Yaplubobo, la courageuse petite ambulance – Claire Clément & Mari Torigoe

Titre: Yaplubobo, la courageuse petite ambulance
Auteure: Claire Clément
Illustratrice: Mari Torigoe
Éditeur: Bayard
Nombre de pages: 20
Quatrième de couverture:
Yaplubobo est une gentille ambulance qui aime aider les autres. Alors, quand le loup entre et prend le volant, elle est bien décidée à tout faire pour l’empêcher d’aller dévorer les animaux qu’elle doit soigner…

Ce mois-ci, j’ai choisi de mettre en place le thème des véhicules. Pour le bricolage, c’est un peu compliqué en raison des vacances, mais j’ai quand même réussi à maintenir les lectures. J’ai trouvé quelques pépites et voici la première.

Yaplubobo est une petite ambulance qui adore son métier. Mais dans cet album, le brouillard l’empêche de rouler. Lorsqu’elle s’arrête, le vilain loup grimpe sur le siège conducteur et c’est lui qui est aux commandes. Enfin, c’est ce qu’il croit, mais c’est sans compter le désir de Yaplubobo de protéger ses malades des mauvaises intentions du loup. Donc elle lui met des bâtons dans les roues.

L’histoire est sympathique, les illustrations assez simples. Le gros point fort pour moi, c’est le texte qui permet d’être lu de manière dynamique et c’est ce qu’on fait. Ce n’est pas la raison première qui m’a poussée à choisir cet album en lecture quotidienne pour les loulous. Alors pourquoi ? Parce que la première fois que je l’ai lu, j’ai vu le sourire des petits se dessiner au fil des pages et des bruitages que fait Yaplubobo. Et maintenant, chaque fois que je l’ouvre, ils se montrent enthousiastes.
De mon côté, sachant que cette lecture les enchante, je prends beaucoup de plaisir à prendre une voix rauque pour imiter le loup, ou pour faire les bruitages de l’ambulance. J’adore répéter à toute vitesse les “Chlic Chlac” des essuie-glaces mais surtout chanter les “Ta lala ! Me voilà !” de la sirène.

Bref, on s’éclate lors de cette lecture. Ça me fait adorer cet album.

Pourquoi il ne faut pas tuer (tout de suite) son voisin – Fanny Bernard & Laure Allard-d’Adesky

Titre: Pourquoi il ne faut pas tuer (tout de suite) son voisin
Auteures: Fanny Bernard & Laure Allard-d’Adesky
Éditeur: Harlequin
Nombre de pages: 177
Quatrième de couvertureChère voisine, je vous rappelle que vous ne vivez pas seule dans cet immeuble.
Le voisin est un être râleur, intolérant et, dans le pire des cas, aigri : c’est un fait avéré et bien connu de tous. Le nouveau voisin de Sylvie, lui, est un spécimen particulièrement désagréable. Resté à l’état sauvage, cet individu n’a visiblement jamais appris les bases élémentaires de tout être civilisé. Déjà, il communique avec elle par lettres alors qu’un seul étage les sépare. Ensuite, il la traite de pachyderme et propose de lui offrir en cadeau de bienvenue… une paire de charentaises. Ça tombe bien, car Sylvie n’est pas vraiment une voisine comme les autres elle non plus…

J’ai eu la chance de gagner ce roman lors d’un concours organisé sur la page Facebook par les deux auteures, Laure Allard-d’Adesky et Fanny Bernard, et je les remercie chaleureusement parce que cette lecture tombait à point nommé dans une période un peu rude pour moi et cela m’a fait beaucoup de bien de pouvoir m’évader avec les deux héros.

Sylvie et Henri sont voisins. Il a 45 ans et vit de sa passion : l’écriture. Il est dérangé par les habitudes de sa voisine du dessus : elle marche en talon haut et écoute Luis Mariano bien trop fort à son goût donc il lui écrit une lettre bien sentie. Elle en a 51 et travaille dans un bureau d’audit. Elle répond à son courrier de manière provocatrice. S’en suit alors une correspondance entre les deux jusqu’au jour où d’autres personnes s’en mêlent.

J’ai vu passer un certain nombre de chroniques depuis qu’il est sorti, qui m’ont fait penser que c’était un roman purement épistolaire. C’est loin d’être le cas, les lettres sont en effet le fil conducteur de l’histoire, mais j’ai été agréablement surprise de découvrir beaucoup de passages narratifs ce qui m’a permis non seulement de m’attacher plus facilement aux personnages, mais de ne pas avoir à m’interroger sur la part de vérité dans leurs écrits.

Le début est plutôt calme, ce qui est normal pour pouvoir planter au mieux le décor. C’était plaisant et reposant, mais loin d’être captivant. Par contre, du moment où des personnages secondaires comme Bénédicte interviennent, le roman devient passionnant au point que j’ai eu du mal à m’arrêter.
C’est aussi à partir de là que Henri part à Dakar afin de retrouver ses racines et de terminer le livre qu’il écrit. J’ai adoré cette partie que j’ai trouvée particulièrement dépaysante. Je m’y serai cru, on sent que derrière, il y a du vécu de la part des auteures et c’est un des gros point fort de cette lecture.

Si j’ai aimé la première moitié de ce roman, c’est rien à côté de ce que j’ai ressenti dans la seconde moitié. J’ai adoré ce roman, et le fait qu’au fil des pages il devient de mieux en mieux a beaucoup joué sur mon ressenti.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Élixir d’euphorie (Potions – 2ème année) – Un livre qui se termine en happy-end – 20 points

Il prononcera ton nom – Florian Eglin

Titre: Il prononcera ton nom
Auteur: Florian Eglin
Éditeur: La Baconnière
Nombre de pages: 128
Quatrième de couvertureCe récit dur et grotesque met en scène un couple d’adolescents aux prises avec une grossesse involontaire. Alors qu’elle souhaite le garder, lui, par crainte de sa famille, veut s’en débarrasser.
Empruntant à la mise en scène théâtrale, le roman explore en huis clos la relation étouffante du jeune couple – entre l’égoïsme cru de Stephen et la défense naïve d’Alexandra – accompagné de Kevin, meilleur ami du garçon qui brille par sa couardise et Luc, guide spirituel sinuant entre crétinerie et cynisme.
Mais comme souvent chez l’auteur, le grotesque et la violence «pour rire» du propos recouvrent un discours humaniste qui explore des problématiques essentielles : les points de vue adolescents sur la maternité; les violences en jeu dans un rapport amoureux; les sentiments de lâcheté, de bêtise et d’abnégation.
Truffé d’éléments et de dialogues improbables, ce texte semble surgir du théâtre surréaliste comme une réponse lointaine au Désir attrapé par la queue de Picasso.

Je remercie avant tout la Masse Critique Babelio et les éditions de la Baconnière pour la confiance qu’il m’ont accordée.

Comme le stipule le résumé, l’histoire est celle d’Alexandra, une adolescente de 14 ans enceinte, qui souhaite garder l’enfant qu’elle garde et Stephen, père du fœtus, qui veut qu’elle avorte. C’est un huis-clos sous forme de théâtre.
Le récit est en effet grotesque, une impression renforcée par les jeux des kuroko, vous savez les machinistes vêtus de noirs qui aident sans être vus. Par contre, dire qu’il est dur est limite un euphémisme. Ce fut une lecture éprouvante, évidemment, le thème joue beaucoup mais ce sont surtout les personnages masculins qui l’ont rendue atroce : ils sont à vomir.

Alexandra est jeune et naïve, elle est partagée entre le désir de garder ce bébé et ce que lui dicte sa raison, s’en séparer. Et c’est parfaitement compréhensible.
Mais Stephen est ignoble. Non seulement il impose sa volonté de se débarrasser du fœtus à sa petite copine sans l’écouter une seule seconde, mais il refuse de payer pour et pire que tout, rejette la faute sur Alexandra, comme s’il n’avait pas trempé sa nouille et si elle l’avait fait seule cet enfant. Et je passe les détails les plus monstrueux.
Son pote Kevin est super effacé, à la botte de Stephen. Il a bien quelques soubresauts de raison, un vague espoir, mais est trop lâche pour faire quoi que ce soit.
Et la palme va à Luc… Je n’ai pas de mots pour le décrire.
À côté de cela, on a la voix OFF, qui prend clairement le parti de la jeune fille et ça fait du bien, malheureusement ses interventions ne changent rien au cours des événements.
Et les didascalies qui sont davantage des réflexions que des indications de décor ou de jeu d’acteur. Elles sont très nombreuses et très longues pour le coup. Dans ses discours, tout le monde s’en prend plein la tête, personne n’est épargné pas même le spectateur. J’ai particulièrement aimé les fois où il liste les effigies : des femmes imaginaires ou réelles qui ont toutes réalisé quelque chose que ce soit Médée, Calamity Jane ou Sarah Connor.

Jusqu’à la fin, je n’étais pas certaine d’aimer cette lecture. J’étais partagée entre dégoût et fascination. Une seule chose est sûre, je ne suis pas sortie indemne de ce récit qui m’a malmenée : c’était sombre, douloureux. Maintenant que c’est derrière moi, je peux dire que j’ai adoré.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Remède contre les furoncles (Potions – 1ère année) – Un livre dont le héros est un adolescent (entre 13 et 17 ans) – 10 points

 

Art en mots : romances – Collectif

Titre: Art en mots : romances
Auteur: Collectif
Éditeur: Art en mots
Format: E-book
Nombre de pages: 118
Quatrième de couverture15 nouvelles de romance à lire pour la bonne cause !
Quinze auteurs d’une même maison d’édition, Art en Mots, se sont associés pour écrire un recueil de romance. Toutes les ventes, dans leurs intégralités seront reversées à l’association Sekolin’Ny Masoandro.
Découvrez sans plus attendre un recueil de nouvelles de romance, plus passionnantes les unes que les autres, et participez à une belle action !

Avant toute chose, je tiens à remercier chaleureusement les éditions art en mots qui m’ont offert la chance de découvrir ce sympathique recueil. Comme l’indique la quatrième de couverture ci-dessus, cet e-book est vendu au profit de l’association humanitaire Sekolin’Ny Masoandro qui lutte contre la pauvreté à Madasgascar.

La photo de Nelly Topscher : quand un artiste trouve la muse à travers une femme et se laisse emporter…
Une entrée en matière sympathique pour cette anthologie. J’ai bien aimé cette nouvelle, plus que le thème c’est la façon dont est amenée une fin inéluctable qui m’a plu.
Il suffit d’une soirée… De Virginie Cailleux : Hayden déprime parce qu’il a rompu avec sa copine. Ses amis le pousse à sortir avec eux, ce qu’il fait. C’est alors qu’il flash sur une nana…
Une histoire sans surprise qui s’est laissé lire.
Parier n’est pas gagné ! de Emy Lie : Titia est boxeuse et s’entraîne dans une salle, seule avec un collègue. Ils se charrient et en viennent à parier sur leur propre victoire s’ils s’affrontent. Chaque coup reçu entraîne un gage. Bien entendu, ça ne s’arrête pas au striptease.
Le langage oral est un peu trop utilisé à mon goût dans la narration. L’histoire en elle-même avait un petit côté émoustillant malgré une fin que j’ai trouvé dérangeante, la réaction de l’héroïne m’a déplu faceà une scène déplaisante au possible. Et quelques incohérences m’ont fait sourire : enlever ses vêtements avec des gants de boxe comme si de rien n’était, bof… Quand Call glisse ses mains sous ses habits, pourtant il a encore ses gants qu’il enlève après, d’ailleurs. Malgré tout cela, j’ai bien aimé ce récit.
Noir divin de Licora L. : le narrateur participe à une soirée spéciale, un moment d’amour dans le noir total avec une inconnue. Une seule règle, ne pas se parler.
L’histoire a un fort côté érotique, alternant entre passages subtils et description un peu plus précise. J’ai bien aimé mais la fin est ouverte ce qui me dérange toujours.
Luxure de Octavie Demanne : Tina, secrétaire pour le beau Carlson, en a marre de le voir se taper ses clientes alors qu’il lui plaît. Elle décide d’en faire autant.
Ça s’est laissé lire, sans plus. L’histoire manquait de surprise et de subtilité.
Rendez-vous de Alexandra LP : la narratrice, Lycia, revient au bout de vingt ans sur les lieux de son premier amour, évoquant des bribes de sa vie depuis. Son ancien amoureux sera-t-il au rendez-vous ?
J’ai adoré cette nouvelle. Elle relate toute une vie de joie, de regrets, d’actes manqués. Elle sonne juste sans être pour autant moralisatrice.
Peinture vive de Emmanuel Starck : David achète une toile sui le fascine et sur laquelle sont peints les ébats d’un homme et d’une femme. Une nuit, il s’endort et rêve que la femme sort de la peinture et lui fait l’amour.
J’ai adoré cette nouvelle. Le déroulé de l’histoire est assez prévisible, pourtant, j’ai trouvé cela intéressant. Une bonne partie du récit est tourné vers David, mais dans les derniers paragraphes, on a le point de vue de la femme et j’ai trouvé ça déroutant. Par contre, j’ai grandement apprécié la chute dans la dernière phrase qui fait entrevoir d’un autre œil l’histoire.
Rachel de Clara Rewak : le narrateur tient un bar de nuit un peu spécial avec une clientèle VIP. Au premier regard, il s’est épris d’un de ses danseuse.
J’ai apprécié l’atmosphère de cette nouvelle. Je trouve cependant que le bar manquait de description, j’aurais aimé plus de détails sur le lieu et moins d’allusions. Pendant toute la nouvelle, je me suis posée la question quant au sexe du narrateur, il m’a semblé savoir au début puis j’ai eu un doute et j’ai dû attendre la fin pour savoir.
L’amour imprévu de Laure Allard-d’Adesky : Aurore pleure. Comme ses amies l’avaient prédit, son petit copain l’a rendue malheureuse. Un moment douloureux qui permet à l’héroïne de revenir sur leur rencontre dans le métro et les moments heureux.
J’ai trouvé que cette nouvelle contrastait agreablement avec les précédentes. Pas de sexe, mais pour autant, des moments d’intimités forts : les espoirs et les rêves qu’on met dans une relation. Un récit un peu trop court à mon goût, j’en aurais redemandé de cette atmosphère apaisante. Un texte qui m’a émue, une excellente surprise et surtout un gros coup de cœur.
Te revoir de Karolyne C. : Jenna se rend à sa réunion d’anciens élèves. Elle est mariée et a deux enfants, mais elle espère tenir sa promesse vieille de vingt ans et retrouver James, son ancien amoureux.
Je n’ai pas cru à cette histoire, peut-être parce que l’auteure brosse un portrait de vie de famille heureuse… Alors pourquoi aller chercher l’aventure ailleurs si tout se passe bien ? Les regrets de ne pas être allé au bout de son histoire d’amour avec James ? Les premières années, pourquoi pas, mais au bout de 20 ans, surtout si on est bien dans son mariage… C’était prévisible étant donné que dès le début on connaît l’intention de Jenna. Ça s’est laissé lire, sans plus.
Menthe à l’eau de Orell Seewalt : Fanny décide de se venger de sa patronne qui l’a lise à pied. Elle nous relate son histoire pleine de fougue, comment elle en est arrivée à cette extrémité et on finit en apothéose avec le châtiment infligé.
Je n’ai pas accroché à cette nouvelle. Ce n’est pas l’histoire qui m’a bloqué mais le style d’écriture de l’auteur : trop familier, trop brut.
LAS VEGAS, BABY ! de Hélène Caruso : Nell et Paige sont amies, mais bien différentes l’une de l’autre. L’une est brune et d’un milieu mideste, l’autre blonde et pétée de thune. Elles décident de partir en vacances à Las Vegas, séjour payé par Paige. Nell, fascinée par son amie, s’embarque dans l’aventure.
Là encore un récit à la première personne avec son lot de familiarité, mais nettement moins que la précédente ce que j’ai apprécié. Rien ne laisse soupçonner la fin, la virée aurait pu être moins gentille. J’ai quand même bien aimé cette nouvelle.
Nuit magique de Sophie Leseure : Mel reçoit un coup de fil de son amie Celya. Cette dernière vient de rompre avec son petit copain. Les deux femmes se retrouvent chez Mel.
Je ne m’attendais pas à ce que cette nouvelle soit si courte. Pas davantage à ce qui se passe entre les deux héroïnes. C’était plaisant à lire, mais la scène a été amenée beaucoup trop brusquement, c’est dommage parce qu’une telle découverte aurait mérité un préambule plus lascif.
I’M SORRY, SO SORRY de Amandine Ré : Maya revient sur sa relation amoureuse avec Lloyd, relation pleine de secret et de jalousie qui s’est terminée trois jours auparavant.
Autant j’ai adoré le début quand l’héroïne nous parle de la manière dont la situation a progressivement basculé avec ses doutes, ses interrogations, autant j’ai détesté la fin avec la réapparition de Lloyd dont ke discours est plat et inintéressant.
Pour le meilleur et pour le pire… et le rire de Marion Fenice : Laura est mariée depuis 10 ans à Benoît et depuis qu’ils ont leur second enfant, leur vie sexuelle en pâtit. Elle décide donc de pimenter les choses en prenant des cours de bondage pendant 6 mois. Passé ce délai, elle décide de se lancer et achète des cordes au magasin de bricolage.
Cette nouvelle m’a mise en joie et j’ai beaucoup ri. J’ai ri avant la fameuse soirée en pressentant la catastrophe et comme ça n’a pas loupé, j’ai ri pendant. C’est un coup de cœur pour cette nouvelle.

Un recueil qui regroupe quinze nouvelles, différentes de par leur thème mais également par leur style, aussi plaisante que rapide à lire. Bref, il y en a pour tous les goûts. Comme c’est souvent le cas dans ce genre de lecture, j’ai préféré certains textes à d’autres, mais aucun ne m’a rebuté. J’ai passé un bon moment, j’ai bien aimé cet e-book.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Beedle le barde (Histoire de la magie – 1ère année relecture) – Un recueil de conte ou de nouvelle – 5 points

Bilan lecture du mois de janvier 2019

Bilan de lectureJe ne suis pas satisfaite de ce mois au niveau lecture.
J’ai lu 13 livres (4 albums, 3 mangas et donc 4 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:


Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:


Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Je n’ai pas aimé:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a trop déçue:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
J’ai détesté:

On arrive donc à un total de 1778 pages (244 en albums, 528 en mangas et donc 1006 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 08/20

Challenge LEAF : 44/50

Challenge Tournoi des 3 Sorciers : 24 lectures – 1365 points

Cold Winter Challenge : 4 / 8 lectures

Challenge Goodreads : 13/110

Challenge Réduit ta PAL à néant (illimité) : 03/70


Actuellement, je lis :
Art en mots : romances
Collectif
(75%)


Actuellement, je joue sur PC à :