Octobre

Titre : Octobre
Réalisateur : Soren Sveistrup
Casting : Esben Dalgaard Andersen, Danica Curcic, Mikkel Boe Folsgaard, David Dencik, Iben Dorner, Lars Ranthe
Durée : 50 minutes/épisodes
Nombre d’épisodes : 6
Genre : Policier, Thriller
Synopsis : Une jeune femme assassinée gît sur une aire de jeux de Copenhague. Au-dessus d’elle est suspendu un bonhomme fabriqué avec des marrons.

C’est une série danoise en 6 épisodes adaptée du livre de Søren Sveistrup, et à priori, l’auteur a participé à la création de la série.

Deux enquêtes se croisent : celle de Christine Hartung, fille de la ministre des familles qui a disparu, l’affaire est classée. Et celle des bonshommes en marron où des mères sont tuées et amputées, pas forcément dans cet ordre-là. Qu’ont en commun ses deux affaires ? C’est ce que vont devoir découvrir l’agent Thulin et son nouveau coéquipier, Hess.

Je dois bien avouer que ce ne sont pas des super flics : Thulin n’a aucun instinct policier, y a plein de détails qui auraient dû faire tilt ; Hess n’est pas mauvais, mais il fait bande à part et se prend pour un super-héros en intervenant tout seul plus d’une fois et en se mettant en danger (je suppose que c’est ce qu’il cherchait, mais quand même). En fait, ils auraient pu être bons s’ils avaient partagé et croisé leurs informations.
Par contre, humainement les personnages sont top, je les ai bien aimés.

Dans le rythme, ça m’a beaucoup fait penser aux films les enquêtes du département V. C’est lent, mais intéressant : plus on avance, plus ça le devient ; les liens entre les personnages et les intrigues apparaissent au fil des minutes et tout se fait jour. Certaines révélations étaient prévisibles, d’autres pas.
J’ai adoré cette série, et mon homme également.

Automne douceur de vivre
La maison Slanghsters (série audio)

La Moïra, tome 1 : Le chemin de la louve – Henri Loevenbruck

Titre : Le chemin de la louve
Saga : La Moïra, tome 1
Auteur : Henri Loevenbruck
Éditeur : Le Livre de Poche (Jeunesse – Fantasy)
Nombre de pages : 253
Quatrième de couverture : Aléa, une jeune orpheline de treize ans, hérite, sans le vouloir, d’un don étrange et unique.
Est-elle devenue le Samildanach, annoncé par la légende comme le sauveur des peuples de l’île ? Obligée de fuir sa ville natale pour des petits larcins qu’elle a commis, Aléa va devoir faire face à de redoutables ennemis : les fanatiques soldats de la flamme, ou le conseil des druides, qui lui envient son pouvoir. Dans l’ombre, tel le reflet d’un miroir, une louve solitaire vit une aventure étrangement parallèle à celle de la jeune orpheline.
Leur avenir est encore flou, mais une destinée unique attend la louve et l’enfant.

Ça fait très longtemps que j’ai ce premier tome dans ma PàL et s’il n’y avait pas eu les items éphémères Spooky Boo du challenge coupe des 4 maisons, je ne l’aurais probablement pas sorti avant un moment.

On suit plusieurs personnages :
Aléa est orpheline et doit se débrouiller pour survivre. Elle trouve dans la lande le cadavre d’un vieillard. Quand elle le touche, elle est soufflée par une mystérieuse force. Elle récupère sa bague et fuit vers le village pour prévenir le capitaine.
Phelim, un druide qui tente d’en savoir plus sur le corps qu’a trouvé Aléa, ce qui effraie la jeune fille.
Imala, une louve prête à mettre bas, et qui s’est mise à dos sa meute.
Mjolln, un nain que rencontre Aléa après avoir fui le village.

Il y a plein d’autres personnages, notamment les méchants, l’apprenti druide William, les Thuathann, etc. En fait, on passe de l’un a l’autre et c’est assez désagréable.
Les passages qui me plaisaient le mieux étaient ceux avec Aléa et ça se lisait tout seul, mais régulièrement, c’était entrecoupé par les autres récits ; ça cassait le rythme et j’avais beaucoup de mal à reprendre.

J’ai adoré la relation que notre jeune héroïne entretient avec Mjolln, le nain est un poète dans l’âme : certains de ses discours étaient empreints de lyrisme. Et puis, il est drôle.
J’aimerais pouvoir dire qu’il a sauvé cette lecture, mais ce n’est pas le cas. Ça m’a paru long et les constantes interruptions m’ont empêchée de rentrer dans l’histoire. Ce roman m’a laissée indifférente. Dommage parce qu’il y avait beaucoup de points positifs !

Coupe des 4 maisons :
Canons de Chudley (item éphémère Spooky Boo) – lire un livre à la couverture orange80 points

Toilet-bound Hanako-kun, tome 04 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 04
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Confrontés au cinquième mystère de l’école, c’est au prix de leur dignité que Nene et Kô parviennent à en apprendre plus sur Hanako. Nene réalise alors que son ami fantôme cache un passé tragique et n’arrive plus à le regarder en face. C’est à grand renfort de donuts que l’atmosphère finit par se détendre. Mais voilà qu’un esprit menaçant fait son apparition et déclare avoir péri des mains de Hanako ! Nene doit-elle vraiment rester l’amie d’un meurtrier ? De son côté, Kô ne souhaitant plus exorciser d’esprits, décide plutôt de les aider à réaliser leur dernière volonté, en commençant par le défunt Mitsuba !

Ça fait un moment que j’avais très envie de lire ce quatrième tome, mais chaque fois, je repoussais sans réelle raison.

Dans le dernier tome, on en a appris plus sur le passé de Hanako grâce à l’un des mystères et ça a grandement perturbé notre héros, au point qu’il n’apparaît pas des masses dans ce tome-ci.
Nene se voit proposer de devenir princesse sirène. Et les avantages qui lui sont offerts sont bien tentants… seulement pour la jeune fille.
Kô se retrouve face à un esprit, Mitsuba. Il refuse de l’exorciser et décide de l’aider à partir sereinement.

Si la première partie ne m’a pas convaincue, il y avait trop de flou et de questions sans réponse, la seconde avec Kô m’a d’abord fait beaucoup de bien et m’a émue.
On en apprend davantage sur les rumeurs modifiées, donc comment elles sont changées et la manière dont elles se propagent, mais toujours pas d’explications claires sur la raison de ces changements.

Les dessins me plaisent toujours autant. J’aurais pu lire plus rapidement ce quatrième tome, mais je me suis longuement attardée sur les illustrations, à contempler les postures des personnages, la fluidité de leurs vêtements et de leurs cheveux, l’expression de leur visage – leurs yeux sont expressifs et me plaisent énormément. Je suis décidément fan de cette saga.
J’ai adoré ce quatrième tome et je prévois de lire le suivant le mois prochain.

Automne frissonnant
Ghost Hunt (exorcisme, chasseur de fantôme, possession, enquête)

 

L’Atelier des Sorciers, tome 09 – Kamome Shirahama

Titre : L’Atelier des Sorciers, tome 09
Auteur : Kamome Shirahama
Éditeur : Pika (Seinen)
Nombre de pages : 174
Quatrième de couverture : Emportant chacune un objet magique de sa confection, Coco et ses amies partent pour l’île-cité d’Esrest, afin de participer à la Fête de la Nuit d’argent. Au milieu des stands et de la foule de visiteurs, la ville est plus animée que jamais. Il y flotte une atmosphère festive ! Mais parmi les convives se cachent aussi des invités indésirables. Sorciers, milice, nobles, sages… Beaucoup de forces se croisent et les contours de ce monde se dessinent peu à peu. Entre lumière et ténèbres, le rideau se lève enfin sur le grand festival des sorciers.

Sans surprise, je savais que j’adorerais cette lecture. J’ai attendu longtemps avant de commencer ce neuvième tome, parce que je voulais attendre d’avoir plusieurs tomes à lire à la suite… mais là je n’y tiens plus.

Kieffrey emmène ses apprenties à Esrest afin d’assister à la fête de la nuit d’argent.ils aideront Tarta et son grand-père à vendre leur matériel magique, mais Agathe a d’autres plans.
De nombreux sorciers participent à ce festival, notamment la milice, les trois grands sages… dans la foule, il y a assurément des membres de la confrérie du capuchon noir. Et ce neuvième tome nous réserve quelques surprises en ce qui les concerne, mais pas que…
On découvre un pan du passé de Lulucy, et la vache, c’est glauque… j’ai encore l’image de son amie Erienne au moment où la porte se referme, un passage terrible. J’aimais déjà bien le personnage de Lulucy, mais là, encore plus.

De nouveaux personnages font leur apparition : le roi insulaire (il a trop la classe avec ses deux chats) et les cinq souverains des royaumes qu’il dirige. Pour ne citer qu’eux.
Du coup, il y avait un côté plutôt « politique » : les relations entre humains et sorciers.
Les dessins sont toujours aussi splendides ! Je prends un plaisir fou à les détailler, comme à chaque fois en fait.

J’ai adoré ce neuvième tome et j’ai hâte de lire le suivant afin de voir ce qu’Ininia attend de Coco et Tarta.

Le Terrible Seigneur des Ténèbres, livre premier – Diana Wynne Jones

Titre : Le Terrible Seigneur des Ténèbres, livre premier
Auteur : Diana Wynne Jones
Éditeur : Ynnis
Nombre de pages : 448
Quatrième de couverture : Les Oracles ont parlé : c’est le pauvre sorcier Derk qui sera le Seigneur des ténèbres cette année. À lui de transformer sa ferme en château maléfique et de gérer l’arrivée des voyageurs venus d’un mystérieux univers parallèle : le nôtre.
Otages du redoutable businessman M. Chesney et de son démon, les habitants d’un monde fantastique sont contraints d’organiser des circuits touristiques de plus en plus complexes et destructeurs, les réduisant en esclavage. Alors que des accidents font dérailler les circuits et qu’une rébellion travaille dans l’ombre, Derk va devoir redoubler d’ingéniosité pour tenir son rôle et sauver sa famille de chair et de plumes de la terrible menace du malfaisant homme d’affaires…

Je ne sais pas trop par où commencer… je n’ai pas grand-chose à écrire sur cette lecture.
La période des Pèlerinages va commencer et le terrible M. Chesney impose aux sorciers de préparer la venue des pèlerins. Querida, l’ancienne Enchanteresse, doit choisir le Seigneur des ténèbres de cette année et ça tombe sur Derk, un sorcier pas comme les autres. Il crée des créatures aussi folles les uns que les autres : des moutons mangeurs de viande, des cochons volants, des chevaux ailés, etc.
Il a 7 enfants : Blade qui est un apprenti sorcier, Shona qui doit entrer à l’école des bardes et 5 griffons qu’il a créé à partir de cellules de sa femme et de lui.
Bref, tout le monde doit coordonner ses efforts pour fabriquer le mythe du Seigneur des ténèbres, mais ça se corse lorsque Derk est gravement blessé donc incapable de remplir son rôle.

Tout le premier tome est consacré à la préparation de l’arrivée des pèlerins. J’ai trouvé ça terriblement long. C’est souvent risible et ça aurait dû être drôle, mais ce n’est pas le cas. Je me suis ennuyée.
Comme souvent lorsqu’il s’agit de roman humoristique, je suis passée à côté. Il y a bien des passages qui m’ont fait sourire, mais pas des masses et c’était surtout lors de dialogues. J’adorais quand le dragon appelait les griffons « oiseau-chat », c’était tellement vrai et tellement chou.

Les personnages m’ont laissé indifférente. Ils sont tous sympathiques, c’est une famille unie et ils s’entraident. C’est très chouette, mais il manque quelque chose pour que la sauce prenne… je crois que le souci, c’est que ça m’a semblé superficiel.
Je n’ai pas mis très longtemps pour lire ce roman, en 3 jours et demi c’était plié, mais ça m’a semblé interminable.

Automne douceur de vivre
La maison Slanghsters (humour)

 

Coupe des 4 maisons :
Sortilège d’Extension Indétectable (Autre) – un livre ne pouvant rentrer dans aucun autre item 05 points