Titre : Le grimoire écarlate, tome 3
Auteur : A-10
Éditeur : Noeve grafx
Nombre de pages : 175
Quatrième de couverture : Wakaba rejoint finalement la Gesellschaft, une organisation internationale de mages. Elle espère ainsi progresser dans la maîtrise de ses nouveaux pouvoirs.
Mais dès sa première mission, elle tombe nez à nez avec le pire ennemi de la Gesellschaft, qui fait disparaître Chaperon Rouge.
Après avoir fini le second tome qui avait été une déception, je n’étais pas certaine d’acheter et de lire ce troisième tome. Pourtant, j’ai décidé de lui donner une chance et j’ai bien fait.
Lors de leur première mission pour la Gesellschaft, Wakaba et Noel tombe sur Senba, le chef de la fraternité. Il fait disparaître Chaperon Rouge et propose à sa contractante de rejoindre son groupuscule. Je ne me souviens plus exactement ce qu’il s’est passé tellement c’était peu marquant -_-
Bref, heureusement, Hoshikawa est là et se bat pour protéger les deux écuyères. Le combat est violent et ne tourne pas à l’avantage de la Gesellschaft.
La bataille était terrible ! Ça m’a beaucoup plu, j’y ai retrouvé l’ambiance du premier que j’avais tant aimé. Non seulement ça bougeait, mais c’était aussi super intéressant : ça m’a permis de réaliser l’intérêt des cartes d’armes et d’uniformes dessinés par leurs possesseurs. D’ailleurs, à ce sujet, Senba est un enfoiré, il est vicieux, c’est un truc de fou.
Après le combat, on retourne au quartier général de la Gesellschaft et le contraste était rude… je redoutais que ce soit à nouveau trop paramilitaire, et finalement non, c’était plus académique donc plus agréable. Et puis, les grimoires prennent à nouveau leur place dans le récit.
J’ai découvert le passé de Noel et ça me l’a rendue sympathique.
J’apprécie de plus en plus la relation entre Wakaba et Xhaperon Rouge, je suppose qu’elle deviendra encore plus intime par la suite.
Je n’ai pas pu profiter de cette lecture autant que je l’aurais souhaité parce que je suis restée sur mes gardes du début à la fin, redoutant une perte d’intérêt pour l’histoire. Ouf, ce n’était pas le cas ; j’ai aimé ce troisième tome.