Calendrier de l’Avent

Et voilà, demain commence le premier décembre… Même si dans beaucoup de villes les festivités ont commencé depuis le week end dernier, pour les petits nenfants, c’est maintenant que ca commence avec le petit chocolat du calendrier de l’Avent. Il y a deux ans, j’en avais fait un via mon site et j’avais trouvé ça drôle et sympa à faire, mais dommage, comme c’était l’ancienne version, cela ne l’a pas conservé, donc cette année, je recommence.

Donc cliquez sur les images, une petite surprise vous y attends… ou pas ^^

Saint Martin 2010

C’est ce soir la St Martin
Nous allons chanter un brin
Pour fêter cet homme
Donnez-nous une pomme
Pomme et poire et bon raisin
Donnez-nous un peu de pain


Un mois de fête commence, d’ailleurs, j’ai fait ce que j’ai pu pour mettre au goût du jour mon site ^^. Commençons de suite par la St Martin:

Je sais que ce n’est pas vraiment ce soir la St Martin, et qu’elle se fête davantage aux alentours du 15 novembre, mais c’est pourtant la date qu’à choisit l’école pour la fêter. Les enfants ont appris leurs chansons, et ce soir, nous paraderons dans la cour au feu des lanternes que les petiots ont fabriqué de leurs petits doigts de jeunes bricoleurs, puis nous partagerons un goûter entre parents.

Les enfants ont appris la légende  de St Martin et nous la racontent ainsi: St Martin il a coupé sa cape en deux et il en a donné un bout à un homme qui avait froid! Bref, le symbole du partage et de l’amitié. Et si l’on se demande pourquoi ne pas avoir donné sa cape entièrement, c’est parce qu’elle faisait partie de son uniforme romain dont il a payé la moitié et aurait été accusé de détourner les deniers publics. Il lui a donc donné la moitié qui lui appartenait… C’est louable ^^

Je remettrai probablement cet article là à jour ce soir ^^

Lanterne, Lanterne,
Lune, étoile, soleil
Brûle ma lanterne
Brûle ma lanterne
Mais ne brûle pas mon lampion chéri.

Laterne, Laterne
Sonne, Mond und Sterne
Brenne auf, mein Licht
Brenne auf, mein Licht
Aber nur meine liebe Laterne nicht

Croyance

Tout le monde croit en quelque chose… jusque là, tout est normal, voire même évident… Malheureusement, beaucoup pour de mauvaises raisons. La foi désintéressée existe-t’elle vraiment? Il y a souvent de quoi en douter. Mais ceci est un autre sujet… que je pourrai certes développer, mais, présentement, l’envie m’en manque… Bref, j’ai pensé toute la matinée à cela.

Pour ma part, je crois en Dieu… J’ai eu beaucoup de mal à l’admettre et maintenant encore, c’est loin d’être facile, mais je dois bien me rendre à l’évidence: j’y crois! Ma foi est et reste très humble: je crois en une force supérieure, peu importe le nom qu’on lui donne, dans ma religion, c’est Dieu, alors gardons ce nom, même s’il reste synonyme de grosse connerie. Je trouve la religion et tout ce qui tourne autour ridicule. En réalité, c’est ce que l’homme en a fait que j’ai du mal à admettre: chaque fois que je vois un film ou une série américaine ayant pour fond Dieu ou la religion, ça me file des boutons! Ils en ont fait une croyance mielleuse pleine de nunucherie en tout genre… Une véritable mascarade.

Lorsque j’étais plus jeune, et que je voulais quelque chose d’important ou moins, je priais Dieu, il n’était qu’un moyen comme un autre d’arriver à mes fins, d’attirer la chance et toutes les forces supérieures à moi. Maintenant, c’est beaucoup plus ténu: quand je regarde ma vie, je me rends compte que tout au long, j’ai toujours eu énormément de chance, même si, comme tout le monde, il y a des semaines ou on se dit qu’on est maudit… Mais quoiqu’il en soit, pour les choses réellement importantes, la chance est avec moi… J’y crois, mais je ne lui demande plus rien en retour… Pourquoi ce changement si tardif? Peut-être que lorsqu’on a perdu un être cher, on a davantage envie d’y croire, de croire que ceux qui sont partis sont bien là ou ils sont, et ou mieux qu’au paradis peuvent-il être, près d’un dieu tout puissant, présent pour leur âme et pour ceux qu’ils ont laissé derrière eux? Cette façon de voir les choses est peut-être d’une niaiserie à pleurer… Mais… tant que ça me permets de me sentir mieux… Ou est le mal?

Et toi? A quoi tu crois?

L’alchimiste

J’ai fini il y a deux soirs l’alchimiste de Paulo Coelho. J’ai un peu trainé sur ce bouquin alors qu’il me plaisait bien pour la simple et bonne raison que je ne le lisais que dans mon bain, sachant que je n’en prends pas souvent… Bref, passons au choses sérieuses: c’est un livre qui se lit bien, qui est distrayant. j’ai beaucoup aimé le début, mais la fin nettement moins, le coup du je dialogue avec le Vent et le Soleil… Bof… non pas que le fait de parler avec les éléments n’auraient pas pu être intéressant, mais c’est surtout que le dialogue était assez insignifiant… Mais malgré cela, j’en garderai un bon souvenir: le périple du berger jusqu’à son départ de l’oasis m’a vraiment plût…

Résumé: Santiago, un jeune berger andalou, suite aux conseils d’un roi légendaire, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides. Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve. Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.

De l’autre côté du lit – Alix Girod-De-l’Ain

Après des semaines à ne plus vraiment lire, j’ai pris la bonne résolution de finir tous les livres que j’ai commencé tout au long de cette année et abandonné sans véritable raison. Après avoir fini la trilogie d’Hervé Bazin, je me suis attelé à un livre commencé fin de l’été lorsque je suis allée sur Paris et qui me semblait aussi frais que sympathique. Et en effet, j’ai beaucoup apprécié, surtout au début, c’était drôle, facile à lire et bien agréable. Mais je me suis vite rendue compte que ce genre de bouquin, je n’apprécie que moyennement sur une longue durée. Même si c’est frais, sympathique et qu’on voit clairement que l’auteur connait relativement son sujet, je préfère un ton plus soutenu dans l’écriture… d’autant que même si je n’ai eu aucun mal à me reconnaître par moment, à m’amuser de toutes les références que l’auteur à utilisé, ou à reconnaître bon nombre de couples, ça reste quand même très stéréotypé… trop, je dirai! Mais malgré cela, la touche finale est quand même positive.

Résumé: Monsieur part le matin diriger sa grosse entreprise de matériel de chantier, madame travaille à mi-temps et s’occupe des enfants. Pourquoi comme ci et pas comme ça ? Ariane et Hugo, lassés du traintrain quotidien, ont relevé le défi : ils ont échangé leurs vies pour un an. La compréhension entre les sexes pourra-t-elle naître de la confusion des genres ?