des 4 maisons :
 Harvey Ridgebit (Items éphémères du 20 mars au 2 avril) – Lire un roman dont l’intrigue est en lien avec l’écologie100 points

Bilan lecture du mois de mars 2023

Bilan de lectureLe mois de mars fut compliqué : entre mon blocage lecture du début du mois et le début de ma remise à niveau, je n’ai pas eu beaucoup de temps à consacrer à la lecture… Il y a des chances que ce soit ainsi les trois prochains mois.
J’ai lu 16 livres (2 BD, 10 mangas et donc 4 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
  


Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:
      


Gif heureux
J’ai aimé:
 


Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Je n’ai pas aimé:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
J’ai détesté:

On arrive donc à un total de 3271 pages (168 en BD, 1764 en mangas et donc 1339 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 12/20

Challenge Coupe des 4 maisons : 32 items – 1525 points

Challenge Goodreads : 56/250

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 036/408


Actuellement, je lis :
Le journal intime d’un arbre
Didier Van Cauwelaert
(65%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Frieren, tome 5 – Kanehito Yamada et Tsukasa Abe

Titre : Frieren, tome 5
Scénario : Kanehito Yamada
Illustrations : Tsukasa Abe
Éditeur : Ki-oon (Shônen)
Nombre de pages : 188
Quatrième de couverture : Stark, guerrier et disciple d’Eisen, a rejoint les deux mages dans leur périple. Ensemble, ils arrivent dans le comté de Granat, mais une surprise de taille les attend : des démons à l’apparence humaine se baladent comme si de rien n’était en ville ! Frieren n’est cependant pas dupe, elle sait que leur présence n’augure rien de bon…
La suite des événements lui donne malheureusement raison. Tandis que les éclaireurs tentent de briser la barrière magique de la cité de l’intérieur, une armée dirigée par nulle autre qu’Aura la Guillotine, qui fait partie des sept sages du chaos, se tient prête à attaquer à quelques kilomètres de là ! L’elfe parviendra-t-elle à l’arrêter ?

Je ne me souvenais plus de ce qui m’attendait dans ce sixième tome, mais une fois commencé, ça m’est revenue très vite et il m’a été très difficile de mettre en pause ma lecture tant l’histoire m’a captivée.

Fern et Frieren participent aux épreuves pour devenir mage de première catégorie. La première se déroule en groupe, les équipes ont été formées à la fin du tome précédent, donc on sait que nos deux héroïnes ne sont pas ensemble.
Il y a une quinzaine de groupes, chacun composé de trois mages. Tout le monde se retrouve dans une zone délimitée par un bouclier, ils ont des règles à respecter : ils ont pour objectif d’attraper un stille, un oiseau tellement sensible à la magie qu’il la fuit, et ce, dans le temps imparti. Bien sûr, leur épreuve n’est validée que s’ils ont conservé leur proie jusqu’au moment de l’arrêt du test donc rien n’empêche les vols. Et si l’un des membres du groupe meurt, c’est disqualifiant.

C’est l’occasion de découvrir de nouveaux personnages. J’ignore s’ils auront une place importante dans les prochains tomes, ni pour combien de temps on les aura, mais pour le moment, ils ont un rôle conséquent… suffisamment pour me faire une idée à leur sujet.
Lawine et Kanne m’ont laissée indifférente. Elles se connaissent depuis un moment, néanmoins, elles passent leur temps à se disputer, c’est pénible.
Übel me déplaît fortement. Je la sens mauvaise… juste pour le plaisir de faire du mal.
Je ne sais pas trop quoi penser de Land. J’ai aimé sa réaction dans les derniers chapitres, mais il est très froid, ce qui ne le rend pas sympathique.
En ce qui concerne Denken, c’est mitigé. Les autres mages le présentent comme quelqu’un d’intéressé, ce qui est démenti par l’attention paternaliste qu’il a envers ses coéquipiers, surtout Laufen qui ne semble pas très expérimentée. Je réserve mon avis pour lui.
J’adore Wirbel. Non seulement il a la classe, mais il dégage un sacré charisme. Il a l’air fort et ses activités de défense de la frontière nord le rendent sympathique. Il devrait bien s’entendre avec Stark qu’on ne voit quasiment pas au passage.
Les autres personnages ne m’ont pas fait grande impression. Peut-être que ça changera par la suite.

C’est un coup de cœur pour cette lecture et j’ai hâte de lire le septième qui devrait nous proposer la seconde épreuve.

Netsuzou Trap : NTR, tome 4 – Naoko Kodama

Titre : Netsuzou Trap : NTR, tome 4
Auteur : Naoko Kodama
Éditeur : Taifu comics (Yuri)
Nombre de pages : 149
Quatrième de couverture : Alors que Yuma n’arrive toujours pas à se départir de sentiments qu’elle ne comprends pas. Takeda la surprend en train d’embrasser Hotaru à l’embrasser du lycée. Yuma culpabilise de devoir mentir une nouvelle fois à son ancien petit ami, mais elle n’arrive toujours pas à dire non à Hotaru. De son côté, le regard que pose Fujiwara sur les deux filles est glacial…
Yuma, en proie au doute.
Hotaru, cachant ses sentiments derrière son sourire.
Takeda, commençant à suspecter quelque chose.
Fujiwara, préparant un mauvais coup.

J’ai été agréablement surprise par ce quatrième tome. Je ne m’attendais pas à passer un aussi bon moment, pourtant il ne se passe pas grand-chose, mais c’était rafraîchissant.

Yuma commence à accepter ses sentiments pour Hotaru, même si elle refuse de les avouer à la concernée.
Leur relation d’amitié finit par en pâtir, mais pas avant qu’elles ne partent en vacances, au bord de la mer, avec Takeda et Fujiwara. Ce moment de détente s’étend sur une bonne partie de ce manga. C’était plaisant : les personnages ne sont pas sous pression, et ils semblent presque proches.

J’apprécie toujours autant Takeda. Il est tellement gentil et attentionné avec Yuma… je comprends que cette dernière n’a pas l’étincelle et ne craque pas pour lui, ça arrive, il n’est rien d’autre qu’un bon pote finalement. Par contre, j’ai plus de mal à accepter son choix amoureux : je ne vois vraiment pas ce qu’elle trouve à Hotaru. Ok, elle est jolie, elle la connaît depuis des années et toutes deux sont amies, mais je trouve qu’Hotaru est égoïste, égocentrique, et aussi antipathique que sans cœur… en fait, elle manque d’empathie et je n’arrive pas à m’y attacher.

Il y a plusieurs points positifs :
– on en apprend davantage sur la relation qui lie Fujiwara et Hotaru.
– ça avait un air de vacances, l’ambiance était détendue.
– c’était une lecture agréable et pas prise de tête.
J’ai adoré ce quatrième manga, c’était ce dont j’avais besoin et ça m’a fait du bien.

The Quintessential Quintuplets, tome 05 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 05
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Après une classe nature rocambolesque, Fûtarô a enfin gagné la confiance des quintuplées. Mais dès son retour, le jeune professeur particulier, qui est tombé malade durant le séjour, se retrouve à l’hôpital. C’est alors qu’Itsuki vient lui rendre visite et lui demande avec détermination pour quelle raison il étudie. L’occasion pour Fûtarô de laisser remonter des souvenirs à la surface qui pourraient bien chambouler ses relations avec les sœurs Nakano…

Je n’étais pas très motivée pour lire ce cinquième. Je ne suis décidément pas fan de cette saga et à chaque nouveau tome se pose la question : vais-je continuer ou pas ? Je ne suis toujours pas décidée et ce n’est pas cette lecture qui m’aidera.
Il ne se passe rien. Pas de fil rouge. Des petites scènes de vie, mais j’ai trouvé le récit décousu.

Ils sont revenus de la classe d’hiver et Fûtarô est à l’hôpital. Les filles viennent le voir, même si elles ne sont pas vraiment là pour lui.
Puis on passe au chapitre suivant où Fûtarô mène l’enquête, mais sur quoi ? Mystère ! Est-ce que c’est sur la fille qu’il a rencontré cinq ans auparavant et qui pourrait être une des quintuplées ? Est-ce que son but est de découvrir laquelle a eu zéro dans telle ou telle matière ? Ou simplement celle qu’il a vu au sortie de la douche la veille ? Bref, ce n’est pas clair.
Le reste ne l’est pas davantage. La raison de sa journée passée avec Yotsuba est bancale.

Il a enfin réussi à réunir les quintuplées pour réviser, ben c’était trop beau pour être vrai ! Nino pète un câble, on ignore pourquoi. Et le groupe de révision vole en éclat. J’avoue que de toutes les cinq, c’est Nino qui me gave le plus. C’est vraiment une connasse ! J’espère que par la suite, on aura une explication sur ses réactions excessives… on verra (si je tiens jusque là).
Bref, ce n’était pas terrible comme lecture. C’était très brouillon, on n’en revient toujours à la même finalité : même quand Fûtarô réussit à les gagner à sa cause, elles finissent toujours par lui échapper et leur prof particulier doit tout recommencer ; c’est pénible et ça m’a saoulée.