Star Wars 8 : les derniers jedis

Titre: Les derniers jedis
Saga: Star Wars 8
Réalisateur: Rian Johnson
Casting: Daisy Ridley, John Boyega, Oscar Isaac, Mark Hamill, Adam Driver, Carrie Fisher, Kelly Marie Tran,…
Durée: 2h32
Genre: Science-Fiction, action
Synopsis: Rey a rejoint Luke Skywalker et tente de le convaincre de reprendre du service et de rejoindre la résistance. Pendant ce temps-là, la rébellion est en fâcheuse posture.

A la base, je n’avais pas prévu d’aller le voir. Je comptais attendre qu’il sorte en DVD mais finalement, les événements ont fait que j’ai accompagné les enfants.
Je m’attendais à ce qu’il soit aussi inintéressant que le septième, il est quand même mieux. Je vais donner une critique rapide, il ne m’a pas plu au point de passer des heures à détailler mon avis.

J’en ai entendu beaucoup de mal :
– le fait que le réalisateur actuel a pris tout ce que le précédent a établi pour le jeter aux ordures – ce qui n’a pas plu. Le seul détail modifié qui m’a dérangée, c’est le passé de Rey. Un certain nombre d’événements ont quand même été maintenus : la mort de Han Solo, la blessure de Kylo Ren infligée par Rey, etc.

– le fait qu’il y ait plein d’innovations a tout autant déplu surtout aux puristes. Bref, il y aura toujours d’éternels mécontents. Personnellement, ça ne m’a pas gênée. Et j’ai trouvé que ce n’était pas particulièrement révolutionnaire : le passé des jedis et l’histoire de l’île où se terre Luke peut-être, mais pour le reste…
Y a pas mal de détails que j’ai appréciés comme notamment le lien entre Rey et Kylo Ren, le fait que de la Force au côté obscur il n’y a qu’un pas, que la peur mène aux Ténèbres, même si ce dernier point est sous-entendu et non dit clairement. Et j’en passe.

Visuellement, il était assez sympathique que ce soit les décors, les scènes de combats ou les animaux qui peuplent les différentes planètes.
Beaucoup l’ont trouvé drôle au point de le comparer aux gardiens de la galaxie… euh… non, on en est loin. Rien ne m’a fait rire ni moi, ni les enfants d’ailleurs. Seule ma fille a trouvé les petites créatures mignonnes mais là encore, sans plus.

Dans l’ensemble, ça s’est laissé regardé. Je n’ai pas vu les heures passer. Je l’ai préféré au 7 mais je l’ai nettement moins aimé que Rogue One.

Bilan Annuel 2017

Quelques chiffres :

En 2017, j’ai lu 101 ouvrages.
Le pire mois au niveau lecture fut septembre avec 3 livres.
C’est en décembre que j’ai lu le plus de bouquins avec 20.
Mon record en nombre de pages fut pour juin avec 3396 pages lues.
J’ai eu 15 coups de cœur dont 3 en mars et 3 en décembre.

En 2017, j’ai lu 18 livres de moins qu’en 2016. La raison en est simple, j’ai eu une panne de lecture qui a duré plusieurs mois.

Mes coups de cœur en image :

       

Mon bilan cinématographique :

Je n’ai chroniqué que 7 films en 2017.

Mes Challenges : Bilan

Challenge Rougon-Macquart : en 2016, j’étais arrivée à 07/20, j’espérais parvenir à 12 cette année, mais avec ma panne de lecture, j’ai perdu de vue l’objectif et n’ai pas bougé d’un iota. Je suis donc resté à 07/20, c’est faible.

Challenge LEAF : J’espérais atteindre les 25/50, histoire d’avancer un peu ; j’espérais donc en lire 10 de plus, finalement,j’en ai lu 15 de plus. Ainsi, j’en suis à 31/50.

Challenge Goodreads : J’avais prévu de lire 125 livres au cours de l’année 2017 puisque l’année dernière, j’en avais lu 119, c’était donc faisable ; malheureusement, c’était compter sans ma panne de lecture. Ce fut donc un échec puisque je n’en ai lu que 101 ouvrages.

La coupe des 4 maisons : un challenge basé que Harry Potter qui permet d’obtenir 70 items fixes. J’ai clos l’année précédente de janvier à juin avec 22 lectures et ainsi obtenu 1170 points pour la Maison Gryffondor. Mention : effort exceptionnel.
Cette année, j’ai renouvelé le challenge parce que les items ont changé. Il a commencé en septembre. Depuis le début, j’ai lu 20 livres et obtenu 945 points (dont 25 offert pour la fin du trimestre par ma ) pour la Maison Gryffondor – je garde ma maison ^_^.

Réduit ta PAL à néant : J’escomptais sortir 70 livres de ma PAL… J’ai réussi à en éradiquer 62… le souci, c’est qu’il y a quand même pas mal de bouquins qui se sont rajoutés au fur et à mesure… Du coup, ça n’a pas des masses descendu…

Mes challenges : Objectifs

Challenge Rougon-Macquart : Atteindre les 12/20 avant la fin d’année

Challenge LEAF : Atteindre les 40/50 avant la fin d’année

Challenge Goodreads : Atteindre les 110 livres lus cette année

Coupe des 4 maisons : Aucun objectif particulier pour ce challenge qui prendra fin en juin 2018.
Je continuerai à adapter mes lectures en fonction des items possibles.
Et surtout, je compte prendre autant de plaisir pour les deux prochains trimestres que l’an dernier m’en a procuré.

Réduit ta PAL à néantChallenge perso : Réduit ta PAL à néant (illimité)
Actuellement, ma PAL (Pile A Lire) est au nombre de 649 livres sur Livraddict (sachant que je n’ai pas tout compté puisque ma bibliothèque – qui n’est pas non plus à jour – contient 1238 ouvrages)
Bon, ne rêvons trop, même sans dormir, ni manger ni travailler, c’est impossible.
Objectif 2018 : 70 livres de ma PAL/110 lectures dans l’année.

Bilan lecture du mois de décembre 2017

Le mois de décembre fut chargé mais malgré cela, j’ai réussi à mener à bien mon Manège de l’Avent : un jour, une publication. Le résultat niveau lecture fut top et cela m’a fait énormément de bien ^_^
J’ai lu 20 livres (3 BDs, 3 manga, 1 comics, 4 albums et donc 9 livres).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:


Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:

Gif heureux
J’ai aimé:

Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a trop déçue:

On arrive donc à un total de 2388 pages (139 en BD, 576 en mangas, 133 en comics, 176 en album et 1364 en livres).

Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 07/20

Challenge LEAF : 31/50

Challenge Coupe des 4 maisons : 20 lectures – 945 points

Challenge Goodreads : 101/125

Challenge Réduit ta PAL à néant (illimité) : 62/70

Actuellement, je lis :
Artemis Fowl, tome 1
Eoin Colfer
(4%)

Candy Candy, tome 1 – Yumiko Igarashi & Kyoko Mizuki

Titre: Candy Candy, tome 1
Scénario: Yumiko Igarashi
Dessins: Kyoko Mizuki
Éditeur: Kodansha France
Nombre de pages: 190
Quatrième de couvertureLes aventures, les drames et les amours de Candy Neige, jeune orpheline américaine au début du XXeme siecle, de sa naissance à l’age adulte. Elevée dans la maison de Pony où elle passe son enfance en compagnie de son amie Annie, Candy a un tempérament trop prononcé et ne parvient pas à trouver une famille d’accueil. Tous ses amis la quitte peu à peu, mais lors de son 12eme anniversaire, elle est choisie pour devenir demoiselle de compagnie auprès des enfants de la famille Legrand, Elisa et Daniel, bien décidés à lui en faire voire de toute les couleurs. Candy va vivre un véritable enfer avec pour seul réconfort l’amour qu’elle porte pour leur cousin, Anthony, et celui pour le petit prince de la colline de son enfance…

Quand ce manga est sorti, il n’a pas fait grand bruit. On ne le trouvait pas dans les librairies, je le sais puisque j’en faisais le tour toutes les semaines. La première fois que je les ai vus, c’était en kiosque. J’en avais trouvé trois et encore, pas les premiers volumes puis impossible de mettre la main sur le reste de la saga. Ça m’a pris presque cinq ans pour les rassembler et j’ai trouvé le complément à Nancy, dans une petite librairie perdue au fin fond d’une cour.
J’avoue sans honte que j’étais fan de la série télé et que j’ai dû voir la série complète soit 115 épisodes.

Comme dans le dessin-animé, on découvre Candy Neige, un bébé abandonné devant l’orphelinat, la maison de Pony. Elle grandit auprès de sa meilleure amie, Annie, jusqu’à ce que cette dernière soit adoptée par une riche famille. Au début, les fillettes correspondent puis de moins en moins, jusqu’à la dernière lettre annonçant à l’héroïne que sa meilleure amie, redoutant que son passé ne ressurgisse, a pris la décision d’arrêter de lui écrire.
Candy est alors engagée comme demoiselle de compagnie d’Elisa dans la famille Legrand. Mais la petite peste ne voit pas les choses ainsi et elle et son son frère en font voir de toutes les couleurs à notre orpheline qui ne tient que grâce à l’amitié d’Anthony, d’Alistair et d’Archibald.
Ce premier tome nous retrace donc ces passages-ci allant de la naissance de Candy jusqu’à ce qu’elle soit accusée de vol et que madame Legrand décide de l’envoyer au Mexique. Affaire à suivre.

Honnêtement, la qualité de cette édition est déplorable : par moment, certaines planches sont quasiment effacées, à d’autres moment, l’encre bave tellement que les dialogues sont difficilement lisibles.
Et ne parlons même pas de la ponctuation qui est le plus souvent inexistante, rendant certaines discussions aussi incompréhensibles qu’étranges. Comme celle-ci, par exemple :. : « c’est
ça va
t’en Candy« 

Quant à l’histoire, elle est assez proche de celle du dessin animé avec cependant pas mal de détails qui divergent : le raton laveur Capucin n’est pas là, c’est bien Annie que ses nouveaux parents veulent adopter et non Candy qui refuse cette chance.
Y en a encore d’autres mais je ne vais pas tous les énumérer, d’autant que ça ne change pas foncièrement la trame de l’histoire.
Le récit est condensé ce qui est assez étrange quand on connaît la version dessin-animé mais ce n’est pas non plus particulièrement dérangeant.

Je trouve dommage que cette version papier soit de si mauvaise qualité d’autant que certaines planches sont vraiment chouettes, très shôjo dans l’âme, en un mot : très Candy. Elles auraient mérité une meilleure impression.
Quant à l’histoire, j’ai beau la connaître, je l’aime toujours autant… Nostalgie quand tu nous tiens !

Les sorcières de Kinvar, tome 1 : La sorcière aux poupées – Marie-Laure Junier

Titre: La sorcière aux poupées
Saga: Les sorcières de Kinvar, tome 1
Auteur: Marie-Laure Junier
Éditeur: Anyway Editions
Nombre de pages: 188
Quatrième de couverture: A neuf ans, Emily croit encore fermement aux contes de fées et s’imagine souvent dans des rôles de princesse aux pouvoirs incroyables. Alors, quand la réalité rattrape la fiction et que la fillette s’avère capable de parler avec quatre poupées de bois aux caractères si différents, elle découvre un monde bien plus surprenant que celui dont elle rêvait. Mais si les héros existent, il en est de même pour son flot de mauvaises sorcières, vampires ou loup-garous en tout genre. Et en grandissant, l’adolescente ne tarde pas à s’apercevoir qu’ils ne lui veulent pas que du bien, particulièrement quand elle cherche à explorer son passé.

J’avais déjà lu ce roman quand je faisais partie du comité de lecture d’Anyway mais ce fut un plaisir de le relire en version papier. Je n’ai donc plus eu la surprise de ce qui allait se passer puisque je le savais dans les grandes lignes, les détails me sont revenus au fur et à mesure de ma lecture tant ils furent marquants. Les souvenirs et sensations de ma première lecture me sont revenus au fil des pages, ce qui va grandement me faciliter la tâche quant à ma chronique.

La plume de l’auteure est particulièrement agréable : dès les premières pages, j’ai accroché.
C’est un premier tome introductif mais pas que : bien sûr, on suit Emily, une enfant de neuf ans qui vit avec ses parents jusqu’au jour où ils périssent dans un accident de voiture dont la fillette est la seule rescapée ; miracle qu’elle doit à l’une des quatre marionnettes que son père lui a acheté aux puces. A savoir qu’Emily parle à ces marionnettes, un secret qu’elle gardera un temps. L’héroïne se retrouve donc chez une grand-mère qu’elle ne connaît pas et n’a jamais rencontrée. Elle est la matriarche de la congrégation des sorcières de Kinvar et vit avec sa fille, Lydia, et sa petite-fille, Charlotte qui devient rapidement amie avec Emily.
Le contexte aurait été idéal pour introduire progressivement les informations grâce à Emily mais il n’en est rien. L’auteure a opté pour commencer ses chapitres en distillant un rapide topo sur ce que le lecteur a besoin de savoir principalement sur les sorcières, ce qui est bien joué, ainsi, une partie des réponses d’ordre pratiques nous est révélée et on peut se concentrer totalement sur la vie de notre jeune orpheline qui grandit, change et se forge son caractère. Cela nous permet de nous attacher à elle aussi bien qu’à Charlotte que j’ai également beaucoup aimé.

Le récit d’Emily nous est conté de manière fluide ce qui ne devait pas être évident parce que l’histoire est loin d’être simple ; pourtant, on se laisse porter par les mots mais également par l’intrigue qui est vraiment bien ficelée et extrêmement prenante.
Comme je le disais plus haut, ce n’est pas qu’un tome introductif, l’auteure pose donc les bases de son histoire mais fait également avancer le scénario, une narration qui a son lot de surprise et de suspens.
L’ayant commencé en période de fêtes, il m’a été difficile de le lire rapidement et c’était frustrant de devoir organiser mon emploi du temps pour me libérer dix minutes de-ci de-là alors que j’aurais aimé passer plusieurs heures de suite dessus, comme ce fut le cas hier soir.

Ça a été un coup de cœur pour ce premier tome des Sorcières de Kinvar et j’ai hâte de (re)lire le second que je vais commander cet après-midi ^_^

Challenge Coupe des 4 maisons :
2ème année : Retourneur de temps – un livre édité l’année dernière (9 décembre 2016) –  20 points