Harry Potter à l’école des sorciers – J.K. Rowling

Harry Potter à l'école des sorciers - J.K. RowlingTitre: Harry Potter à l’école des sorciers
Saga: Harry Potter, tome 1
Auteur: J.K. Rowling
Éditeur: Folio Junior
Nombre de pages: 302
Quatrième de couverture: Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l’emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry se révèle un sorcier doué. Mais quel est le mystère qui l’entoure ? Et qui est l’effroyable V…, le mage dont personne n’ose prononcer le nom ? Amitié, surprises, dangers, scènes comiques, Harry découvre ses pouvoirs et la vie à Poudlard. Le premier tome des aventures du jeune héros vous ensorcelle aussitôt !

Je ne relis pas souvent de livres, j’estime qu’il y en a beaucoup trop à découvrir pour perdre ne serait-ce que 2 jours à relire un bouquin… exception faite des Harry Potter.
Pendant longtemps, j’ai refusé de lire cette saga uniquement parce qu’elle avait du succès –je déteste faire comme les autres… Et puis le film est sorti… Grrrrr ! Plus le choix. Lorsque je l’ai lu, il me semble que le 5ème venait de sortir ; j’ai donc pu lire un paquet de volumes à la suite –Quel bonheur ! Et puis, à chaque nouveau tome, je relisais la série. Lorsque le 7 est paru en anglais, ma maman m’a acheté la saga dans la langue de Shakespeare et j’ai tout lu jusqu’au dernier tome… je ne suis pas hyper douée en anglais –surtout à l’oral en fait– mais lire dans cette langue ne m’a pas posé trop de soucis : je redoutais grandement les jeux de mots sur les noms des personnages ou des objets (genre Londubat/Longbottom ; Poudlard/Hogwart ; Velane/Veela ; Choixpeau magique/Sorting hat ; etc…) mais je m’en suis bien sortie et j’ai pris autant de plaisir à cette lecture que si cela avait été en français. Étonnant !
La raison qui me pousse à les relire : déjà, j’ai revu certains des films avec mes enfants ce qui réveille toujours l’envie de rouvrir les bouquins et cela fait un moment que j’ai envie de le faire juste pour pouvoir les commenter sur mon blog. C’est parti !

Bref, ceci est ma quatrième relecture de Harry Potter à l’école des sorciers. Contrairement à la première fois où les premiers chapitres m’ont paru longs, j’ai profité de chaque moment passé avec les Dursley ; et même en sachant ce qui va se passer ensuite, cette famille de Moldu reste parfaitement atroce et ça reste stressant de lire les infamies qu’ils font subir à ce pauvre gamin de 11 ans qui n’a rien demandé. Une fois qu’Hagrid arrive, les pages défilent à une vitesse incroyable et devoir s’arrêter reste tout aussi dur que la première fois… frustration, maux de tête, etc… comme les fois d’avant en fait… ce n’est peut-être pas très sain de les relire, finalement…
Ça se lit tellement bien qu’il ne m’a fallut que 3 jours (même si le second ne compte pas vraiment en réalité, je n’ai eu que 10 minutes pour lire de toute la journée) pour terminer les 302 pages qui composent cette épopée.

Harry Potter and the Philosopher's StoneSi l’on exclut une écriture agréable et fluide, aussi bien faite pour les adultes que pour les jeunes entre les jeux de mots, les sarcasmes dans certaines paroles (sur certains, j’ai beaucoup ri… encore… pour d’autres, seulement souri… je ne m’en plaindrai pas), les personnages sont pour la plupart très travaillés. Bon, certains sont à la limite du caricatural genre Hermione élève modèle, énervante au début, et travailleuse, Neville gamin maladroit et gaffeur, Malefoy bête –au moins pas très malin– et méchant, ne parlons pas de Crabbe et Goyle, etc…
Habituellement, je n’aime pas les personnages principaux ; pour ce tome, ça passe… après tout, ce sont des enfants, ils ont des réactions d’enfants : curieux, parfois téméraires, inconséquents, etc…
J’aime particulièrement les personnages secondaires : si beaucoup adorent Dumbledore parce qu’il semble être le pédagogue parfait, je préfère nettement la sévère mais juste McGonagall qui a un cœur gros comme ça sous sa carapace ou l’impitoyable mais tellement humain professeur Rogue qui fait le coupable idéal –oui, je l’adore, lui, il est horrible mais au final, on sent qu’il se déteste tout autant qu’il déteste Harry Potter.

Je parlerai volontiers du monde des sorciers mais il y a énormément de chose à en dire. Il est, par contre, bon de préciser qu’on y entre tout en douceur : Harry Potter ayant été élevé par les Moldus, il ne connait rien de ce monde, non pas que son oncle et sa tante ignorait son existence mais étant donné qu’ils détestent tout ce qui ne parait pas normal, ils ont caché à leur neveu ses origines. Du coup, on découvre les sorciers en même temps que le personnage principal, on découvre sur le Chemin de Traverse simultanément et les explications données tout au long du livre sont les bienvenues et ne surgissent pas comme un cheveu sur la soupe. C’est donc une introduction parfaite dans ce monde sans pour autant tout nous en dévoiler, parfait !

Je crois que j’ai fait le tour, même si j’aurai pu en parler pendant encore des heures et des heures, il va falloir en laisser pour les prochains ^_^
Même si ça n’est pas mon préféré, j’ai adoré ce premier tome autant que la première fois, en fait.

Challenge ABC2015Je passe à 06/26

Challenge LEAF Le Manège de PsylookJe passe à 01/50

Le Sang des 7 Rois – Livre quatre – Régis Goddyn

Le sang des 7 rois Livre IV - Regis GoddynTitre: Le Sang des 7 Rois, livre quatre
Auteur: Régis Goddyn
Éditeur:
LAtalante
Collection:
La dentelle du cygne
Nombre de pages:
410
Quatrième de couverture:
Alors qu’il se sauvait à toutes jambes, l’incompréhensible brasier le suivait dans sa fuite, explosant la montagne en milliers d’éclairs. Celui qui l’attaquait ne pouvait être qu’un mage. Un mage surpuissant ! Orville réfléchit aussi vite qu’il bondissait pour échapper au déluge de feu. Bon sang ! Mais que ferait un mage dans une telle situation, sinon brûler comme une poignée d’herbes sèches dans les feux de l’enfer ?

Le point fort de ce quatrième volet est le petit résumé qu’on retrouve en début de livre ; du coup, tout m’est revenu en mémoire très rapidement, ça a donc été un plaisir de reprendre cette saga. D’accord, j’aurai pu lire l’index des personnages en fin de roman mais ce n’est pas pareil, ça n’aurait pas été aussi complet.

Comme dans le précédent, on retrouve beaucoup de personnages : que ce soit un seul ou un groupe, par chapitre. Certains se sont séparés pour en retrouver d’autres : tout s’imbrique parfaitement et c’est du bonheur. J’ai été ravie de les retrouver d’autant que l’histoire avance super bien ; jusqu’à présent, on suivait Orville ainsi que les compagnons qu’on a croisé au fil des livres ce qui est toujours le cas, mais contrairement aux précédents, j’ai trouvé qu’on pénètre davantage dans le monde et la souffrance du peuple au sang rouge que ce soit avec Rouault qui travaille comme esclave dans les mines de la Crête ou Fanette qui essaie de survivre à Gradlyn (c’est sûrement les deux chapitres qui m’ont le plus marqué, j’ai vraiment adoré, à rajouter avec celui intitulé Rosa). Donc autant avant, on n’avait pas l’impression plus que cela que le monde partait en c……, autant là, on le découvre dans toute sa splendeur, c’en est flippant.
Un seul point noir que j’avais déjà vaguement cru comprendre précédemment et qui là se profile davantage : ce que sont Jahrod et ses acolytes ; je ne suis pas sûre que cela me plaise… à voir si, finalement, je finirai surprise ou juste déçue par ce tout petit détail…

Une fois de plus, j’ai adoré le style d’écriture de l’auteur, je trouve qu’il a encore pris davantage confiance et ça se sent, ça rend la lecture fluide et agréable, passionnante même, peut-être une ou deux longueurs mais c’est loin d’être dramatique. Il est quand même bon d’ajouter que ce quatrième livre est tout aussi dense que les autres, il se passe énormément de chose mais on n’a pas le temps de s’endormir sur ses lauriers.

Le dernier chapitre était un peu chaotique à mon goût, c’était chaud de s’en sortir entre les trois combats maritimes et en même temps, certains étaient trop courts… frustrant… mais cela m’a laissée sur ma faim… j’ai hâte de lire le suivant même si Argh ! le  prochain n’est pas encore sorti T_T
Bref, j’ai adoré ce quatrième livre, mon préféré après le premier.

Challenge ABC2015Je passe à 05/26

Black Butler 5 – Yana Toboso

JQ_BlackButler_05.inddTitre: Black Butler 5
Auteur: Yana Toboso
Éditeur: Kana
Collection: Black Kana
Nombre de pages: 178
Quatrième de couverture: A l’occasion d’un concours de cuisine consacré aux currys, Sebastian doit affronter un Indien doté de “la main de dieu” afin d’obtenir un royal warrant et devenir fournisseur de la cour. Entouré de montagnes d’épices permettant des combinaisons infinies, Sebastian s’affaire ! Un ordre suffit à ce que le majordome devienne l’épée de son maître !

Décidément, pour cette série, je crois que je n’aimerai qu’un volume sur deux… Et pour le coup, ce n’est pas celui qui m’a plu…
Dans ce tome, on retrouve Sebastian, Ciel et toute leur maisonnée ainsi que le prince Indien Soma. On termine enfin l’aventure entre Aghni et son maître ; ce cinquième volume marque la fin de leur quête : on apprend la raison pour laquelle son serviteur l’a quitté et on découvre ce qu’est devenu Mina.
Même si cela clôture enfin ce passage et annonce la disparition des deux indiens, – enfin, espérons… et c’est un soulagement parce que le prince se comporte réellement comme un sale gamin égoïste – j’ai quand même trouvé que cela sonnait creux…
Un peu plus et je me serai cru dans le Petit Chef (dessin animé des années 80, pas forcément un des meilleurs mangas de l’époque, en plus) et il faut bien dire qu’on n’en était pas loin, je me demande si dans l’animé, une lueur miraculeuse apparait lorsqu’on découvre le plat final ?

Black Butler 5 p97La partie qui m’a vraiment plu mais qui n’a malheureusement été que survolé, c’est l’évocation du passé des domestiques de Ciel ou l’on apprend très/trop vaguement comment ils ont fini au service de la maison Phantomhive et ce, malgré leur incompétence. Ça aurait pu être intéressant d’en découvrir davantage au moins sur l’un des trois… mais non.

Les dessins sont toujours aussi beaux, rien à redire de ce côté là, la texture des vêtements est travaillée, je trouve ça presque fascinant, il en va de même pour les ombrages. Malheureusement cela n’a pas sauvé ce tome : je l’ai trouvé hors sujet et traité trop superficiellement, habituellement, cela alterne entre rire et tragique, là, il y avait peu de moment drôle et aucun dramatique ou ne serait-ce que tragique, c’était juste ennuyeux.

Le dernier loup

LE DERNIER LOUPTitre: Le dernier loup
Réalisateur: Jean-Jacques Annaud
Casting: Feng Shaofeng, Shawn Dou, Ankhnyam Ragchaa, …
Date de sortie: 25 février 2015
Genre:
Drame
Synopsis: 1969. Chen Zhen, un jeune étudiant originaire de Pékin, est envoyé en Mongolie-Intérieure afin d’éduquer une tribu de bergers nomades. Mais c’est véritablement Chen qui a beaucoup à apprendre – sur la vie dans cette contrée infinie, hostile et vertigineuse, sur la notion de communauté, de liberté et de responsabilité, et sur la créature la plus crainte et vénérée des steppes – le loup. Séduit par le lien complexe et quasi mystique entre ces créatures sacrées et les bergers, il capture un louveteau afin de l’apprivoiser. Mais la relation naissante entre l’homme et l’animal – ainsi que le mode de vie traditionnel de la tribu, et l’avenir de la terre elle-même – est menacée lorsqu’un représentant régional de l’autorité centrale décide par tous les moyens d’éliminer les loups de cette région.

J’ai emmené mes enfants voir Le Dernier Loup au cinéma. Comme à chaque fois avant de choisir un film, je vérifie s’il y a une limite d’âge. Là, en l’occurrence, il était classé en catégorie Tous publics… Non mais quelle idée ! Je l’aurai au moins mis en Interdit aux moins de 10 ans. Il est super dur et tout n’est pas forcément compréhensible avant un certain âge. J’ai dû expliquer un certain nombre de chose à ma puce (pourquoi ils tuent les louveteaux comme ça ? Pourquoi les blessures de loups sont aussi venimeuses que celle des serpents ? etc…)

Le dernier loup - Chen et Aba
Ma fille a 8 ans : habituellement, elle est assez dure comme petiote et lorsque des animaux meurent ou même des hommes, c’est la vie pour elle, elle ne verse pas une larme ; pourtant, elle a pleuré une bonne partie du film en raison de la cruauté des hommes. De mon côté, j’ai également versé quelques larmes, mon fils a opté pour l’indignation.
Ça ne nous a pas empêché d’adorer mais c’était dur, je le déconseille fortement aux âmes sensibles.

Je m’attendais à une histoire genre Croc-blanc avec une histoire d’amitié entre loup et homme mais au final, non. Le loup reste un loup, il ne se transforme pas en chien au contact de Chen. Je n’ai pas été déçue du tout, bien au contraire, c’était une agréable surprise.
De plus, la vision du loup n’est pas européanisée ; on y sent bien le contraste entre la façon de penser mongole et chinoise, j’ai trouvé ça dépaysant sans être inaccessible ; une grande réussite là-dessus.
A côté de cela, si on exclut la tristesse de l’histoire, les images sont absolument magnifiques : les loups sont sublimes, les décors des steppes immenses, certaines scènes fortes émotionnellement parlant.

Le Dernier loup - loups affâmés
Il dure 2h, on n’a pas eu le temps de s’ennuyer et je pense qu’on le regardera à nouveau avec plaisir.

Challenge LEAF

Je lance mon premier challenge. Après des semaines de réflexion, j’ai réussi à lui trouver un nom : LEAF (Livre En Adaptation Film bon, on gardera le diminutif de LEAF, ça fait plus classe, hein !). J’ai passé tout autant de temps à réfléchir à la bannière et depuis une petite semaine, je travaille sur ce challenge.

Challenge LEAF Le Manège de PsylookCes derniers temps, parmi les films qui sortent, énormément sont des adaptations de livres. Lorsque j’étais jeune, c’était également le cas mais on en parlait beaucoup  moins et parfois, l’inverse se produisait et certains livres étaient des adaptations de films.
Du coup, chaque fois que je veux voir un film intéressant, je ne peux pas parce que c’est une adaptation de livre et je préfère lire en premier lieu le livre.
Je me suis donc dit que ce serait sympathique de lancer un challenge.

J’ai créé deux listes au cas où, histoire d’avoir de la matière, une par auteur, l’autre par genre. Elles sont non exhaustives, il y a donc forcément des oublis, donc n’hésitez pas à m’aider à les compléter avec ce formulaire  :

Liste Challenge LEAF par auteur
Liste Challenge LEAF par genre

Catégories

Maraudeur : de 1 à 8 livres
Padawan : de 9 à 20 livres
Grimm : de 20 à 35 livres
Dreamcatcher : de 35 à 49 livres
Parrain/Godfather : au delà de 50 livres

Règlement

Le challenge ne commence qu’après inscription, aucune lecture antérieure ne sera prise en compte. Il n’y a pas de date limite pour accomplir ce challenge si l’on considère le nombre de titres adaptés cinématographiquement.
Que vous ayez un blog ou non, vous pouvez participer au challenge.
Seulement, dans les 2 cas, je demanderai un avis sur les livres lus (minimum 50 mots) ; dans le premier cas, ce sera forcément moins complet et je créerai une page spéciale pour conserver vos avis, probablement une par participant sans blog. (vous trouverez plus bas les formulaires à remplir pour valider le challenge, je vous demanderai de ne pas les remplir d’un coup mais au fur et à mesure :p)

Inscription

Voici le formulaire d’inscription.

Liste des participants

Psylook – Parrain/Godfather
AnGee Ersatz – Parrain/Godfather
Pat Pépette –

Validation du challenge

Voici le formulaire pour les gens n’ayant pas de blog.
Voici le formulaire pour les gens avec blog.

J’espère que ce challenge vous plaira et que vous découvrirez de belles lectures ^_^

Challenge LEAFLien vers les chroniques :

Psylook
1 – Harry Potter à l’école des sorciers – J.K. Rowling – 302 pages – Fantasy jeunesse
2 – Le clan de l’Ours des Cavernes – Jean M. Auel – 544 pages – Historique
3 – Harry Potter et la chambre des secrets – JK Rowling – 360 pages – Fantasy jeunesse
4 – Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban – JK Rowling – 461 pages – Fantasy Jeunesse
5 – Harry Potter et la coupe de feu – JK Rowling – 764 pages – Fantasy Jeunesse
6 – La gloire de mon père – Marcel Pagnol – 219 pages – Classique

7 – Harry Potter et l’Ordre du Phénix – JK Rowlin – 976 pages – Fantasy Jeunesse
8 – La 5e vague – Rick Yancey – 592 pages – Science-fiction
9 – Noob, tome 1 : Tu veux entrer dans ma guilde – Fabien Fournier et Philippe Cardona – 38 pages – BD
10 – L’épreuve, livre I : Le labyrinthe – James Dashner – 408 pages – Science-Fiction Jeunesse
11 – Les Aventures d’Alice au pays des Merveilles – Lewis Carroll – Classique jeunesse
12 – Divergent, tome 1 – Veronica Roth – 440 pages – Science fiction
13 – Carrie – Stephen King – 282 pages – Horreur
14 – Miss Peregrine et les enfants particuliers, tome 1 – Ransom Riggs – 432 pages – Fantastique
15 – Death Note, tome 1 – Tsugumi Ohba & Takeshi Obata – 210 pages – Manga
16 – Hannibal Lecter, tome 2 : Le Silence des Agneaux – Thomas Harris – 457 pages – Horreur Thriller
17 – La véritable histoire de Noël – Marko Leino – 328 pages – Contes
18 – Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé – J.K. Rowling – 715 pages – Fantasy
19 – La Lignée, tome 1 – Guillermo Del Toro & Chuck Hogan – 447 pages – Fantastique
20 – Coeur d’encre – Cornelia Funke – 765 pages – Fantasy Jeunesse
21 – La ligne verte – Stephen King – 506 pages – Fantastique
22 – Akira tome 1 à 14 – Katsuhiro Otomo – 192 pages par volumes – Manga
23 – Un heureux événement – Eliette Abécassis – 222 pages – Contemporaine
24 – Seuls, tome 1 : la disparition – Fabien Vehlmann & Bruno Gazzotti – 56 pages – BD jeunesse
25 – Mary Poppins – Pamela Lyndon Travers – 252 pages – Classique jeunesse
26 – Les délices de Tokyo – Durian Sukegawa – 239 pages – Contemporaine
27 – Walking Dead, tome 1 : Passé décomposé – Robert Kirkman, Charlie Adlard & Tony Moore – 143 pages – Comics
28 – Le songe d’une nuit d’été – William Shakespeare – 127 pages – Classique théâtre
29 – La Belle et la Bête, tome 1 : le destin de Belle – Mallory Reaves – 192 pages – Manga
30 – Les animaux fantastiques : vie et habitat – J.K. Rowling – 144 pages – Fantasy
31 – Candy Candy, tome 1 – Yumiko Igarashi & Kyoko Mizuki – 190 pages – Manga
32 – Wonder – R.J. Palcio – 503 pages – Contemporain
33 – La vie d’une autre – Frédérique Deghelt – 352 pages – Contemporain
34 – Le monde de Charlie – Stephen Chbosky – 256 pages – Jeunesse Contempporaine
35 – No et moi – Delphine de Vigan – 256 pages – Contemporaine
36 – La route – Cormac McCarthy – 252 pages – Post-apocalyptique
37 – Divergente, tome 2 – Veronica Roth – 463 pages – SF Jeunesse
38 – Peggy Sue et les fantômes, tome 1 : le jour du chien bleu – Serge Brussolo – 286 pages – Fantastique jeunesse
39 – Entretien avec un vampire – Anne Rice – 444 pages – Fantastique
40 – Miss Peregrine et les enfants particuliers, tome 2 – Ransom Riggs – 510 pages – Fantastique
41 – Kaamelott, tome 1 : l’armée du nécromant – Alexandre Astier & Steven Dupré – 48 pages – Bande-dessinée
42 – Zazie dans le métro – Raymon Queneau – 240 minutes – Jeunesse
43 – Huis clos suivi de Les mouches – Jean-Paul Sartre – 247 pages – Classique théâtre
44 – Croc Blanc – Jack London – 191 pages – Aventure jeunesse
45 – La couleur des sentiments – Kathryn Stockett – 525 pages – Historique
46 -Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, tome 1 : Tout commence mal… – Lemony Snicket – 175 pages – Aventure jeunesse
47 – Alice au pays des merveilles, tome 1 et tome 2 – Jun Abe – 356 pages – Manga
48 – Mon père est femme de ménage – Saphia Azzedine – 128 pages – Contemporain
49 – Trilogie des gemmes, tome 1 : Rouge Rubis – Kerstin Gier – 348 pages – Fantastique jeunesse
50 – Gunnm, tome 1 – Yukito Kishiro – 216 pages – Manga Seinen

AnGee
1 – Kingsman: Services Secrets. – Psychic TV. – 148 pages – Comics
2 – The TempestWilliam Shakespeare – 293 pages – Classique
3 – Harry Potter à l’école des SorciersJ.K Rowling – 302 pages – Fantasy jeunesse
4 – Les deux tours – J.R.R Tolkien – 439 pages – Fantasy
5 – La ligue des gentlemen extraordinaires – Alan Moore – 416 pages – Comics
6 – Harry Potter et la chambre des secrets – JK Rowling – 360 pages – Fantasy jeunesse
7 – La voleuse de Livres – Markus Zusak – 527 pages – Drame historique

8 – Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban – J.K. Rowling – 461 pages – Fantasy jeunesse
9 – Testament of youth – Vera Brittain – 612 pages – Biographie historique
10 – Harry Potter et la coupe de feu – JK Rowling – 764 pages – Fantasy jeunesse
11 – Le retour du roi – J.R.R. Tolkien – Fantasy
12 – Harry Potter et l’ordre du phénix – J.K. Rowling – Fantasy Jeunesse
13 – Vampire Academy, tome 1 : Soeurs de sang – Richelle Mead – Bit-Lit
14 – Harry Potter et le Prince de sang-mêlé – JK Rowling – Fantasy Jeunesse
15 – Harry Potter et les reliques de la mort – JK Rowling – Fantasy Jeunesse
16 – Mary Poppins – PL Travers – Classique Jeunesse
17 – Le Monde de Charlie – Stephen Chbosky – Jeunesse contemporaine
18 -The Martians – Andy Wear – Nouvelle
19 – Le fantôme de l’Opéra – Gaston Leroux – Classique
20 – Northern Lights #1 – Philip Pullman – 448 pages – Fantasy
21 – Les délices de Tokyo – Durian Sukegawa – 224 pages – Contemporain
22 – The Girl on the Train – Paula Hawkins – 409 pages – Thriller
23 – My cousin Rachel – Daphne Du Maurier – 352 pages – Classique
24 –

Patpepette
1 – Sully – Chesley B. Sullenberger – Témoignage
2 – Anne : la maison aux pignons verts – Lucy Maud Montgomery – Classique jeunesse
3 –