Contes japonais – Miroslav Novák & Zlata Černá

Titre : Contes japonais
Auteurs : Miroslav Novák & Zlata Černá
Éditeur : Gründ
Nombre de pages : 199
Quatrième de couverture : Le présent recueil offre aux lecteurs de langue française les textes les plus représentatifs du trésor légendaire du Japon, comme par exemple : Momotaro, l’enfant des pêches (le conte japonais le plus populaire), Comment le blaireau et le renard se défièrent, Ourachima, Les neuf moines et Le vieillard qui faisait fleurir les arbres. Les illustrations de ce livre évoquent admirablement les paysages et les êtres du Japon.

Peu avant le confinement, je cherchais un recueil de contes japonais. J’avais acheté quelques livres sur le thème parce que j’avais besoin d’une base solide pour pouvoir continuer le manuscrit que j’écris à quatre main avec une amie (Qui me demanderez-vous ? Laure Allard-d’Adesky, si vous voulez tout savoir). En discutant bouquins avec des collègues, l’une d’entre elle a proposé de me prêter ce recueil qu’elle a depuis toute petite. Autant dire que j’ai sauté sur l’occasion.

Il est composé de 26 contes plus ou moins longs.
C’était bizarre et perturbant comme lecture. J’ai eu l’impression de lire des contes européens… Beaucoup m’ont fait penser à ceux de Hans Christian Andersen (que j’ai dans une collection semblable d’ailleurs), ceux que je lisais petite. Il est fort probable qu’ils aient été lissés pour convenir aux standards européens parce qu’on sent quand même bien la patte des années 70. Même les noms des personnages sont transformés, ainsi Urashima devient Ourachima- moi aussi, ça me laisse sans voix -_- .
Et j’en suis d’autant plus convaincue que depuis hier, j’ai entamé d’autres contes japonais publiés dans des romans plus récents et la version est totalement différente : l’accent est mis sur d’autres valeurs (plus proches de celles du Japon), l’ambiance est très asiatique, et même pas mal de fins sont différentes (je pense notamment à l’histoire d’Urashima pour ne citer que celle-ci).

Dans Contes japonais, je n’ai pas ressenti cette atmosphère toute nippone qui me plaît tellement.
Seuls les dessins, proches des estampes traditionnelles de par le character design des personnages, m’ont rappelé que cela se passait au pays du soleil levant.
J’avoue que je me suis un peu ennuyée tout au long de cette lecture et je me suis forcée à le finir.
Du coup, c’était assez moyen et je suis soulagée de l’avoir terminé.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Chourave (4ème année) : Un livre illustré (un livre avec quelques illustrations)40 points

Trilogie des gemmes, tome 1 : Rouge Rubis – Kerstin Gier

Titre : Rouge Rubis
Saga : Trilogie des gemmes, tome 1
Auteur : Kerstin Gier
Éditeur : France Loisirs
Nombre de pages : 348
Quatrième de couvertureElle est le Rubis, la douzième, l’ultime voyageuse. Avec elle, le Cercle est refermé, le secret est révélé. Un secret qui remonte à la nuit des temps.
Gwendolyn est une lycéenne comme les autres. Bon, d’accord, elle voit des fantômes dans les couloirs de son lycée, mais d’abord elle n’en voit qu’un, et puis personne n’est parfait. Pour le reste, c’est le grand ordinaire, avec des profs barbants, une mère exigeante, des frères et soeurs casse-pieds..
Mais lorsqu’elle se retrouve soudain projetée au début du siècle dernier, Gwendolyn panique. Ça ne dure pas très longtemps, mais quand même! Elle qui se croyait banale s’avère être marquée du sceau des veilleurs du temps. De ceux qui voyagent à travers les âges pour accomplir de mystérieuses missions.
De quoi sortir du train-train quotidien..

J’avoue que je ne m’attendais pas à ça… De toute façon, je ne m’attendais à rien en commençant cette lecture. J’ai eu la sensation par moment de me retrouver dans les Outrepasseurs donc c’était assez perturbant.

Gwendolyn vient d’une famille qui cache bon nombre de secrets et elle n’en connaît pas la moitié, mais elle sait que sa cousine Charlotte doit éminemment sous peu développer sa capacité à faire des bonds dans le passé. Malheureusement, rien ne se passe comme prévu et c’est Gwendolyn qui développe le gène et donc ce pouvoir (additionné à celui de parler à des fantômes). Du coup, elle se retrouve au milieu des plans élaborés par les Veilleurs sans préparation et sans rien y comprendre.

Le début de lecture était un peu laborieux. La plume de l’auteure fait beaucoup trop jeunesse, j’avais l’impression que dans ce récit à la première personne, l’héroïne n’avait pas plus de dix ans et non pas seize que ce soit dans sa façon de parler ou de réagir à certaines situations. Il y a aussi pas mal de répétitions, ce qui a freiné ma lecture, surtout dans la première moitié et par la suite, ça va mieux.

Il y a aussi un certain nombre de n’importe quoi dans le récit :
– Gwendolyn est née prématurée de deux mois pleins (naissance prévue en décembre, née début octobre). Sa mère a donc accouché à la maison avec une sage femme. Le lendemain de sa naissance, elle n’a été à l’hôpital que pour un petit contrôle avant de rentrer chez elle. Il aurait été bon que l’auteure se renseigne un minimum : prématurée de 2 mois, c’est couveuse d’office et pendant plusieurs jours voire même semaines parce que les poumons ne sont pas formés, même dans les années 90… mais pas là !
– Gwendolyn voit des fantômes et parlent avec eux. La mère est au courant (je ne me souviens pas si c’est aussi le cas des autres membres de la famille) et pas une seule fois, elle ne se dit que c’est peut-être le pouvoir caché de Rouge Rubis donc que sa fille est susceptible d’être le douzième voyageur et qu’il faudrait la préparer pour ses sauts dans le temps ? Ben non, c’est normal à notre époque de voir des fantômes.
– Les veilleurs envoient Gwendolyn dans le passé pour rencontrer le comte, sans aucune préparation (normal étant donné que le temps leur est compté), mais surtout sans lui avoir donné les règles qu’ils ont mis au point. Bien entendu, ne les connaissant pas, elle embarque son portable et est assez débile pour le sortir et montrer des photos de son époque. Bon, passons sur ce fait, elle n’a que 16 ans et un peu con puisqu’elle n’envisage pas les conséquences d’une telle bourde. Le grand n’importe quoi, c’est du côté des veilleurs ! Bon sang, à son âge, son portable est limite greffé à elle ! La laisser partir, même sous la surveillance de Gideon, sans l’avoir fouillée ou sans avoir vérifié que son portable est bien resté dans le présent, c’est de l’incompétence pure et dure !
Ce sont les plus gros soucis que j’ai repérés. S’il y en avait d’autres, ça ne m’a pas sauté aux yeux.

En ce qui concerne l’histoire en elle-même, y a du potentiel malgré une certaine prévisibilité. Quand j’arrivais à me plonger dans ma lecture sans être interrompue, je prenais du plaisir et j’avais même envie de connaître la suite.
Bref, c’était assez mal barré et loin d’être gagné pourtant j’ai aimé ce roman, et ce, malgré les détails cités ci-dessus qui m’ont fait grincer des dents.
Je pense que je lirai les prochains rien que pour avoir toutes les explications qui manquent à la fin de ce premier tome.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Occamy (Chasse aux animaux fantastiques) – Un livre avec le nom d’une pierre précieuse dans le titre40 points

Seuls, tome 10 : La machine à démourir – Bruno Gazzotti & Fabien Vehlmann

Titre : La machine à démourir
Saga : Seuls, tome 10
Auteur : Bruno Gazzotti & Fabien Vehlmann
Éditeur : Dupuis
Nombre de pages : 48
Quatrième de couverturePerdus dans la neige, Terry et le Maître des couteaux trouvent refuge dans un gigantesque hangar qui abrite le 5e Salon du jouet. Après avoir couru “partout comme un gros dingo pour tout essayer”, Terry a une illumination géniale : avec les moyens du bord et une bonne dose d’optimisme enfantin, il va tenter de construire une “machine à démourir” qui devrait leur permettre de quitter le Monde des Limbes et de retourner dans le monde des vivants. Mais l’apparition de Camille, qui offre au Maître des couteaux une mystérieuse pierre ensanglantée, va rendre ce dernier fou de rage. Et c’est à ce moment-là que Terry va vraiment regretter d’avoir offert une tronçonneuse comme cadeau de Noël à son ami amateur d’objets très tranchants… Loin de lui, ses amis vivent également des aventures éprouvantes : Dodji est toujours le jouet du Maître Fou qui lui fait vivre une initiation aussi absurde qu’impitoyable ; Yvan se retrouve en bord de mer dans la maison de vacances familiale ; Leïla est enfermée dans la chambre blanche pour un sommeil éternel et sans rêve…

Après des mois de recherche, j’ai enfin trouvé le dixième tome de Seuls à la médiathèque et j’avais complètement oublié que je l’avais depuis début mars.

Dans le neuf, si ma mémoire est bonne, le groupe avait quitté Neosalem, s’était réfugié dans un chalet mais avaient dû fuir, attaqués par les hommes d’Eloi. Malheureusement, ils se voient contraint de se séparer.
Dans ce tome-ci, Terry se retrouve avec le maître des couteaux qu’il appelle du charmant nom de Koupchou. Autant vous dire qu’entre les deux, il y a du level. Ils se retrouvent au cinquième salon du jouet et explorent volontiers les lieux. Ils s’amusent jusqu’à ce que Terry ait une idée lumineuse : utiliser les matériaux trouvés dans les différents stands pour fabriquer une machine à démourir. Tout se passe bien jusqu’à ce qu’une troisième personne les rejoigne et là, ça tourne au cauchemar.

L’intrigue avance très peu cette fois. On a bien quelques passages où l’on découvre ce que vit Dodji, mais pas suffisamment pour que ça soit passionnant. Dans l’ensemble, c’est surtout un interlude et le peu qu’on apprend sur les familles tient en deux pages.
Je me casse la tête depuis tout à l’heure pour savoir ce que je peux dire de plus et honnêtement, je ne vois pas. L’histoire parle d’elle-même, c’était sympa, mais sans plus. Je ne peux même pas dire que c’était dépaysant puisque Terry et le maître des couteaux sont “enfermés” dans le hall où ils ont trouvé refuge. Pourtant, ça aurait pu vu le décor que nous installe le cadet du groupe… à défaut, cela m’a fait sourire.
Malgré cela, c’était loin d’être déplaisant et j’ai passé un bon moment… sans plus.

Il était une fois, tome 3 : La princesse au petit pois – Eloisa James

Titre : La princesse au petit pois
Saga : Il était une fois, tome 3
Auteur : Eloisa James
Éditeur : J’ai Lu
Format : E-book
Nombre de pages : 375
Quatrième de couverturePar une nuit d’orage, Olivia Lytton frappe à la porte du duc de Sconce après que sa calèche a versé dans le fossé. Sublime apparition : ses longs cheveux dénoués ruissellent, sa robe trempée souligne des courbes somptueuses. Ébloui, Quin ne peut s’empêcher de lui voler un baiser. Lui le mathématicien de génie imperméable aux émotions s’embrase soudain pour cette femme au franc-parler déconcertant et au langage fleuri. Aurait-il enfin trouvé sa duchesse ? Mais n’est-il pas déjà fiancé ? À la sœur d’Olivia, très précisément ?

Comme vous pouvez le constater (ou pas) je lis très peu de romance principalement parce que cela n’affute pas mon imagination et que je m’y ennuie. Pourtant, parmi les rares romans lus de cette catégorie, j’aime bien la saga Il était une fois d’Eloisa James, du moins j’ai apprécié les deux premiers. Beaucoup moins celui-ci.

Olivia Lytton, jeune fille de bonne famille, a été élevée dans le but de devenir duchesse suite à un accord entre son père et le duc de Canterwick. Malheureusement, son fiancé est loin d’être ce qu’on attend d’un futur duc (émotif, rêveur, etc.). Quant à elle, elle n’est pas non plus aussi douce et classe qu’elle devrait l’être, elle est surtout en pleine rébellion, provocatrice dans l’âme faisant fi des bonnes manières. La sœur de l’héroïne, Georgianna a suivi le même apprentissage, mais contrairement à sa sœur, elle se montre parfaite. N’ayant aucun soupirant en raison de son manque de fortune familiale, le duc de Canterwick l’a pistonné auprès de la mère du duc de Sconce. J’avoue que l’histoire ne m’ayant pas plu tant que ça, je n’ai pas fait l’effort de retenir les noms.
Les deux sœurs Lytton sont donc invitées à venir passer quelques jours sur le domaine des Sconce, le but étant de tester Georgianna. Inutile de dire que le duc ne s’éprend pas de la bonne sœur…

L’histoire met beaucoup de temps à s(installer et l’auteure met l’accent sur les règles à suivre dans le beau monde anglais. J’ai trouvé ça long, pompeux et disons-le sans détour : chiant.
Peut-être au final que mon plus gros problème venait du personnage d’Olivia. Elle était assez fade, son côté provocateur me donnait envie de lui trancher la gorge pour la faire taire et ses plaintes constantes sur son physique étaient horripilantes à la longue. J’ai nettement préféré Georgianna qui, sous ses airs de fille parfaite, est bien plus maligne et intéressante qu’Olivia, mais je ne vais pas dire en quoi pour ne pas spoiler.

C’était une lecture assez moyenne dans l’ensemble. Je me suis ennuyée les 70 premiers pour cent, ça traînait en longueur. Et les 30 restants auraient pu être chouette, mais ça a été expédié et bien trop facile pour me plaire.
Bref, je suis un peu déçue.

Challenge Coupe des 4 maisons :
Saule cogneur (Item éphémère du 21/03 au 04/04) – Un livre avec des fleurs ou des plantes sur la couverture30 points

Bilan lecture du mois de mars 2020

Bilan de lectureUn mois plutôt moyen niveau lecture, pourtant, avec deux semaines de confinement, j’aurais pu espérer bien mieux… mais non ! Le temps de trouver le rythme avec les devoirs surtout…
J’ai lu 8 livres dont un que j’ai abandonné (1 BD, 1 manga et donc 6 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:


Gif heureux
J’ai aimé:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:

 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
J’ai détesté et abandonné:

On arrive donc à un total de 1790 pages (128 en BD, 192 en manga et donc 1470 pages en roman – je n’ai compté que les pages lues pour la lecture abandonnée).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 08/20

Challenge LEAF : 48/50

Challenge Coupe des 4 maisons : 40 items – 2155 points

Challenge Goodreads : 28/130

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 02/200


Actuellement, je lis :
Trilogie des gemmes, tome 1 : Rouge rubis
Kerstin Gier
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :