Lulu et Nelson, tome 2 : Le Royaume des lions – Charlotte Girard, Jean-Marie Omont & Aurélie Neyret

Titre : Le Royaume des lions
Saga : Lulu et Nelson, tome 2
Scénario : Jean-Marie Omont & Charlotte Girard
Illustrations : Aurélie Neyret
Éditeur : Soleil (Métamorphose)
Nombre de pages : 64
Quatrième de couverture : À leur arrivée en Afrique du sud, Lulu et son père ont été malmenés : ce dernier s’est fait arrêter pour avoir tenté de défendre un jeune garçon noir, Nelson. Dans l’attente de sa libération et grâce à l’aide de ce nouvel ami, Lulu a trouvé refuge dans la ferme de Mary, une femme militante. Lulu et Nelson sont désormais sur les traces des lions du bush, sans se douter du danger qui les guette…

Comme pour le premier tome, ça s’est lu à une vitesse folle. C’était tellement bien que ça n’a rien d’étonnant. Ce second tome est un peu moins dur que le précédent.

Lucia et Nelson sont hébergés chez Mary. Cette dernière essaie de faire libérer le père de la jeune fille, arrêté lors d’une manifestation à laquelle il ne participait pas et où il a sauvé Nelson (si mes souvenirs sont bons).
Nos deux héros passent leurs journées ensemble dans la savane. Ils ont le tort de discuter librement, se croyant seuls, malheureusement le fils du cet enfoiré de Hendricks surprend une de leur conversation et va tout rapporter à son père qui missionne un de ses « employés » d’espionner ce qui se passe chez Mary, il doit enquêter sur le père de Nelson.

J’aime toujours autant les personnages. La relation de Lulu et Nelson est touchante et j’ai adoré passer du temps auprès d’eux. En ce qui concerne l’espion Danny, j’ai beau connaître son rôle et savoir, d’après ce qu’en dit Lucia dans sa lettre à sa petite fille, qu’il participera aux futurs événements catastrophiques qui attendent nos héros, je ne parviens pas à le détester. Il dégage une telle gentillesse que mon instinct me dicte qu’il n’est pas si mauvais – ce serait bien la première fois que mon instinct me plante.

L’histoire est vraiment sympa, l’intrigue bien menée (et loin d’être finie). Bon nombre de passages m’ont apaisée.
Les dessins sont superbes, les couleurs harmonieuses à souhaits. J’ai pris mon temps pour tout détailler. C’était un vrai plaisir.
Bref, c’est un coup de cœur pour ce second tome et j’espère pouvoir trouver le troisième à mon retour de la médiathèque.

Le Roi Cerf, tome 1 – Nahoko Uehashi & Taro Sekiguchi

Titre : Le Roi Cerf, tome 1
Œuvre originale : Nahoko Uehashi
Mangaka : Taro Sekiguchi
Éditeur : Casterman (Sakka)
Nombre de pages : 304
Quatrième de couverture : Van était autrefois un valeureux guerrier du clan des Rameaux solitaires. Défait par l’Empire de Zol, il est depuis leur prisonnier et vit en esclave dans une mine de sel. Une nuit, la mine est attaquée par une meute de loups enragés, porteurs d’une mystérieuse peste. Seuls les rescapés du massacre, Van et une fillette, Yüna, parviennent à s’enfuir. L’Empire de Zol ne tardant pas à découvrir leur existence, il mandate Hohsalle, un prodige de la médecine, pour les traquer afin de trouver un remède. Mais Hohsalle et Van, tous deux liés par le fléau qui sévit, vont découvrir une vérité bien plus terrible.

Ça fait un moment que je tenais à lire ce manga, mais comme souvent, je repoussais… sans réelle raison.
J’ai eu un peu de mal à me plonger dans l’histoire. Les informations du début ne sont pas super claires, et le seul moyen de tout comprendre est d’avancer dans le récit.

Van est prisonnier, on ignore pourquoi. Il parvient à s’échapper quand une meute de loups attaque sa prison et tuent sans distinction tout le monde, que ce soient les geôliers ou les captifs.
Les loups transmettent une maladie mortelle, le Mittsual ; le seul qui survit à leur contact est Van. Ce dernier fuit avec une fillette du nom de Yuna. Tous deux sont recueillis par une tribu nomade qui tentent désespérément d’élever des pyuikas (l’espèce de cerf qui est dessiné sur la couverture). Ils peuvent se poser un peu, malheureusement, leur répit est de courte durée.

Plusieurs choses ont motivé mon choix quant à ce manga :
la couverture est superbe
la curiosité : ça me faisait penser à princesse Mononoke, y a-t-il des similitudes ? Pas trop, si ce n’est que le héros principal monte un pyuika et le Mittsual, l’épidémie qui touche les hommes et qui me fait penser au mal qui ronge les dieux de la forêt.
l’envie de découvrir ce manga avant de regarder le film d’animation éponyme.

J’apprécie les personnages : Van et Yuna sont attachants.
En ce qui concerne les autres, je les aime bien, mais sans plus. Même ceux qui complotent ne m’ont pas semblé antipathiques parce qu’ils ont tous une bonne raison de faire ce qu’ils font. Ça n’excuse en rien leurs actes, mais ça n’en fait pas des méchants pour autant.

Les dessins sont chouettes. J’ai pris plaisir à détailler les illustrations, à contempler les paysages et à chercher le moindre détail.
J’ai bien aimé cette lecture, malgré quelques passages qui m’ont paru un peu brouillon.

Trappeurs de rien, tome 1 : Caribou – Thomas Priou, Olivier Pog & Johann Corgié

Titre : Caribou
Saga : Trappeurs de rien, tome 1
Scénario : Olivier Pog
Dessins : Thomas Priou
Couleurs : Johann Corgié
Éditeur : La Gouttière
Nombre de pages : 42
Quatrième de couverture :
Croquette est une véritable légende du Grand Nord, un trappeur intrépide, un chasseur mythique, un pisteur infaillible. Enfin, c’est ce dont sont convaincus Georgie et Mike, ses meilleurs amis, ses fidèles compagnons. Ils sont prêts à le suivre partout, et pas plus tard qu’aujourd’hui sur les traces du grand caribou !

Je n’avais aucune attente quant à cette bande-dessinée, si ce n’est la vitesse de lecture. L’histoire est cependant sympathique.
Mike, Georgie et Croquette décident de passer un bon moment ensemble, dans un gîte. Mike a organisé une chasse au caribou sans l’avoir dit aux autres. Ça met mal à l’aise Croquette, mais il n’ose rien dire.

Je ne sais pas trop quoi penser des personnages :
Georgie, le crocodile, m’a laissée indifférente, il est présent sans vraiment l’être.
Mike, l’ours, m’a déplu. C’est lui qui a organisé la partie de chasse, il pousse Croquette à tirer alors qu’on sent bien que le canard cherche des excuses pour ne pas tuer.
j’ai beaucoup aimé Croquette et encore plus son couvre-chef raton qui soutient le canard.

Les dessins sont chouettes. J’ai pris plaisir à détailler les grandes étendues enneigées. Les couleurs sont harmonieuses. Le character design est amusant.
J’ai beaucoup aimé cette lecture.
Le gros point fort est la morale de l’histoire, même si je déplore qu’il n’y ait pas de véritable fin. Peut-être dans le suivant.

Fairy Tail, La grande aventure de Happy, tome 1 – Kenshiro Sakamoto & Hiro Mashima

Titre : Fairy Tail, La grande aventure de Happy, tome 1
D’après l’oeuvre de : Hiro Mashima
Auteur : Kenshiro Sakamoto
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : Un jour qu’il est en mission avec Natsu, Happy est soudain avalé par un énorme visage flottant et se retrouve dans un autre monde, peuplé d’animaux qui marchent et parlent comme des humains. Déjà malheureux d’être séparé de Natsu et de ses amis de Fairy Tail, il est aussi poursuivi par la police… mais pas pour les raisons qu’il croit : il serait en fait le héros légendaire qui doit sauver le village Animal du malheur. Bien décidé à rentrer chez lui, Happy décide de relever le défi. Pour cela, il doit d’abord trouver comment accumuler le pouvoir d’un item mystérieux, le Cœur souriant.

Je redoutais cette lecture : mon intuition me soufflait que ce serait du n’importe quoi… ben ça n’a pas loupé.

Happy, le chat bleu ailé sur la couverture, est avalé par un machin immonde qui n’est qu’un visage et il atterri dans un monde animalier. Rapidement, il apprend qu’il est un héros, mais il s’en moque, il n’a qu’une envie : pouvoir retourner chez lui, mais pour cela, il doit gagner des points en aidant les habitants.

N’ayant jamais lu Fairy tail, j’ignorais tout de Happy jusqu’à aujourd’hui. Je me serais finalement bien passé de faire sa connaissance. C’est un personnage très enthousiaste et très gentil, mais il est stupide. Ses réactions m’ont exaspérée : elles sont exagérées… et c’est too much.
Mais il n’est pas le seul à m’avoir fait cet effet. Les autres personnages également. Aucun ne m’a plu.

C’est une lecture très enfantine, trop gentillet. Je ne vais pas m’attarder sur tous les points noirs, ils sont trop nombreux. Je conclurais en disant que j’ai détesté ce premier tome. Je ne lirai pas le prochain… et d’ailleurs, ça ne me donne pas non plus envie de découvrir la saga Fairy tail.

Bilan lecture du mois d’avril 2023

Bilan de lectureLe mois d’avril a été compliqué niveau lecture. Ayant repris mes études, je n’ai pas beaucoup de temps à consacrer à la lecture et de moins en moins. Pourtant le bilan n’est pas trop mauvais.
J’ai lu 17 livres (5 BD, 7 mangas et donc 5 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
 


Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:
    


Gif heureux
J’ai aimé:
   


Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Je n’ai pas aimé:


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
J’ai détesté:

On arrive donc à un total de 3468 pages (899 en BD, 1376 en mangas et donc 1193 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 12/20

Challenge Coupe des 4 maisons : 37 items – 1675 points

Challenge Goodreads : 72/250

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 41/408


Actuellement, je lis :
Absinthes & Démons
Ambre Dubois
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :