Steam Reverie in Amber – KUROIMORI

Titre : Steam Reverie in Amber
Auteur : KUROIMORI
Éditeur : Noeve grafx
Nombre de pages : 128
Quatrième de couverture : Steam Reverie in Amber est une immersion pleine et entière dans l’uchronie steampunk. Un immense vaisseau flottant abrite serre, laboratoire, bibliothèque et salle des machines, tandis que le panache de vapeur qui le propulse se confond avec les nuages… À mi-chemin entre l’artbook, le beau livre et le manga, Steam Reverie in Amber dépeint tous les détails de cet univers à vapeur : costumes d’inspiration victorienne, accessoires et instruments, design du vaisseau et de ses composants, des ailes mécaniques au réseau de vapeur, scènes de vie à bord…

Quand j’ai vu ce manga, j’ai tout de suite flashé dessus. Je me serais volontiers laissé tenter par le format Deluxe, mais le prix m’a arrêtée. Mais je suis très contente que Noeve Graphx ait pensé à le sortir dans ce format, plus accessible financièrement.
Il est magnifique : la couverture ainsi que les pages sont de belles qualités, très épaisses. Et le manga est tout en couleur, ce qui le rend tellement beau.
L’histoire est sympathique, mais c’est surtout sa forme originale qui la rend si intéressante.

Shiori travaille dans un vaisseau-bibliothèque. Quelques clients viennent, ceux dont le cœur a été brisé. Ils discutent avec la gérante qui leur choisit un livre.
Il y a en tout et pour tout 5 récits : quelques pages en format bande-dessinée suivies par l’ouvrage proposé par Shiori sous forme de artbook – soit juste des illustrations comme c’est le cas pour les signes du zodiaque et le tarit, soit une planche contenant du texte comme pour la ville où pleuvent les étoiles ou la guerrière et les fleurs.

Ce manga a un côté très poétique, c’est reposant et zen. Je me suis sentie apaisée après l’avoir fini. C’était bien agréable.
J’ai pris mon temps pour contempler les illustrations. Le style de dessins m’a beaucoup fait penser à du ghibli que ce soient dans les couleurs harmonieuses ou par le character design. Très steampunk dans l’âme… surtout dans l’ambiance instaurée.
Je ne peux pas parler des personnages, même si le dernier chapitre tourne autour de Shiori, ce n’est pas suffisamment développé pour que je m’entende sur le sujet.

C’est un coup de cœur pour ce one-shot.

Bilan lecture du mois d’avril 2022

Bilan de lectureCe mois-ci était un peu bizarre niveau lecture. J’ai beaucoup lu parce que j’en avais besoin, mon morale étant en berne, mais depuis dix jours, ça va mieux, donc j’ai ralenti la cadence. Malgré ça, j’ai cartonné.
J’ai lu 24 livres (12 mangas, 8 BD et donc 4 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
     

Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:
       

Gif heureux
J’ai aimé:
    

Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Je n’ai pas aimé:
  

On arrive donc à un total de 4182 pages (2498 en mangas, 596 en BD et donc 1088 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 11/20

Challenge Coupe des 4 maisons : 33 items – 1210 points

ABC 2022 : 11/26

Challenge Goodreads : 77/180

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 020/325


Actuellement, je lis :
Les dames du lac, Intégrale
Marion Zimmer Bradley
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Samuel & Lyra – Justine Patérour

Titre : Samuel & Lyra
Auteur : Justine Patérour
Éditeur : Rebelle
Nombre de pages : 278
Quatrième de couverture : Entre Lyra et Samuel, l’amour est inconditionnel et profond. Un jour, le jeune homme se retrouve à l’hôpital, entre la vie et la mort. Tout s’écroule alors autour de Lyra, qui ne comprend pas ce qui a bien pu se produire. Pensant connaître Samuel par cœur, elle se rendra compte qu’il lui cachait quelque chose d’important. Était-ce pour la protéger ou parce qu’il avait trop honte de son passé ?
À défaut de le sauver, et pour ne pas sombrer Lyra mènera son enquête et tombera dans une histoire vieille de plusieurs mois.
Samuel se réveillera-t-il ? Lyra parviendra-t-elle à retrouver l’homme qu’elle aime ?

Cela fait plus de 3 ans que je veux lire ce roman, mais j’en repoussais chaque fois la lecture, pour deux raisons :
– la première est que je suis Justine Patérour sur les réseaux sociaux depuis très longtemps et c’est toujours stressant dans ces cas-là de lire et chroniquer le roman de quelqu’un avec qui on a un lien, surtout la première fois – je n’avais pas pu lui apporter mon entier soutien lors de la publication de sa saga la prophétie d’Alysiane pour des raisons financières, donc quand j’ai vu qu’elle était au salon du livre de Paris, j’ai sauté sur l’occasion pour acheter et me faire dédicacer Samuel & Lyra
– la seconde est que ce roman est classé dans la catégorie romance, que j’en lis peu parce que j’ai toujours un peu de mal à accrocher avec ce genre littéraire.
Heureusement pour moi, l’histoire de Samuel & Lyra ne traite pas que de romance et plusieurs intrigues se mêlent à la trame principale et c’est ce qui fait la force de cette lecture.

Les chapitres sont découpés en deux parties : l’après accident puis l’avant.
– Dans la première, Samuel est hospitalisé, dans le coma après s’être fait tirer dessus. Qui a fait ça ? Balle perdue ou acte volontaire ? Au début Lyra est effondrée, surtout qu’elle a subi six mois auparavant la perte de son père adoré – la pauvre, ça fait beaucoup – , ses amis l’aident à remonter la pente et elle tente d’élucider ce crime en enquêtant sur le passé de Samuel.
– dans la seconde, l’autrice nous retrace la rencontre de ses deux héros, ce qui les a amenés à se lier d’amitié puis à tomber amoureux, et ce, jusqu’à ce fameux jour où Lyra apprend la nouvelle de l’accident qui a plongé Samuel dans le coma.

Personnellement, j’ai une nette préférence pour l’après, c’est bien amené, les coupures se font au bon endroit ce qui m’a donné envie de poursuivre ma lecture – les pauses obligatoires (pour différentes raisons) en étaient frustrantes.
La relation qu’ont noué Samuel et Lyra est touchante, mais un peu trop romance à mon goût.
Les passages qui m’ont le plus touchée sont ceux où l’autrice nous parle avec justesse du deuil que ce soient les sentiments ressentis à l’annonce de ce drame où ceux éprouvés les jours et les mois qui suivent. Ça m’a émue.

J’ai mis un petit moment pour le lire, non pas qu’il n’était pas bien, mais j’ai eu très peu de temps à consacrer à cette lecture, au point que les quatre premiers jours, je n’ai pas pu lire plus d’un chapitre, difficile de plonger dans l’histoire dans ces conditions. Mais vendredi et dimanche, je me suis bloqué quelques heures où j’ai enfin pu m’imprégner de l’histoire, des personnages ainsi que de l’ambiance et ça s’est lu tout seul.
Bref, vous l’aurez compris, j’ai aimé cette lecture.

Coupe des 4 maisons :
Pierre de lune (potion de longue décoction – du 24 avril au 1er mai 2022) – un livre avec des ornements sur les pages indiquant les numéros/titres des chapitres ??? points

ABC 2022 – Lettre P

 

Elegant Yokai Apartment Life, tome 1 – Waka Miyama & Hinowa Kôzuki

Titre : Elegant Yokai Apartment Life, tome 1
Scénario : Hinowa Kôzuki
Dessins : Waka Miyama
Éditeur : Noeve grafx
Nombre de pages : 212
Quatrième de couverture : Yûshi Inaba n’est pas le plus chanceux des adolescents.
Orphelin recueilli par son oncle, il espère gagner son indépendance en vivant en internat…
qui se retrouve ravagé par les flammes !
Il se dégote finalement un appartement à un prix (bien trop) intéressant, et pour cause : le lieu est hanté !
Cohabitant avec humains et yôkai, commence alors pour Yûshi une vie de paix, de raffinement et de voisinage pas piqué des vers.

Une agréable surprise pour cette lecture, je ne m’attendais à prendre autant de plaisir avec ce manga.

Yûshi entre au lycée. Cela fait trois ans qu’il vit chez son oncle, depuis le décès de ses parents, mais cela se passe mal avec sa cousine. Il était prévu qu’il habite au dortoir de sa nouvelle école, malheureusement le bâtiment a brûlé. Notre héros n’a d’autres choix que de trouver un logement à petit prix. Il fait chou blanc jusqu’à ce qu’un enfant l’oriente vers l’immobilier Maeda.
Il finit par habiter dans la maison de la longue vie (kotobuki sō) et se lie d’amitié avec Isshiki, un écrivain qu’il adore, et la jolie Akine. Au fil des jours, il découvre que les lieux sont hantés et qu’humains et yōkai cohabitent.

Les personnages apparaissent les uns après les autres (un peu trop vite à mon goût, d’ailleurs) et pour certains, on ne sait pas trop si ce sont des esprits ou des êtres vivants, c’est un peu déroutant et en même temps, ça contribue à l’ambiance mystérieuse.
Une fois que les bases sont posées, on commence à découvrir le passé de certains personnages : pour le coup, c’est l’histoire de Kuri et Shiro qui est développée et ça les rend attachants au possible. Comme c’est un peu dense, le mangaka prend du temps pour tout nous exposer et j’ai adoré ça.

Les dessins sont sympas, la maison dans laquelle vivent les personnages est superbe, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les héros ont la classe, les yōkai sont pas moment effrayants.

J’ai passé un agréable moment. C’est un coup de cœur pour ce premier tome et je suis tristounette de ne pas avoir la suite.

Hôzuki le Stoïque, tome 01 – Natsumi Eguchi

Titre : Hôzuki le Stoïque, tome 01
Auteur : Natsumi Eguchi
Éditeur : Noeve grafx
Nombre de pages : 134
Quatrième de couverture : L’Au-Delà se compose des Paradis et des Enfers. Les Enfers dont divisés en huit Enfers Majeurs et huit Enfers Glacés, formant au total pas moins de 272 départements.
Seul un oni féroce saura faire régner l’ordre et abattre le travail colossal de ces immensités infernales. Cet oni, c’est le premier assistant du Grand Roi Enma : le stoïque Hôzuki !

J’ai pris ce premier tome parce que la couverture et le résumé me plaisaient bien. J’ai été surprise par la finesse des pages, ça n’a pas été la seule surprise.

Hōzuki est l’assistant du roi Enma et il est chargé de gérer les enfers et ses 272 départements. Donc tout du long, il est confronté à des problèmes de gestion, de comportements, de sous-effectif.

C’est un récit très dense et même trop. On a beaucoup d’informations sur les différents enfers et je n’en ai pas retenu la moitié.
Il y a quelques points forts qui ont retenu mon attention :
– des références purement geeks (Momotarō, Sadako, Lamu…)
– des références historiques et littéraires (Zhuge Kongming, Ono No Komachi,…)
– les dessins sont étranges, mais je crois que ça me plaisait bien.

Le problème est que j’ai eu l’impression qu’il ne se passait rien… même quand Momotarō affronte Hōzuki, c’est réglé par une joute verbale. Si au début le héros est stoïque, ce n’est plus le cas au fil des pages et il s’énerve très vite.
Ça se voulait drôle, notamment quand Hōzuki frappe de sa massue ceux qui l’exaspèrent avec une grimace ridicule, un peu comme Kaori dans Nicky Larson, mais de mon côté, ça n’a pas pris.

Je me suis ennuyée lors de cette lecture, j’ai pris un temps infini pour le terminer alors qu’il n’y a pas tant de pages que ça, je me suis même endormie.
Je n’ai pas aimé ce manga, dommage.